Le plus trapu, maintenant à genoux devant lui, jouait avec une habileté presque cruelle. Ses doigts, épais et rugueux, firent d’abord glisser le prépuce du grand avec une lenteur calculée, comme pour en étudier chaque repli, chaque mouvement. Il le tira délicatement vers l’arrière, découvrant le gland luisant et gonflé, avant de le laisser glisser à nouveau, comme s’il testait son élasticité, comme s’il voulait s’imprégner de chaque détail de cette peau fine et sensible. Ses yeux, presque hypnotisés, semblaient inspecter ce sexe dressé, comme pour en mémoriser la forme, la couleur, la texture, avant de s’en emparer avec une avidité redoublée. Puis, sa langue sortit, traçant des cercles autour du gland découvert, comme pour en goûter chaque parcelle, chaque frisson. Ses lèvres, enfin, se refermèrent goulûment sur le membre du grand, l’engloutissant avec une voracité qui semblait vouloir tout absorber, tout posséder.
Ses doigts, toujours actifs, ne se contentaient pas d’enserrer la base du membre du grand : ils descendaient, explorant ses bourses, les roulant doucement entre ses paumes, les pressant avec une fermeté qui arrachait des gémissements étouffés à son partenaire. Parfois, il les soulevait légèrement, comme pour en peser le poids, avant de les relâcher, laissant la peau se rétracter avec un frisson visible. Chaque geste était précis, presque méthodique, comme s’il voulait graver dans sa mémoire la moindre réaction, la moindre parcelle de plaisir qu’il pouvait extraire de ce corps tendu devant lui.
Le grand, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, laissait échapper des soupirs brisés, ses hanches se soulevant par à-coups, comme s’il cherchait à prolonger chaque instant. Le plus trapu, sans jamais cesser ses caresses, semblait boire chaque réaction, chaque frisson, comme s’il en tirait une jouissance presque sacrée. Leurs corps, tendus l’un vers l’autre, semblaient ne faire plus qu’un, unis par cette urgence partagée, ce besoin désespéré de contact, de chaleur, de vie.
Puis, soudain, le rythme s’accéléra. Les doigts du plus trapu se refermèrent plus fermement autour de la base du membre du grand, tandis que sa bouche se faisait plus insistante, plus profonde, comme s’il voulait tout prendre, tout avaler. Les hanches du grand se soulevèrent plus violemment, des coups de reins lents mais profonds et réguliers, ses doigts s’enfonçant presque douloureusement dans la chevelure du plus trapu, comme s’il cherchait à s’ancrer dans ce corps qui le menait vers l’abîme. Un râle rauque, presque animal, montait de sa gorge, tandis que ses muscles se tendaient, prêts à exploser.
Et puis, ce fut l’extase. Un frisson parcourut tout son corps, ses cuisses se raidirent, et un long gémissement s’échappa de ses lèvres entrouvertes. Mais le plus trapu, loin de s’apaiser, sembla basculer dans une frénésie presque sauvage. Ses doigts, maintenant agrippés aux bourses du grand, se mirent à les masser avec une énergie brutale, presque à les broyer, comme s’il voulait en extraire jusqu’à la dernière goutte de plaisir, jusqu’à la dernière parcelle de soumission. Son visage, collé contre l’aine du grand, était déformé par une excitation presque bestiale : ses yeux, mi-clos, brillaient d’une lueur fiévreuse, ses joues creusées par l’effort, et sa respiration, rauque et saccadée, semblait celle d’un homme possédé. Ses lèvres, toujours refermées autour du gland ultrasensible, ne relâchaient pas leur étreinte, sa langue fouettant sans relâche, comme s’il voulait pousser son partenaire au-delà de ses limites. Chaque mouvement de sa bouche, chaque pression de ses doigts sur les bourses du grand, chaque gémissement étouffé qui s’échappait de leur étreinte, tout cela me transperçait comme une décharge électrique. Et ce fut à ce moment précis, alors que je les observais, fasciné et haletant, que ma propre jouissance explosa en moi, inondant mon slip puis mon treillis d’une chaleur humide et presque brûlante. Un frisson me parcourut de la tête aux pieds, mes doigts se crispant malgré tout sur mon sexe, comme pour prolonger chaque onde de plaisir qui me traversait.
Pourtant, je ne détournai pas les yeux. Bien au contraire, je continuai à me masser lentement, savourant les dernières secousses de mon orgasme tout en restant rivé à ce spectacle envoûtant. Leurs corps enlacés, leurs souffles entrecoupés, leurs gestes avides — tout cela semblait nourrir mon propre désir, comme si je ne pouvais me rassasier de cette scène interdite, de cette danse sensuelle qui se jouait devant moi. Mes doigts, maintenant collants, glissaient avec une lenteur presque hypnotique sur mon sexe encore dur, comme pour en extraire les dernières parcelles de plaisir, tout en restant accroché à chaque détail de leur étreinte. C’était comme si je voulais graver dans ma mémoire chaque instant, chaque frisson, chaque gémissement, comme si ce moment volé devait me hanter pour toujours.
Le grand, submergé par cette avidité déchaînée, laissa échapper une plainte déchirante, où se mêlaient douleur et extase. Puis, dans un mouvement brusque, il attira le plus trapu contre lui, l’embrassant avec une voracité presque cannibale, comme s’il voulait dévorer ses lèvres, boire sa salive mêlée à sa propre semence. Ses mains, libérées, glissèrent vers le bas-ventre du plus trapu, où son membre, encore dur et palpitant, se dressait. Le grand enserra fermement la base de la hampe, ses doigts se refermant presque brutalement, comme pour marquer sa possession. Son pouce, humide de salive, commença à tracer des cercles lents sur le gland gonflé, tandis que ses autres doigts, agiles, montaient et descendaient le long du membre avec une pression calculée.
Le plus trapu, haletant, laissa échapper un grognement sourd, ses hanches se soulevant instinctivement pour rencontrer chaque mouvement. Mais le grand, sans prévenir, se laissa glisser à genoux devant lui, sa bouche s’ouvrant pour engloutir le membre du plus trapu. Ses lèvres, serrées et chaudes, glissèrent avec une lenteur torturante le long de la hampe, sa langue traçant des spirales autour du gland avant de plonger à nouveau, comme s’il voulait savourer chaque centimètre, chaque frisson. Ses mains, toujours actives, se glissèrent entre les cuisses du p ...
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