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Le Samedi de la Comptable : L’Interdit à Louvigny ​L’Élégance de la Maîtrise

Publié par : sophielefol le 06/12/2025
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​À cinquante-quatre ans, elle incarnait l'élégance et la maîtrise. Elle était Madame Lefol, la femme respectable et intelligente qui exerçait la profession de comptable avec une rigueur absolue. Son rôle était de maîtriser les chiffres, les budgets, et par extension, le calme de son environnement professionnel. Chaque mouvement, chaque décision, était empreint de la froideur et de la précision d'une femme qui détenait le contrôle absolu de sa vie publique. Elle était la figure même de la respectabilité.
​Pourtant, sous cette enveloppe de rigueur, l'urgence de la transgression brûlait. Elle était affamée d’intensité brute, d’adrénaline, de cette puissance animale qui contrastait violemment avec la rectitude de son métier. Ce soir, la seule chose qu'elle voulait contrôler était la manière dont elle perdrait tout contrôle.
​Sous son chemisier en satin bleu, elle portait la promesse de la nuit : un ensemble de lingerie blanche sophistiquée. Elle l'avait choisi pour souligner le contraste parfait entre l'apparence de la pureté et la violence de ses désirs. Elle était petite (1m50) et pulpeuse, avec une poitrine généreuse (100D), un corps fait pour être mis en valeur et désiré. C'est l'opposition entre son corps et son statut social qui alimentait son excitation.
​La Tension sur le Parking de Louvigny
​Elle gara sa voiture sur le parking isolé de Louvigny, loin des lumières de la ville. C’était le terrain de jeu du dogging, l'endroit où la tension de l'interdit devenait presque palpable. Elle aimait le risque de l'exposition, le danger de l'attente qui ajoutait un piment indispensable à l'abandon.
​Elle sortit et s'adossa à la carrosserie froide, alluma une cigarette, savourant l'odeur du bois humide. Ses cuissardes à talons claquèrent doucement sur l'asphalte, signalant sa présence. Elle attendait la pluralité, cette force masculine qui devait la submerger.
​Très vite, trois, puis quatre véhicules se garèrent de manière à former un croissant. Cinq silhouettes s'en dégagèrent, marchant vers elle avec une assurance prédatrice. Ils étaient jeunes, vigoureux, de 18 à 30 ans, des hommes dont la force brute était le parfait contrepoint à son milieu intellectuel et organisé. Elle les voulait nombreux, elle voulait la pluralité masculine intense.
​L’Inscription de la Déchéance
​Parmi eux, se trouvaient des hommes de diverses origines, la dimension interracial accentuant la transgression sociale qu'elle recherchait. L'un d'eux, noir de peau, grand et musclé, s'approcha en premier, le sourire insolent.
​« On t'attendait, Sophie la Truie Blanche », lança-t-il, sa voix pleine d'une vulgarité délibérée.
​Le surnom, son surnom de déchéance, la traversa comme une décharge. C'était le mot de passe qui ouvrait les portes de l'abandon total. Elle ne chercha pas à parler, à négocier. Elle se laissa saisir, les talons la rendant entièrement vulnérable. Ils lui arrachèrent le chemisier en satin sans précaution, exposant sa lingerie blanche contrastante.
​La pluralité masculine l'encercla et l'immobilisa contre le capot d'une voiture. ...

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