Martine ( Suite 1 )
Quelques jours se sont passés, Martine continue la vie de couple comme si rien ne c’était passé. Dans l’immédiat, je ne dis rien, et ne change pas mon comportement.
Même si la curiosité me ronge, je résiste.
Ayant murement réfléchi, je décide de mettre mon plan en application pour son anniversaire.
Cela sera son cadeau !

A ma demande, Martine a pris sa journée, il me sera plus facile de préparer mon plan.
Le midi, nous mangeons tranquillement à la maison, nous déjeunons au champagne.
Je précise à mon épouse qu’elle peut se lâcher, car je conduirai. Je sais que le champagne la rend amoureuse et fébrile !
Le déjeuner terminé, nous passons à une sieste crapuleuse, elle se lâche et me suce comme une reine !
Après un bon café, dans le salon, je lui demande de m’écouter sans rien dire !
Elle obtempère, assise dans le canapé.
« Voilà Martine, je sais que tu me trompes, avec des hommes et avec Karine ! «
Je lui donne une des photos de son rapport avec Karine, elle est blême ! Je prends sa main, l’embrasse et lui dis : « Ne t’inquiètes pas, cela ne me dérange pas, mais maintenant, je veux être de la partie ! Je sais bien que je ne peux pas te contenter avec ma bite molle, mais ces situations m’excitent ! Je veux les partager avec toi ! »
Etonnée, Martine me sourie et me prends fougueusement la bouche.
Je la regarde en souriant et lui dis :
« Nous allons redevenir un vrai couple, un couple sans limite ! »
Là, je me lève et lui ordonne :
« Je t’ai préparé ta tenue pour ce soir, nous sommes de sortie.
Je t’emmène au restaurant, et tu m’obéiras sans rechigner ma chérie . »
Je lui demande de me suivre en lui disant : « Tu vas prendre ta douche, nettoies bien tes trous, je t’attends dans la chambre !
« Je suis étonné, elle s’exécute sans rien dire, le pied pour moi, je mène la barque.
Sa douche prise, elle me rejoint dans la chambre, elle a son déshabillé noir sur le corps.
« Enlèves le, je veux te voir à poils et t’habiller ! »
Elle m’obéis. je lui demande de passer le bustier porte jarretelles rouge qui est sur le lit. Je l’adore, le soutien seins est à semi balcon, ce qui laisse les pointes dehors. Lascivement, elle s’habille, elle est à mes ordres !
Je lui désigne la paire de bas à couture noire. Elle les enfile, je commence à avoir la trique.
Cuissardes ou talons, je lui laisse le choix, elle choisie les cuissardes noires.
Je lui demande de mettre sa jupe fendue en cuir noir et un chemisier blanc transparent.
Je prends du recul pour l’admirer, je suis fière d’elle. Maintenant, va te maquiller, et tu mets le rouge à lèvres Chanel foncé que j’aime bien.
Elle se retourne et dit :
« Tu m’as pas dis pour la culotte ? «
« Pas besoin ce soir chérie, tu es trop chaude ! « Elle s’éloigne, je la rappelle et lui dis :
« Attends, je te graisse ta rondelle ! «
Sans rien dire, elle se courbe, j’enduis mon majeur de gel, et je lui taraude son anus !
"Voilà, on ne sais jamais ! Tu es prête . » Elle enfile son manteau mi-long noir et m’accompagne à la voiture, je lui fais la surprise et ne lui dis pas ou nous allons.
Elle est assise à mes côtés, sa jupe qui remonte laisse entrevoir le haut de ses bas, je vais passer une bonne soirée !
Nous partons par l’A28 en direction d’Abbeville., mais notre arrêt sera à Neufchâtel en Bray pour un Restaurant routier amélioré : « Le Relai des Hayons « .
L’accueil est chaleureux, je force un peu Martine à prendre un Martini en apéro. Ensuite nous filons vers le buffet. Plusieurs routiers attablés dévorent des yeux ma Martine.
Lorsqu’elle se met à table, je lui demande d’écarter ses jambes pour offrir à ses travailleurs une vue agréable. Elle m’obéit en me demandant :
« A quoi joues tu ? Que cherches tu ? «
« Ma chérie, je veux égayer nos rapports ! Après une trentaine d’années de mariage, je peux comprendre que tu as envie d’autres choses, moi aussi. On est là pour cela, je vais t’offrir ce qui te manque, du sexe ! Mais on va y rajouter de l’érotisme en assouvissant mes phantasmes et les tiens, parce que je t’aime et je veux te voir jouir avec ou sans moi. «
Elle me regarde, me sourie et me répond :
" Moi aussi ! «
Nous dinons tranquillement sous le regard assoiffé des routiers.
Avant de partir, je me dirige vers leur table et m’adresse au plus ancien.
« Avec mon épouse, nous serons à l’aire de repos de Maucomble, en direction de Rouen, si vous voulez vous faire vider les couilles, c’est une bonne occasion. Nous avons une Citroen DS Crossback noire immatriculée en 76. Bonne soirée !

Nous quittons le restaurant, Martine sous ma pression a bu quelques verres de rosé, elle est joyeuse.
Sur le parking, elle enlève son manteau.
« Enlèves ta jupe en cuir ! «
« Pourquoi ? »
« Tu ne discutes pas, je te le demande ! «
Elle enlève sa jupe et se retrouve en bustier PJ avec ses bas noirs.
Après être montée dans le véhicule et assise, je lui ordonne d’enlever son chemisier . Elle est donc maintenant en bustier/ bas assise à mes côtés. Ses seins pointent de désir !
Nous roulons vers l’aire de repos de Maucomble. Je pars me stationner au niveau du parking poids lourds. Il y en a une bonne dizaine de PL.
Un peu à l’écart, j’allume le plafonnier pour signaler notre présence. J’ouvre ma braguette et en regardant Martine déclare :
« Tu n’as pas pris de dessert, ta glace t’attend ! «
Sans se faire prier, Martine se penche et avale mon sexe, elle sait y faire et ne rechigne pas à la besogne ! J’aime quant elle est comme cela . Je sens sa langue sur mon vit, elle va me faire craquer ! elle sait y faire ma salope ! Je lui gicle dans sa bouche, et elle me nettoie le sexe en me pelotant les couilles, le panard ! ! !
A peine ma bite nettoyée, un routier frappe au carreau côté passager. Je reconnais le plus âgé des routiers auquel je me suis adressé. Je baisse la vitre. Martine apeurée me dévisage.
« Ne t’inquiètes pas, c’est un ami ! «
Ma phrase à peine terminée, l’ancien a sorti son sexe et l’exhibe devant Martine.
« Suces le chérie, vas-y, il t’attend ! «
Martine sous mes ordres aspire la bite du chauffeur. J’en profite pour lui caresser son cul et doucement lui enfonce un doigt dans son anus !
Elle réagit comme une assoiffée de sexe, et dévore littéralement l’appendice du routier. Il lui donne la cadence et enfonce au plus profond son pieux ! Po ...

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