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En camion 2 jours avec JP (2)

Publié par : hungrycub59 le 05/01/2021

Suite de mes aventures de jeunesse…

Fin d’après-midi, arrivés à l’hôtel, nous nous rafraichissons et JP m’emmène sur un lieu de drague bien connu, à quelques minutes de là, avec tout le nécessaire, bouteilles d’eau, gel et capotes.

Arrivé sur place, je vois 2 semi-remorques avec un balai de voitures qui viennent et repartent sur cette grande aire de passage entourée de bosquets et d’un champ. JP m’explique comment cela fonctionne et m’indique que ça sera encore plus chaud lorsque l’obscurité sera de la partie.

Je vois un routier viril d’une grosse quarantaine d’année, avec une gueule de mec et une silhouette imposante et demande à JP ce qu’il en pense. Il me dit que je n’ai aucune chance car il doit être hétéro à 100% mais me met au défi, puisqu’il me plait, d’aller lui parler.
« Au pire, tu fais comme tout à l’heure tu te fous à poil devant tout le monde ! » me lance-t-il en riant.

Le gars est dans sa cabine, à l’ombre des platanes, les fenêtres ouvertes et semble lire des journaux. Je tourne autour, je n’ai pas droit à beaucoup d’intérêt de sa part, mais deux mecs en voiture me matent bien ; il y en a même un qui sort pour tenter une approche.
Je file derrière un groupe électrique faisant la taille d’une maisonnette au fond de l’aire de repos, en bonne vue du routier viril. Je passe derrière et attend, mais c’est un autre gars qui me rejoint ; je me vois obligé de l’éconduire car il ne me plaisait pas du tout et j’avais une autre cible en vue.
Le gars s’en va, je ressors de ma cachette et constate que le routier m’observe attentivement. De loin, je vois le regard protecteur de JP qui rit en fumant sa clope. Je dévisage le routier, enlève mon tshirt, et là, par réflexe, je me mets à pincer mon téton avant de filer derrière la maisonnette.
J’attends une grosse minute et ressort de ma cachette et tombe nez à nez avec ce routier d’environ 1.90m avec le crâne rasé, une mâchoire carrée et une fossette au menton. Il est bien baraqué avec une brioche sur le ventre. Il est en short également, tongues et un Tshirt noir bien moulant.
Il est à 3m de moi.
Il marque un arrêt et me regarde fixement. Je continue à le regarder et recule en jouant avec mon têton pour l’inviter à me suivre.
Je me positionne à l’abri des regards, le gars arrive derrière la maisonnette également et fait mine de vouloir pisser, dos à moi, sur un arbre. Etant donné le nombre capotes au sol, on voit bien que les gars ne viennent pas ici que pour pisser…

Je pose alors mon petit sac contre le muret, enlève mon short en totale exhib, et entend que le mec est réellement en train de pisser. Un grand stresse m’envahi. Non pas par crainte de m’être trompé à propos des intentions du gars, ni de me retrouver à poil devant lui, mais surtout de laisser passer une chance de sucer un mec aussi viril ; et donc, sans réfléchir, par réflexe, je me place juste à côté de lui pendant qu’il sort les dernières goutes de sa merveilleuse queue toute nervurée, et m’accroupi, en position de le sucer immédiatement.


Le routier me regarde, j’entends un léger soupir d’étonnement mélangé à une forme d’excitation pendant qu’il secoue sa queue et que les dernières goutes coulent de son prépuce, il descend son short jusque mi cuisses et me dévoile un fessier musclé et incroyablement poilu.
Ainsi à croupi, complètement à poil, nez à nez avec cette merveilleuse queue en train de finir de pisser, je suis bouillant, en érection avec un joli filet de mouille coulant déjà par terre et ma rondelle qui se dilate presque toute seule.
C’est à ce moment que le mec pivote de 45°, pose sa main droite sur mon crane et m’enfonce l’objet de mes désirs dans la bouche.

Quel bonheur, quelle excitation d’être à genoux devant un mec aussi balaise et viril, son énorme queue au léger goût d’urine dans la bouche ; moi, à poil sur une aire de repos. Il ne manquerait plus que quelques mecs pour nous mater et le tableau serait parfait.
Le mec durcit de plus en plus, il sort sa queue et me tapote les lèvres avec son gland, tout en tirant mes courts cheveux pour que j’incline la tête en arrière. Je pose mes mains sur ses grosses cuisses musclées. Il me ré-enfonce sa queue et là on entend des pas derrière la maisonnette du groupe électrique et mon routier remonte vite son short et se casse à toute vitesse.

Un gars qui nous avait vus, de loin dans sa voiture, était venu regarder de plus près.
***
Assez frustré, je me rhabille, fais demi-tour pour retourner voir JP.

Je m’approche du camion et vois JP en train de sucer un mec, tous les deux debout, JP penché sur lui. Je me pose à une dizaine de mètres et matte la scène. Le gars n’est pas terrible, mais semble bien doté par la nature également. Tonton JP semble se régaler, mais dommage pour lui, le gars éjacule très rapidement et JP se redresse pour le laisser jouir dans l’herbe. Le type se casse aussitôt et je rejoins JP le temps qu’il range sa queue dans son short après en avoir essuyé le bout.
Une fois rejoints, je lui raconte mes péripéties, lui la sienne et nous décidons de rentrer à l’hôtel pour finir la soirée à deux.
***
En sortant de la pizzéria, on rentre à l’hôtel, on se met nus sur le lit pour un câlin devant la télé. JP est devenu une figure presque paternelle pour moi. Il me protège, il est affectueux, il me taquine en permanence, m’écoute raconter mes histoires d’ado et m’explique pas mal de chose sur la vie.

Il est allongé sur le ventre, on écoute la fin du journal télévisé. Je le masse et le caresse, des épaules aux pieds, en passant par le bas du dos et sa rondelle légèrement humidifiée par ma langue.
Le temps passe doucement. Ces instants sont très doux et agréables ; il y a encore deux mois en arrière j’étais puceau et là, je me retrouve dans le lit d’un homme mature, après avoir sucé plusieurs mecs sur des aires de repos, avec non seulement son approbation, mais sa protection.
Je lui raconte mes craintes et mes angoisses à retourner au lycée, sans parler du fait que je n’aurais probablement plus du tout l’occasion de baiser avant d’éventuelles nouvelles vacances chez Ed et Charles l’été prochain. Puis JP se retourne, me regarde et me lance :
« Du coup, si c’est ta dernière nuit de baise, il faut qu’elle soit mémorable ! ».
J’acquiesce.

J’avais très envie de faire l’amour avec mon tonton JP aux bras musclés et sa grosse queue ; et j’espérais qu’il aurait l’énergie de me prendre au moins deux fois avant de dormir. Mais JP se relève alors, se rhabille complètement.
Je lui demande s’il va fumer, il me répond : « Je vais chercher deuxième actif pour te baiser comme il faut… Tu sais pas draguer, j’y vais pour toi ».

Nouvelle occasion pour moi d’avoir le cœur près à sortir de ma poitrine et une énorme montée de stresse. JP me voyant inquiet me rassure en m’expliquant qu’il retourne sur l’aire de repos pour essayer de ramener quelqu’un pour un plan à 3 et que s’il ne trouve pas, dans une heure maximum il serait de retour.
Je commence à m’exciter terriblement. JP, avec un peu de chance, va revenir accompagné d’un second actif… Avant qu’il ne parte, je lui donne comme indication que je souhaite un mec qui soit endurant, par forcément une grosse queue, mais un mec qui tient longtemps. JP éclate de rire en me demandant si j’ai d’autres critères…
***
J’ai pris à nouveau une douche et me suis légèrement parfumé. Un petit coup de rasoir compl ...

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