Eté 97. L’heure du retour a sonné. A quinze ans, je quitte mes deux quadras après 2 mois de baise intense, d’humour, de tendresse et de découverte, dont un à vivre nu chez eux. Leur présence va me manquer, ma vie sexuelle qui va s’éteindre, mais aussi nos soirées à rire, à picoler, à baiser. Je suis dans un état dépressif total et pleure tout le temps depuis 2 jours.
Je demande à mon bel Eddy pour dormir avec lui l’avant dernière nuit et à mon ours la toute dernière avant qu’ils ne me confient à JP.

***

Comme prévu, c’est donc JP, l’ex beau-père d’Ed et Charles qui en tant que routier, me remonte chez les parents dans le Nord. Il s’est organisé pour que je trajet dure 2 journées pleines et qu’ils ne soient pas trop long pour moi. Avec le recul, je pense que c’est également pour pouvoir profiter de moi au maximum. Il a plus de trois fois mon âge, et je me disais que profiter de son expérience au lit serait une bonne transition après ces vacances de folies et le retour à la chasteté. Et puis, j’ai déjà gouté à JP, il me plaisait beaucoup.

Je dors une première nuit chez JP, dans son appartement, avant de prendre la route le lendemain matin. Après le départ de Charles et Ed qui étaient venues me déposer, JP me voyant pleurer, me câline tendrement. JP est très sympa avec moi, comme à chaque fois.
Chez lui, on est resté en caleçon et T-shirt, mais pas de naturisme.

Le début de soirée avance et nous nous organisons pour le diner.
JP me fait parler de ma tristesse à quitter mes deux amants, de mes craintes du retour au lycée, du fait que je n’ai pas beaucoup d’amis etc.
Puis après le repas, JP, puis moi, passons à la douche avant de nous retrouver l’un contre l’autre dans son lit pour regarder le journal télévisé.

Mis à part quelques caresses furtives de sa part, il ne s’est pas produit le moindre acte sexuel jusqu’à présent, mais j’avais bien en tête que JP apprécierais en retour du voyage, quelques pipes et même mes fesses. D’ailleurs, j’en avais envie également et avais pris des dispositions pour.

Arrivé contre lui, nu tous les deux sur son lit, JP passe son bras gauche derrière ma nuque et zappe à la TV de l’autre main. Je me retrouve la tête contre son torse et presque mécaniquement me met à lui lécher le téton et caresser le ventre. JP se laisse faire et me caresse le dos.
Le temps passe, c’est très agréable.

Après la douche, JP sens le musc et reste l’odeur de sa peau, une légère odeur sèche et chaude, masculine et excitante, couverte par un légère brume de cigarette.
Tout naturellement, sans réfléchir à mes actes, je décale ma tête et me retrouve nez à nez avec son aisselle poilu que je sniffe et lèche. JP soupire et semble apprécie mes coups de langue : j’appuie dont plus fortement et y reste un petit moment, tout en titillant son téton de la main gauche.

« T’es un coquin, toi garçon, hein ?! »
« Tu trouves ? »
« Arrête de faire l’innocent, tu sais bien que tu rends les hommes fous ! Viens là… » Me dit-il en me tirant au-dessus de lui ».
Je me retrouve donc allongé sur JP en demie-érection, ventre contre ventre, queue contre queue, et JP me demande en me regardant droit dans les yeux : « Je peux t’embrasser, garçon ?! »

Je ne lui ai pas répondu, mais c’est moi qui suis venu poser mes lèvres contre les siennes. JP m’embrassa fougueusement et plongea sa langue dans ma bouche. Ses gros bras me serrent et ses mains parcourent tout mon corps. Je suis compétemment passif et me laisse totalement faire.

JP me mord doucement le cou, les oreilles, il m’embrasse en posant ses deux mains sur mon visage ; il est fou de désir pour moi à cet instant.
« Est-ce que tu m’offres ton beau petit cul ce soir ? »
« Oui JP ! Avec plaisir ! »

JP me retourne et m’indique de venir poser mes fesses contre son visage tout en le suçant. Je me retrouve donc en position de 69 à pomper la belle bite de JP qui mouillait pas mal, me prenant alternativement des doigts et des coups de langue dans l’anus. JP poussait des soupirs et de petits gémissements de satisfaction et sa queue se contractait subitement avant de m’envoyer régulièrement de petites perles de mouille sortant de son gland bien charnu.

« Il est bon, ton petit cul de jeune homme, tu sais ?! Tu aimes sucer tonton JP ? »
« Oh oui, j’aime beaucoup ta bite ! J’adore quand tu mouilles en plus ! » Lui répondis-je.

JP me pousse légèrement pour m’indiquer de m’allonger sur le côté, se redresse et viens positionner sa queue bien gonflée sur mes lèvres. Je sors la langue et joue avec son gland, puis JP me dit : « Je vais te baiser une première fois, et on recommencera avant de dormir, après le film. »

J’en contracte ma petite queue d’excitation et me pince les tétons tout en jouant avec le bout de la queue de JP qui mouillait toujours.

Puis, JP se lève, fouille dans la table de nuit, enfile une capote, me lubrifie la rondelle et me pénètre très délicatement en levrette.
Je profite de ce bon moment de plaisir intense.
JP me baise vraiment bien. Il a autant envie de se faire plaisir que de me faire couiner d’e ...

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