Depuis quelque temps j'écris un journal qui mêle à la fois fiction et expériences réelles (ou désir inassouvi)... voici la dernière en date... histoire fictive, car seul mon amour pour Pierre est réel et le deepthroat vécu.

Journal d’Isabelle n°34
samedi 21 janvier 2023

LA RÉCOMPENSE

Pierre était absent, et il m’avait écrit : “Tu vas recevoir une visite demain après-midi, il vient du site lieuxdedrague, soit gentille avec lui et tu seras récompensée.”
Je me demandai bien ce que voulait dire “récompensée”. Mais le lendemain, je m’habillai donc pour être “désirable”. Je l’espérais en tout cas : bottines noires, bas en nylon et guêpière noirs que m’avait offerts mon Homme, jupe courte genre gitane, crop top blanc à dentelles. Je portais évidemment mon collier de soumise et les bracelets que mon amour m’avait fixés.
En attendant que cette personne mystère arrive, je travaillais sur un ouvrage en hommage à la grande féministe de la révolution, Olympe de Gouges.
Vers seize heures, un homme est entré dans ma librairie. Il était plutôt petit, un peu rondouillard, glabre et pourvu d’un magnifique sourire généreux et tellement agréable.
— Bonjour Isabelle, je viens de la part de Pierre, tu es au courant ?
Je me levai, j’étais un peu émue, c’était bien la première fois qu’on “m’offrait” ainsi à un autre. Je m’approchai.
— Oui, Monsieur, il m’a prévenu que je devais être “très gentille”.
Il se serra contre moi en tirant sur le machin que j’ai encore entre les cuisses. Je fis un pas en arrière parce que je ne souhaite plus qu’on le touche.
Il me mit une claque. Pas très méchante, mais tout de même, ça m’a surpris.
— Bouge pas ! Je vais pas te faire plaisir, mais au contraire... tu vas souffrir ! C’est compris ?
J’ai baissé la tête... je devais être “très gentille”.
Il écrasa avec force mes boules dans sa paume, ce qui me fit geindre et j’esquissai un mouvement de recul encore.
Il me remit une claque, un peu plus forte.
— Bouge pas je t’ai dit !
Il a sorti d’une de ses poches une corde lisse. Avec, il a attaché le truc en serrant fort et en séparant bien le manche des deux orphelines. Il relia le tout par-derrière, à mon collier. Mon machin était ainsi coincé dans la raie de mes fesses.
— À genoux !
Il joignit l’ordre en appuyant sur mes épaules. Je me retrouvais la tête face ...

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