Le fouet – été 2016 – Sortie Auteuil en travestis (histoire réelle)

Ce soir là je suis de sortie à Auteuil, mais, en ce dimanche matin de plein été encore chaud, je m'ennuie. Arrivée vers 1h00 je n'y croise aucune connaissance, les habitués sont absents. Les filles présentent se trouvent bien trop belle dans leur tenue hyper sexy (et elles le sont) et m'accueille d'un "les thons c'est pas ici". Avec mes rondeurs et mon classissisme habituel et passe partout qui me permet sous une apparence ordinaire (jupe, chemisier, bottine et bas résilles) de pouvoir déambuler dans certaines rues de Paris, je dénote face à ces "trop belle".

Je suis sur le point de partir quand j'avise au loin un habitué. C'est un homme d'une 40aine, assez bizarre et certain le considère comme attardé. Mais il est très gentil, aime le sex et est souvent plein de surprises par moment très interessant. Donc je le vois toujours arriver avec curiosité, Je dois être une des rares qui ne l'évite pas et qui accepte qu'il prenne du plaisir devant moi (il est surtout exhib et masturbateur). Je sais aussi qu'il parcours, la nuit, tout le bois de Boulogne à pieds car je l'ai déjà croisé ailleur.

Il me voit et vient vers moi. Dans son sac il me montre son habituel good et surprise, des menottes et un martinet. Une nouveauté, pourquoi pas. Même si je déteste la douleur j'ai lu des choses interressante, alors pourquoi ne pas tester au moins une fois. En plus j'ai confiance car je sais qu'il arrêtera quand je lui dirai. Donc les menottes c'est non mais le martinet ...

Je le suis vers un banc du boulodrome pas trop caché de la route (exhib on est exhib on reste), retire mon string et remonte ma jupe et lui offre mon fessier.

J'entends qu'il fouille dans sont sac plastique, en retire quelque chose et ..... c'est pas ce que j'imaginais. Il vient de m'introduire son good. Je lui laisse ce petit moment de plaisir puis je lui rappel le martinet. J'entend qu'il fouille dans son sac plastique puis, le premier coup.

Oua, violent... trop pour moi. Je lui demande de faire moins fort. Ce qu'il fait. Et l'air de rien, de coup en coup, le plaisir accompagne la douleur. En plus, sans être adepte, je m'aperçois vite qu'en exprimant a haute voix les coup (rale ou gémissement) cela m'exci ...

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