21h30, je suis déjà en place, vraiment excité. Je porte un jean gris clair velours très étroit, très moulant (tissu assez élastique) et étroit jusqu’aux jambes. J’enlève mon slip pour essayer le pantalon. Glisse ma verge le long de ma jambe gauche. Tout mon bassin est plus qu’à l’étroit, mais ma bite ressort d’une façon plus qu’évidente, presque moulée. Et encore je ne bande pas. Je crois qu’un collant de danseur ne ferait pas mieux.
J’enlève ma grosse doudoune une fois à l’intérieur des serres. Je suis en Jean avec un sweat molletonné que j’aime beaucoup et très chaud (je suis tout de même torse nu dessous…)
Je vais directement vers notre coin ; pas trop de monde ce soir…
J’arrive et j’attends. Je suis très excité et je commence à bander. Je me caresse en plus à dessein afin que cela apparaisse encore plus. Effectivement, ça ne peut pas se rater. Deux ou trois mecs rentrent, me chouffent (j’ai remis ma doudoune devant mon sexe l’air de rien). Je détourne la tête, ils s’en vont. Savoir vivre…
Enfin mon Algérien arrive. Je pose tout de suite ma doudoune. Il est vraiment pas mal, toujours dans le même survêt. Merde, le Ghanéen n’est pas avec lui !
-« Tu es tout seul ? »
-« Ouais, mon pote est de service ce soir. Mais demain c’est mon tour. »
-« Vous travaillez dans la même ambassade ? »
-« Non, pourquoi ? »
-« Non non, comme ça… Mais quand tu bosses comme chauffeur, tu n’es pas en jean ? »
-« Non !!!! Tu rigoles, toujours costard noir, chemise blanche, cravate sombre. C’est pour ça que j’aime bien le ver-sur ! »
-« Il te va très bien et tu es très beau dedans. En plus on voit bien ta bite sur le côté ! »
-« Ouais, j’ai fait comme toi, j’ai pas mis de slip ! »
-« Et alors »
-« C’est chiant quand on marche mais assez agréable. »
J’ai les yeux fixés sur son sexe et je constate qu’il commence à bander, c’est évident ! »
-« Attends, je vais coincer la porte. »
Il part, s’exécute, reviens. Là il bande carrément !
On commence à s’embrasser, se palucher. Je passe ma main dans son survêt et prend sa bite à pleine main. Il me la retire et la plaque sur son sexe mais à l’extérieur.
-« Pas tout de suite ; j’aime bien quand on me pelote de l’extérieur. »
Bon, moi ça me plait moins, mais si cela lui fait plaisir. Je sens son sexe vraiment hyper dur. Le mien n’est plus autant dur comme ça, hélas ! Je bande dur mais pas comme lui tout de même.
Il embrasse assez bien mais il a (ne rigole pas) un gout d’épices arabes.
Je le colle contre moi, bite à bite, en se frottant à lui, passe les mains dans son survêt et les plaque sur ses fesses ; musclées et fermes à souhait.
-« J’aime bien quand tu me paluches les fesses »
Effectivement, il s’amuse à les contracter et à les détendre alternativement.
Je suis très excité. Fait le tour de son anus avec le doigt, doucement, plusieurs fois et je l’enfonce d’un seul coup, le plus profondément possible. Il se cabre. Je découvre qu’il s’est déjà huilé ou pommadé, je ne sais pas.
-« Et ça, tu aimes ? »
-« Ouais !!!! Nique moi ! »
J’avoue que j’aimerais bien mais je voudrais bien le sucer mieux que la dernière fois.
-« Je voudrais bien te sucer d’abord. Tu arrives à jouir plusieurs fois ? »
-« Autant que tu veux, mec ! Attends, je reviens…».
Il part dans un coin de la serre, revient avec un immense carton déplié dans un coin, et l’étale bien à plat sur la margelle de béton assez large qui protège les plantations des mains des touristes.
-« Viens, on va se mettre comme ça. »
Je comprends qu’il me propose un 69. Ca me plait ! On s’installe. Chacun la bite de l’autre dans la bouche, on commence à se pomper doucement. Il a vraiment l’air très doux comme gars. Je le sens très très excité, mais pour un jeune il sait vachement se contrôler.
Passant une main sous mon scrotum, il me met un doigt dans le cul et commence à me masser ce que je pense être ma prostate, mon expérience étant nulle en la matière. Je trouve l’effet doux, agréable. Je ne monte pas au plafond, mais ce n’est pas mauvais.
Je fais de même et essaie d’appliquer la même méthode. Lui en revanche réagit tout de suit, me lance un Hum et je sens son sexe se raidir encore plus dans ma bouche. Mais le fait qu’il n’ait pas de prépuce m’empêche quand même de varier mes actions. Enfin, visiblement il aime ça. Je sens ses mouvements du bassin s’accélérer de plus en plus. Il me pompe ardemment mais j’essaie de me contrôler, je veux faire durer.
A un moment il me dit la bouche pleine « Vas-y, vas-y, plus vite (j’ai failli en rire tellement il gargouillait, incapable de bien articuler la bouche pleine. En plus il a un accent arabe très marqué.)
-« Attends, faut faire durer… »
Un doigt qui s’agite dans son cul, l’autre main jouant avec ses couilles bien fermes et bien attachées (pas comme celles de mon noir qui pendouillent vraiment), je le continue à le pomper en allant bien à fond (ça va elle n’est pas très grosse) et lentement. Visiblement, il adore, gémit et accélère son mouvement de sa bouche. Merde, à ce rythme je vais jouir rapidement. J’accélère donc moi aussi ce qui lui plait encore plus. Je suis vraiment très excité. J’explose ! Lui, trois quatre seconde après de même. Aucun rapport avec mon Ghanéen mais enfin j’en ai pas mal dans la bouche. Goût moins fort que l’autre. Je continue à le pomper. C’est un truc que j’adore, qu’on continue à me pomper quand j’ai joui et que ça me brûle presque jusqu’à la douleur. Lui continue à me pomper mon sexe à demi mou. Moi de même, mais lui semble moins bien supporter la douleur et se retire d’un coup sec. Il continue à me sucer lentement. C’est un vrai délice. Je lui reprend son sexe, mi-dur, doucement et je le lèche très lentement en faisant attention. Il aime visiblement beaucoup. Puis on s’arrête. J’ai ma tête enfouie contre son sexe et son pubis rasé (dommage). Lui de même. Petits bisous, petites léchouilles. Je trouve ces moments finalement très tendres et très doux, notre flux étant déjà lâché. On reste, je dirai, cinq six minutes comme ça. On se relève, il m’embrasse, je sens le goût de mon sperme sur ses lèvres… On se rhabille.
-« On va faire un petit tour ? »
-« Si tu veux, avec plaisir. Tu sais, c’était vraiment très bon. »
-« Moi aussi, j’adore ta queue et le goût de ton sperme ! »
On sort de l’absidiole mais il prend soin de bloquer la porte en partant.
-« Comme ça, tu comprends ? »
On se ballade dans le parc, on se parle un peu de tout et de rien, il m’offre un Redbull et me propose un joint.
-« Non merci, jamais. »
-« Jamais ? »
-« LOL ! Non, je préfère baiser ! »
Il éclate de rire, me prends le sexe et me dit
-« Et en plus elle est bonne ! »
On rigole et on continue à marcher.
Je dirais qu’on s’est baladé dix minutes.
-« On y retourne ? »
-« Déjà ? Attends moi tu m’a tout pompé, il faut que je récupère un peu…
Et il me dit :
« Moi je suis prêt et j’ai déjà envie » en me fourrant ma main directement dans son survêtement cette fois et ou je sens sa bite en parfaite érection.
-« Attends, mec, laisse moi encore récupérer un peu… »
-« Il me prend par le bras et me tire vers un coin sombre d’un bosquet d’arbres, sort sa bite et me dit suce moi encore comme tout à l’heure ! »
Bon impossible de me mettre à genoux dans cette terre avec mon falzar tout neuf.
Je ...

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