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Ma première sodomie

Publié par : winterfel le 04/05/2022

Je remercie toutes les personnes qui ont lu et noté ma première histoire, merci également pour vos encouragements à écrire la suite de mes rencontres.
Donc, Après avoir goûter aux plaisirs d’une fellation ou plutôt de 2 fellations, je poursuis ma découverte de ce coté de ma personnalité dont j’ignore tout mais qui m’intrigue et m’attire beaucoup.

Mon métier me permet de voyager fréquemment et devant le «succès » de l’aire de DURTAL, je recherche donc plusieurs autres aires de repos du même genre. Je tente sur les autoroutes mais sans succès. Je tente les aires de repos sur les routes de campagnes et j’en ai trouvé une autre du coté de la gironde. Cette fois je m’arrête « exprès » sur cette aire de repos au bord d’une forêt de pin. Les toilettes publiques sont reculées de la route sous ces pins. Il est 16 heures, il fait un peu frais en ce mois d’octobre, l’automne fait son apparition dans les sous-bois c’est assez beau comme vision. 2 camions étaient arrêtés sur cette aire de repos et 2 voitures. Il n’y avait personne à l’intérieur. Je me dit qu’ils étaient sûrement aux toilettes. Je m’y rend avec une certaine excitation. En traversant le parking, je tourne la tête vers un des camions et un des camions me fait un appel de phare. Je m’arrête et le chauffeur me fait signe de venir vers lui. Il me montre une cigarette et je comprends qu’il veut du feu. Je me rends à la fenêtre coté conducteur. Le chauffeur ouvre la porte et je lui tends mon briquet, il me voit frissonner à cause du vent et resserrer mon blouson. Il m’invite dans son camion pour me réchauffer. Je décline poliment l’invitation en prétextant que je dois vraiment aller aux toilettes. Il me dit que si j’ai encore froid après ma « vidange » que je n’hésite pas à frapper au carreau, qu’il a les moyens de me réchauffer. J’esquisse un sourire, j’ai bien compris où il voulait en venir.

Malgré tout je vais aux toilettes, j’aime bien découvrir ce que les urinoirs peuvent cacher comme coquin vicieux mais hélas il n’y a personne aux urinoirs, je suis un peu déçu. J’espérais voir un sexe encore mou entrain de se faire secouer par son propriétaire pour l’égoutter en la montrant discrètement à qui voudrait bien le regarder. Tant pis pour moi, je m’installe, je sors mon sexe et je me soulage. Je secoue les dernières gouttes et tout à coup j’entends comme des gémissement et des soupirs dans une cabine derrière moi. Je connais bien ce genre de sons et j’imagine aisément deux hommes entrain de se faire plaisir mutuellement derrière cette porte, hélas elle est fermée à clé. Je les imagine, les pantalons sur les chevilles, entrain de se caresser mutuellement et langoureusement. Se décalottant ces glands qui se gonflent lentement de plaisir. J’imagine qu’un des 2 se met à genou et englobe dans sa bouche ce sexe gonflé de désir qui rentre et ressort lentement dans cette bouche chaude et humide. J’imagine des doigts baladeurs cherchant leurs chemins parmi une raie qui se cambre pour lui montrer la voie. Sans m’en apercevoir, je suis entrain de me caresser en rêvant à cette scène, l’excitation monte de plus en plus et cette porte de cabine qui ne s’ouvre pas me laissant mon sexe à la main comme un chien qui a envie d’une jambe. Tant pis je range le service trois pièces et je décide de repartir. Je me lave les mains et je me passe un peu d’eau fraîche sur la visage, cela me calmera peut être un peu. Que nenni, ça ne marche pas ce vieux remède. Je sors des toilettes et je remarque que le chauffeur est dehors à coté de son camion. Il range une caisse située à l’arrière de la cabine. Je tapote mes épaules pour lui faire comprendre que j’ai toujours un peu froid. Il sourit et me propose un café dans sa cabine. J’accepte avec plaisir cette fois. Il est pas mal ce chauffeur, la quarantaine un peu bedonnant mais pas trop, il a l’air sympathique.
Je monte dans sa cabine coté passager, je m’assois sur le fauteuil, il fait bien chaud à l’intérieur. Le chauffeur monte également de son coté. Ça sent bon le café, il ne m’avait pas menti le bougre. Il me temps un gobelet en plastique et me serre un café encore fumant. Nous dégustons ce breuvage, très bon d’ailleurs, les discussions varient sur divers sujets et bien évidemment nous en venons aux découvertes que nous pouvons faire sur ces aires de repos. Il me demande si les deux « anciens » étaient dans les toilettes avec moi. Je lui dit que non mais qu’ils devaient se faire plaisir dans une cabine parce que j’avais entendu des bruits ne laissant aucun doute sur ce qui se pratiquait derrière la porte. Il rit franchement et me dit que si je n’étais pas arrivé il les aurait suivis. Je ne suis pas surpris de cette remarque et je lui fais un clin d’œil malicieux. Il me montre sa cabine ainsi que la couchette derrière les sièges, c’est propre, bien rangé c’est agréable. Le chauffeur me dit « si tu veux on peut les imiter » il n’y a pas de raison qu’eux seuls aient droit au plaisir. Sans hésiter j’enlève mon blouson et je lui réponds que c’est avec un grand plaisir. Il tire les rideaux de la cabine pendant que j’enlève mes chaussures et que j’enlève mon pantalon. Pascal (c’est comme cela qui lui s’appelle) fait de même,nous nous retrouvons en slip teeshirt et nous nous allongeons sur la couchette. Nos mains ne perdent pas de temps et nous nous nous caressons sur tout le corps, nous jouons avec nos tétons, je lui pince gentiment les siens, je les embrasse et les suce avec excitation. Il fait de même avec les miens c’est excitant. Nos mains descendent en même temps vers l’objet du désir et nous nous caressons avec envie nos parties intimes. Nous nous masturbons langoureusement. Pascal descend avec sa bouche et sa langue sur mon ventre et arrive à mon sexe.

Sans attendre il le prend dans sa bouche et le dévore avec envie. Il passe sa langue tout le long de ma tige. J’ai une érection digne de ce nom tellement je suis excité, il suce divinement bien. Tout en me suçant, se ...

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