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Une virée à Center Parc Suite

Publié par : pierre49590 le 23/10/2022

On remonte on s’installe en inversant. Le problème est que je suis plus grand que lui et il peut à peine me tenir le ventre. Bien dommage tout ça…
On part, j’ai au moins le plaisir de lui malaxer le sexe avec mon dos dans la descente.
A la première bosse qu’il n’a pas vu venir, quand on décolle, il est complètement surpris et il se retrouve les mains sur mon haut du torse à la réception. Il gueule et s’éclate encore !
A la deuxième, c’est pire, il se retrouve accroché à mon cou ! Mais arrive à reprendre mon torse finalement et à ne pas me lâcher.
A la réception le summum, on est carrément explosés, il me lâche complètement !
On sort, il est heureux et ses yeux brillent, un vrai bonheur y transparait.
J’en profite aussitôt.
-« Tu as vu les claques qu’on prend derrière ? Tu comprends pourquoi j’avais du mal à te tenir ? Tu comprends pourquoi je t’ai presque broyé les couilles à l’arrivée ? » J’exagère à dessin.
-« Putain qu’est-ce que ça va vite et c’est dur de se tenir. Et cette claque à l’arrivée ! je ne savais même plus où j’étais et où t’étais ! »
-« Oui, ça déménage hein ? Te tenir c’est pas facile, tu es très fin. Je me suis tenu où j’ai pu… Excuse moi ! »
« C’est pas grave j’te dis. On recommence mais je me remets devant ! »
Ben voilà, que demander de plus ! Ca me plait bien ces toboggans ! Là, je fais encore mieux le prendre le sexe. On va bien voir ?
On monte. En haut un moniteur nous attend.
-« C’est interdit, Monsieur, à deux sans bouée spéciale. D’ailleurs regardez vous avez le dos lacéré. Jean regarde mon dos, y passe la main et me la montre tâchée d’un peu de sang.
-« Allez vous rincer à l’eau froide Monsieur, cela vous fera du bien pour la coagulation. Et si vous revenez, prenez impérativement ces bouées.
On retourne à la douche. L’eau glacée m’enlève tout mon feu intérieur. Je suis surpris de découvrir Jean qui me passe gentiment avec beaucoup de douceur la main dans le dos.
-« Bof c’est pas grave, t’as juste des égratignures… ça saigne presque plus. On y retourne ? » Il va me tuer ce gamin.
On y retourne. Mais là beaucoup moins drôle car bouée en gros huit où on ne se tient qu’à la bouée. Bien sûr descente beaucoup moins rapide, réception moins violente, c’est la bouée qui prend tous les chocs.

Je prétexte un mal de dos pour aller nager.
-« Je viens avec toi ! »
Grand bassin, je vais des longueurs. Jean nage, peu académiquement. Mais il traverse le bassin sans problème.
-« Putain, tu nages vachement bien !
-« Toi moins bien par contre. » Je lui fais un clin d’œil. Tu veux que je t’explique ? »
-« Oh oui, je veux bien. »
Je choisis donc la brasse, nage bien connue par les maitres nageurs pour les possibilités multiples en pelotage de seins ou de bites, suivant les tendances.
J’ai détecté tout de suite ses défauts : aucune synchronisation bras et jambes et mauvais mouvements des jambes.
On s’installe dans un coin tranquille, loin des regards. Facile, pas grand monde et centre immense…
Je le fais allonger sur le ventre, je mets une main sous son ventre, une main sous son torse. Il commence les mouvements. Je lui explique ses défauts. Il m’écoute vraiment attentivement. A chaque fois, il reprend la position et je replace mes mains, gagnant un ou deux millimètres de la main droite vers le bas. J’adore sentir ses petits abdominaux fermes glisser sous mes doigts…
Mais je t’avoue que déjà tenir du plat de la main son ventre avec ses abdominaux travaillant me faisait bander. De toutes les façons, dans cette histoire, j’aurai été en érection presque du début à la fin… Oui, mais là, je ne peux pas aller plus loin. Pas de dos d’âne, pas de secousses. Je suis vraiment sous très haute tension. Je réfléchis, je réfléchis. Comment faire ? Bon, comme maitre-nageur dans ma jeunesse j’ai déjà une certaine expérience auprès des jeunes et beaux nageurs, mais eux beaucoup plus sur leurs gardes en général, à part quelques exceptions, parfois surprenantes mais toujours bien agréables.
Il s’applique et écoute toujours parfaitement mes conseils. Apparemment, il donne l’air d’être concentré sur ses mouvements.
-« C’est tes jambes que tu n’arrives pas bien à synchroniser et tu as un mauvais mouvement. On va travailler que les jambes. Tiens-toi au rebord de la piscine et allonge-toi. Moi je te prends par le ventre avec les deux mains. Vas-y, étends toi, encore plus ! »
Et là je place mes deux mains sur son ventre pour soutenir tout l’arrière, le devant étant accroché par ses mains au rebord. Mais j’ai de très grandes mains… Bien larges. Je place la main gauche suffisamment bas, sous le nombril. La main droite va-t-elle se voir obligée de mordre sur le maillot de bain ? LOL ! LOL !
Ma main droite vient en limite de son sexe. Je fais tout cela en continuant à lui parler.
-« Voilà, c’est pas mal, écarte plus les jambes, resserre-les d’un coup plus violent… Tu dois sentir tes deux cuisses se toucher quand tu fermes les jambes. Attends, tu n’es pas assez en arrière. Etends bien tes bras. Plus ! » J’en rajoute bien sûr…
-« Vas-y, tends-moi bien ses bras pour te mettre complètement à plat sur l’eau. Etends toi encore plus… Je vais te pousser vers l’arrière avec mes mains. »
Et bien sûr je tire son corps vers l’arrière par mes mains. Mais ses à-coups des jambes font, qu’à force, et malencontreusement (LOL) ma main droite descend encore plus jusqu’à buter sur le bout de son sexe… (Je te vois sourire, Philippe).

Je continue à lui parler en lui donnant des conseils pour occuper, enfin j’espère, son esprit. Il semble s’appliquer. Mais avec les coups des jambes, mes deux doigts frottent de plus en plus sur l’extrémité de son sexe. En fait, un petit massage, l’air de rien, du bout de son sexe avec l’extrémité de mon index et mon majeur. Mais vraiment très discret. Il faut que ça passe pour quelque chose de non voulu…
Je parle, je parle, encore des conseils, je lui dis que c’est bien. J’occupe le plus possible son attention. Rien ne semble le déranger il s’applique vraiment bien.
-« Essaie de mettre maintenant la tête complètement dans l’eau pour mieux t’étendre encore plus. Moi je vais te tirer encore plus vers l’arrière. Et tu te concentres que sur le mouvement de tes jambes. Hop, je gagne un demi centimètres. Je te dis ça c’est pour te faire comprendre que pendant au moins 15 mn ce ne sont que des millimètres qui sont chèrement gagnés pour ne pas le brusquer et avoir toujours à ma disposition une échappatoire valable. Ce demi-centimètres, m’a fait finalement poser vraiment l’index et le majeur directement sur son gland que je sens très bien et le pouce, bien recourbé, est complètement rentré dans son slip, pas jusqu’à la base de son sexe tout de même mais je sens bien les poils fournis du pubis.
Putain ! Il doit bien se rendre compte qu’avec mon pouce, je lui gratte les poils du pubis, bordel de merde !!! Lentement, discrètement peut-être mais très nettement. Ce n’est tout de même pas la concentration sur le mouvement de ses jambes qui mobilise tout son esprit !!!!
Là, il commence à vraiment bander avec ses allers et retours de son bassin poussé alternativement par ses jambes. Je sens donc son gland qui remonte le long du slip, presque jusqu’au cordon de la taille. L’air de rien, avec les ondulations de haut en bas, cette fois-ci, je remonte toujours subrepticement ma main et surtout mes deux doigts pour se retrouver toujours au niveau de son gland que je sens encore se gonfler et durcir. Mais là aussi, il doit bien sentir le mouvement discret de mes deux doigts sur le bout de son sexe? J’ai vraiment du mal à croire le contraire. Quel jeu joue-il vraiment ? Moi, à cet âge, et toi aussi j’en suis sûr, quand je bandais aussi fort, il fallait absolument que je jouisse. Je ne pouvais pas rester comme ça ! Je serais allé discreto dans les toilettes, voire dans un coin la piscine même, me branler !
Je m’interroge dans l’instant, mais je suis aux anges.
-« Ca va, je fais bien maintenant ! Je sens bien mes jambes se toucher comme tu m’as dit. »
-« Oui, c’est vraiment très bien. Tu as compris. T’es fatigué tu veux arrêter ? » (J’ai mon comptant, je ne peux décidément vraiment pas aller plus loin sans que cela passe pour un geste délibéré.). Culotté (qu’est ce que je risque ?) je lui sors :
-« Ca va, j’appuie pas trop sur ton ventre ? Je te fais pas mal ? »
-« Non, non, ça va. On va continuer encore dix minutes, si tu veux. Non ? »
Heureusement qu’il ne m’a pas dit que c’était même agréable sinon je me serais, dans la foulée, emparé de son sexe à deux mains !
-« Si tu veux et continue à t’allonger au maximum. Profite pour souffler tout ton air quand tu mets la tête dans l’eau et tu inspires uniquement tête hors de l’eau. » En fait, je connais ce type de leçon par cœur lors de mes nombreux cours.
Bon… Il n’est donc pas dérangé. Je suis au ciel mais je n’en peux plus. Je ne vais pas tenir 10 minutes à lui frotter le gland à travers le tissu sans craquer. Je vais finir par lui glisser directement toute ma main dans le slip ! J’essaie de me raisonner et de me calmer. C’est un mineur, il a à peine dix-sept ans, Pierre ...

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