Comme vous savez si vous suivez mes histoires qui sont toutes vécues et réalisées, je m’appelle Marie, j’habite dans la région de Béthune, dans le Nord de la France. Je suis directrice d’une agence immobilière sur la région de Béthune et j’adore le sexe, si j’osais, je dirais que je suis « folle » de sexe. Il me faut pour mon équilibre du sexe régulièrement, j’en ai besoin pour mon bien être. Je vie maritalement depuis 10 ans avec mon homme Louis que j’aime à la folie, il me donne toutes les bonnes choses que j’ai besoin, et j’aime bien de temps en temps me faire plaisir sexuellement avec son accord… J’aime bien de temps en temps me faire plaisir sexuellement avec son accord.
Ce samedi soir j’étais invitée à un anniversaire « d’une copine » travaillant dans l’association dont je m’occupe. Pour ses 58 ans elle avait invité toutes les personnes qu’elle estimait comme elle avait dit.
Mon homme Louis, de retour de déplacement vendredi soir m’avait dit qu’il souhaitait rester au calme à la maison pour se reposer. Il m’a proposé bien évidemment d’y aller seule.
Marc, une personne de l’association devait me prendre vers 19 h pour me conduire à la maison festive. C’est un coquin, très sympa, qui aime me toucher les fesses ou mon cul par jeux. Et comme je ne suis pas une féministe Wook cela me va bien, je dirais même que c’est gratifiant dans la limite du raisonnable. Il était à l’heure, il n’a même pas voulu prendre un café à la maison en venant me chercher. ½ de route et nous arrivons. Pas beaucoup de monde, les habitués.
Soirée assez plaisante, rire, sous-entendus, et surtout une soirée super arrosée. Marc était resté avec moi toute la soirée, si j’osais, je dirais me dévorant des yeux. Au bout d’un moment la soirée étant devenue très longue je décide de repartir. Je dis bonsoir à tout le monde. Marc voulait rester encore un peu à la fête mais il s’est décidé de me raccompagné au moins jusqu’au bus.
Nous sommes sortis tous deux, il devait être deux heures du mat. Nous marchions donc tous deux, en divaguant à droite à gauche, bien chauds et bien excités déjà. Faut dire que Marc qui a un sacré coup dans le nez, avait déjà bien attaqué en me mettant sa main entre mes jambes pendant que nous étions à table, surtout qu’il savait que je ne portais pas de sous-vêtement ! Je m’étais donc fait caresser, puis doigté pendant tout le repas, sous les yeux des convives qui devaient se demander pourquoi j’étais aussi rouge et hilare. Je me suis même rapproché très près de la jouissance alors qu’il insistait sur mon clitoris. La boisson avait bon dos. Je le regardais en lui promettant de lui rendre coup pour coup cette petite digression, et il avait répondu en enfonçant un deuxième doigt dans mon intimité, ce qui me provoquait des frissons partout. Avant de les sortir et de se lécher discrètement les doigts en me regardant. Je vous l’avais dit, il est vraiment très coquin ce Marc et j’avoue c’était très excitant.
Une fois sortis de la fête, nous étions donc à la recherche de ce bus pour nous ramener ; Marc me plotait le cul constamment, moi j’étais déjà bien entamée et je riais d’un rien. Mais je riais beaucoup moins quand je me rendis compte que le bus attendu ne viendrait jamais : dernier départ des terminus : une heure. Raté. Prochaine arrivée : 6 heures. Hors de question d’attendre trois heures en pleine nuit, je voulais rentrer à la maison. Nous décidions alors d’appeler un taxi, ce qui était la seule bonne solution qui s’offrait à nous.
Marc décoche son téléphone, l’application Uber mais Béthune n’est toujours pas desservi. Il se rapproche alors d’une compagnie de taxi locale. Nous attendons dix bonnes minutes avant qu’une grosse berline ne s’arrête devant l’arrêt de bus. Le chauffeur visiblement mal réveiller mais je dirais surtout ronchon descend la vitre et nous propose de m’installer à l’arrière. Je monte après avoir roulé une superbe pelle à mon ami pendant que lui continuais à me mettre une main au cul. Je suis certaine que le chauffeur avait remarqué ce beau au revoir.
Un bonjour échangé, il démarre et nous sommes ensemble. Il parle peu mais ça me va bien, je ne suis pas très loquace quand je ne connais pas. J’avais observé qu’il avait tendance à me regarder plus que régulièrement sans son rétroviseur et j’en jouais sans le regarder en écartant mes jambes assez fortement. Pendant la route j’ai regardé dans mon sac et préparer l’argent pour la course et là. Je sors mon portefeuille et m’apprête à sortir les 30 euros quand je me rends compte que mon portemonnaie est presque vide… que des pièces jaunes, pas de billet… je n’avais pas penser que je reviendrais en taxi surtout.
Il s’arrête quand il apprend que j’ai un problème d’argent dans une ruelle peu éclairée, il fait noir c’est une nuit de novembre et il ne fait pas chaud, Je lui demande alors s’il prend la C.B car je n’ai ni chèque ni liquide. Et là. Il me répond non, qu’il n’a pas l’appareil à carte dans la voiture et qu’il souhaite uniquement chèque et liquide. Je me sens honteuse, je ne sais pas quoi faire, je lui demande s’il peut me mener à un DAB, mais je me rends compte que vu le lieu et l’heure, il n’y aura rien à proximité.
Il se retourne alors et me regarde, l’air méfiant. Il me demande comment je compte payer. Il ne veut pas faire le tour de la ville à la recherche d’un distributeur pour faire monter la note sans qu’il soit payé après, il semble agacé. Il me dit alors :
- Je me lève spécialement pour vous à 2 heures du mat pour vous aider et vous ramener chez vous et vous ne pouvez pas payer. On fait comment ?
- Si pas moyen de d’arranger, je ne peux pas payer vous avez cas vous payer en nature… (quand on a plus qu’un verre dans le nez on ne réfléchit pas forcément avant de parler)
- Ah oui c’est sympa de votre part et comment ?
- On s’arrange, pas de fric, je vous règle en nature.
- Il faut voir…C’est cela ou j’appelle la police, il faut bien que je me fasse payer la course.
J’essaye donc avec bien du mal de discuter pour négocier des choses cool pas trop hard mais rien à faire. Je suis en train de saturer et surtout voir renoncer l’alcool lui me faisant toujours de l’effet. Et là, comme par magie le chauffeur se calme, me demande de me calmer, puis sort du taxi avant de me rejoindre ouvre ma portière et sans entrer dans la voiture me dit que tout va bien se passer et tente de me rassurer tout en me dévisageant du regard et l’envie sans aucun doute de me baiser.
- Allons une belle femme comme vous ne et moi il y a toujours une solution à tout problème.
Tu parles, je savais au plus profond de moi-même la solution que je lui ai proposée le faisait déjà bander. Il me demanda de me pousser un peu dans la voiture pour qu’il puisse s’assoir à côté de moi. Une fois assis, Il me met sa main sur ma cuisse nue, je la trouve chaude et douce. Il monte et descend sa main sur ma cuisse, et je le laisse faire, puis il se penche vers moi et embrasse mon cou, avant de capturer ma bouche. La sensation est délicate, ses lèvres épaisses et sa langue savoureuse et là encore pas vraiment surprise je me laisser faire. Il faut dire que Marc m’avait chauffé toute la soirée, pourquoi ne pas terminer le travail. Ce n’est pas un canon de beauté, il à la quarantaine bien passé, mais il me plaît, j’ai toujours aimé les hommes un peu métissés et sa douceur me donne envie d’aller plus loin.
Je mets alors ma main sur son pantalon et je sens tout de suite une belle bosse à l’endroit le plus intéressant. Pas de doutes, monsieur est bel et bien excité. Je sais comment il veut que je paye ma course. Un rapide tour d’horizon, personne dans la rue, phares éteints, je décide de passer à l’action, je déboutonne son pantalon et en extirpe sa belle queue bien droite, elle est vraiment énorme. J’en ai déjà vu des grosses mais celle-là est vraiment belle. Je me penche sur lui et j’ouvre la bouche et je commence à la sucer, j’arrive difficilement à la mettre entier dans ma bouche mais je le suçote lentement et il aime ça.
Il arrive à ouvrir mon chemisier, libérant mes seins. Je ne porte jamais de soutien-gorge. Il commence à caresser mes seins, pinçant mes tétons pendant que je continue de le pomper avec avidité. Puis sa main descend vers mon sexe et il glisse un doigt à l’intérieur pour le toucher, il est déjà bien humide. Il y glisse un doigt et commence-les vas et viens pour mon plus grand plaisir, je mouille beaucoup et j’ai envie de me faire baiser mais non je vais résister.
Je la lape goulûment avec délectation. J’engouffre sa queue en m’écartelant la bouche. Elle est si grosse ! Quelle érection ! Je n’en avale que la moitié. Alors, je me mets à le branler doucement. J’aimerais qu’il me gicle dans la bouche. Comme ça ! Tout prendre de lui. Cette idée me submerge et déchaîne ma passion. Je pompe. Il gémit mais ne jouit toujours pas. Il faut que je le branle activement pour le faire gicler dans ma bouche pour en finir au plus tôt. C’est ça que je la veux. Mais il ne veut pas jouir le bougre, il veut faire durer. Au bout d’un moment il sort de ma bouche avec un peu de violence pensant qu’il al ...
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