L’air dans les chiottes publiques était lourd, saturé d’humidité et de l’odeur âcre du désinfectant. La lumière vacillante dessinait des ombres mouvantes sur les murs, étirant chaque forme, comme pour nous rapprocher encore plus. J’avais choisi une pissotière isolée, loin de l’entrée, mais l’air chargé semblait retenir son souffle, prêt à exploser de tension.
Des pas lents se firent entendre. Mes muscles se tendirent, mes sens en alerte. Un frisson parcourut ma colonne lorsque ses hanches frôlèrent les miennes. La chaleur de son corps et la proximité immédiate amplifiaient chaque sensation, chaque frémissement de peau.
Le froissement discret du tissu éveilla mes nerfs. Puis le silence retomba, saturé de tension. Nos regards se croisèrent, un message silencieux mais clair : « t’as capté… ».
Mon regard descendit presque malgré moi vers ses hanches, là où sa queue tendue et ses couilles se dessinaient sous le tissu. Le frisson qui parcourut ma peau fut instantané. Ses muscles se contractèrent légèrement, ses hanches s’ajustant presque instinctivement, répondant à ma fascination.
Il posa ses mains sur sa braguette. Lentement, presque cérémonialement, il défit le bouton et tira la fermeture éclair. Le tissu glissa le long de ses cuisses, dévoilant progressivement son matériel. Sa queue tendue se dressa, tendue et fière, et ses testicules se révélèrent, frémissant légèrement sous leur propre poids.
Sans un mot, sa main descendit vers moi, trouvant ma queue tendue. Ses doigts la caressèrent avec précision, jouant doucement sur la rigidité, chaque micro-mouvement provoquant un frisson électrique qui traversa mon corps. Ses gestes étaient mesurés, sûrs, comme s’ils dictaient un rythme invisible que mon corps suivait à l’unisson.
Puis il fit un pas vers une cabine vide, et je le suivis instinctivement. La porte se referma derrière nous, enfermant notre chaleur et nos souffles dans l’espace exigu.
Mes mains retrouvèrent ses hanches, explorant le contour de sa grosse bite, effleurant ses couilles, qui frémissaient à chaque toucher. Il pencha légèrement la tête, et ses lèvres vinrent effleurer ma queue tendue, glissant avec lenteur, jouant avec la base, remontant le long de la rigidité, chaque pression et frôlement précis amplifiant le frisson dans tout mon corps. La chaleur et la douceur de son souffle rendaient chaque sensation plus intense.
Je réagis instinctivement, mes lèvres glissant le long de sa grosse bite, traçant le contour de son gland et effleurant ses testicules avec délicatesse. Les muscles de ses cuisses se contractaient à chaque mouvement, répondant à la chaleur et à la précision de mon geste. Chaque vibration de ses hanches amplifiait chaque sensation, chaque souffle partagé intensifiant la proximité.
Nous étions collés l’un contre l’autre, l’espace exigu amplifiant chaque caresse. Ses doigts parcouraient mes flancs et mes hanches, traçant de longs cercles sur ma peau, tandis que sa bouche explorait chaque détail, faisant frissonner ma queue tendue sous chaque effleurement. Mes lèvres, en retour, s’attardaient sur sa grosse bite, glissant sur se ...

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