Je travaillais à cette période dans un magasin de centre commercial qui avait vu sur la terrasse d’ une brasserie.
Une clientèle d’habitué… avec la routine qui va avec…
J’avais remarqué que le samedi matin la même femme se posait en terrasse pour lire devant un thé… toujours très bien habillé sobre et classe et pour mon grand plaisir tout le temps en robe…
Ses longues jambes fines et élancées étaient un régal pour les yeux des hommes qui avaient la chance de passer pendant ces 2 heures de lecture…
Elle était tellement simple et naturelle… la cinquantaine, élégante, cheveux bruns, longs bouclées, visage fin, peu marqué par le temps…
Elle me fascinait… les samedis où elle n était pas là étaient d une déception !!!
Je cherchais à croiser son regard quand elle levait les yeux de son livre pour avaler une gorgée de thé et ce moment arriva enfin. Je lui décrochais mon plus beau sourire appuyer d’ un clin d’œil évocateur…son sourire gêné et ses regards furtifs par dessus son livre me fit comprendre qu’elle avait été troublé du moins interpellée par mon sourire…
Les samedis passaient, les sourires et contacts visuels étaient au rendez-vous…
Jusqu’au jours où j appuyais mon regard sur ses jambes bronzées… son sourire devint plus grand encore… nos regards se croisaient de plus en plus souvent, de plus en plus longtemps et ses jambes se croisaient et décroisaient plus que d habitude… toujours avec classe…
J avais évidemment envie d’elle, de découvrir la douceur de sa peau, de caresser ses jambes que je trouvais magnifique, de libérer ses seins que je devinais sous ses légers chemisiers de goûter au parfum de son sexe que j espérais humide quand elle quittait sa place avant le service du midi.
Et puis ce samedi matin, je pris mon courage à deux mains ( j étais bcp plus jeune à cette époque 25 ans) et je lui emboîtais le pas quand elle quittait sa chaise, je la suivis un moment et je lui attrapais la main pour y glisser un papier sur lequel j avais préalablement inscrit mon numéro de téléphone en lui disant de me contacter quand elle voulait…
Je tournais les talons et pris littéralement la fuite…sûrement rouge de honte…
J attendais fébrilement un message mais rien… la semaine passait, le samedi arriva et elle était la quand j arrivais au magasin, à sa table habituelle, le nez dans son livre…
Nos jeux de regards reprenait, les sourires aussi, les croisements de jambes également…
Ouf, elle était toujours joueuse et pas contrariée de mon approche…
Planté à mon poste d observation dans mon magasin, je ne pouvais quitter cette place pendant ces deux heures … ces jambes ce regard étaient bien plus intéressants que mes clients…
Elle venait plusieurs fois par semaine maintenant, tjrs en mode lecture, sourire, regard mais pas de contact téléphonique…
Et puis un jour ses jambes se décroisèrent plus lentement que d habitude pour me laisser voir ses dessous, je découvrais le haut de ses bas, le blanc de dessous dentelles… mon sourire déclencha aussitôt le sien… elle savait qu elle m excitait, ces yeux rieurs étaient très explicites… elle déboutonnait son chemisier pour caresser d un doigt le creux de sa poitrine tirant un peu sur le tissus pour ouvrir au maximum sans me laisser voir complètement…
Ces petits jeux excitants montaient d intensité à chaque visites jusqu’au jours où sous sa robe le tissu avait disparu laissant voir un sexe nu légèrement poilu… elle savait que mon sexe était réveillé, elle regardais la bosse sous mon jean constamment… je prenais plaisir à ses jeux divins qui étaient très intenses, erotiques… je fantasmais souvent sur elle… mais je pensai pas qu’elle voulait plus … sa cinquantaine mes 25 ans, son style bourgeoise, mes jeans baskets…
Et puis un jour après 2 heures de jeux de regards, d exhibition et son départ..: je reçois une photo d un ventre plat bronzé laissant apparaître le début d un pubis brun suivi d une adresse et d un message qui disait
« je t attends, ne dis rien, occupes toi de moi et repars»
Je quittais mon poste prétextant ma pause repas et le rendit à l adresse, le cœur battant dans ma poitrine j avais l impression qu il allait exploser…
Je trouvais sa porte ouverte, je rentrai, prenant soin de refermer derrière moi et je me dirige vers la musique qui passe pour diriger.
J ouvres une porte et découvre cette femme magnifique nue, allongée sur le dos, une jambe repliée sur la deuxième… Je m approche fébrile, hésitant me posant mille questions, dois-je être doux, sauvage… je décide donc de monter crescendo, je m assois à côté de ses pieds, poses mes mains dessus et commences à les caresser de la paume tout doucement effleurant la douceur de sa peau… ses yeux restés fermés depuis mon arrivée se plissent un peu plus au contact de ma main sur sa peau… elles n osent pas me regarder je penses… ma main continue ses caresses tout en remontant lentement sur sa jambe tendue… Son autre jambe toujours repliée sur celle que je caresse s’ouvres lentement pour laisser ma main monter plus haut, je découvre alors ce joli sexe légèrement entre ouvert que j imagine humide. Sa peau frissonne sous mes caresses ma main à changer de cuiss ...

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