Quel enfer! Cela faisait maintenant trois semaines de canicule. Le mercure ne descendait pas en dessous de 28 pendant la nuit…et le jour on frôlait les 40. Tout était écrasé de chaleur.
Après une journée de travail, j’étais ruisselante. Tout mes vêtements me collaient, c’était désagréable . Le pire c’était mes dessous, ma culotte me rentrait dedans, je la sentais poisseuse.
La clim de la voiture m’apporta un semblant de fraîcheur, il me tardait dedans rentrer.
J’arrivais enfin chez nous.
Je ne rêvais que d’une chose, une douche froide.
Je trouvais sur la table un petit mot de mon mari :
La douche extérieure est opérationnelle.

Il avait enfin fini de mettre en place notre douche extérieure. Je frissonnais à l’idée de cette douche froide. En plus elle était à l’abris des regards, je pouvais me mettre à mon aise.

Je m’approchais de la dite douche et commençais à retirer mes vêtements. Tout était collant de transpiration, j’avais l’impression de retirer une vieille peau comme un lézard qui mue.
Je me retrouvais en culotte et soutien-gorge, que je retirais également. Je ne m’étais pas trompée, ma chatte étais poisseuse de transpiration. La sensation d’être nue dehors commençait à me lubrifier.
Malgré l’absence de vêtements, je ne trouvais pas de sensation de fraîcheur, la chaleur moite de fin d’après-midi était écrasante.

Je me plaçais sous le pommeau et allumais le jet. L’eau dans le tuyau était brûlante, mais cela faisait du bien.
Puis l’eau du puit arriva et je fus saisie par la fraîcheur.
Je lâchais un petit cri et sentis instantanément mes seins se durcir. Mes tétons se dressèrent et devinrent très sensibles.
Que c’était bon!
Je me savonnais et commençais à faire courir mes mains sur mon corps.
C’est à ce moment que j’entendis mon mari arriver avec son vélo.
Il le rangea et s’approcha pour lui aussi se doucher.
-Désolé, mais la place est prise. Tu vas devoir attendre.
-pas question! J’ai trop chaud…et tu es trop belle.
Je le vis de déshabiller . Il était lui aussi dégoulinant de sueur…et la vue de sa femme nue sous la douche froide avec ses tétons dressés l’avait mis en forme. Il vint se placer derrière moi pou être sous le jet.
Il posa ses mains sur mes seins et m’embrassa dans le cou.
-arrête , tes mains sont brûlantes…
-elles vont vite refroidir…
Je me laissa faire, et me détendit.
Mon mari caressait mes seins et descendit en m’embrassant le long de mon dos.
Il léchait chacune de mes vertèbres, en faisant descendre ces mains depuis mes seins vers mon ventre, mes hanches et finalement mon mont de Vénus.
Il m’embrassa la naissance des fesses et commença à me caresser le clitoris. Que c’était bon et tendre.
La fraîcheur et ses caresses me donnait la chair de poule.
Il s’agenouilla, je sentis sa queue contre ma jambe, malgré le froid il était dur.
Je sentais son souffle brûlant sur mes fesses…quand il commença à me lécher le cul.
La sensation de sa langue sur ma rond ...

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