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Week end de Paques 1

Publié par : julera le 15/07/2023

Après plusieurs réunions de famille pour des évènements douloureux, toute ma famille maternelle a décidé de faire une cousinade car étant tous géographiquement éloignés on ne se voyait presque plus que pour les enterrements. Une cousine et une tante ont géré l'organisation et le week end de Pâques a été retenu permettant à tout le monde de faire la route tout en bénéficiant d'un long weekend. Avec des Bretons, des nantais, des savoyards et des nicois, le centre de la France a été retenu pour cet événement. Le massif central nous voilà.

Je vais présenter rapidement tous le monde pour que vous ne soyez pas trop perdu. Les Bretons sont représentés par ma mère femme célibataire divorcée de mon père décédé qui s'appelle Gwenaëlle, 65 ans qui vit a Vannes. Le second breton c'est moi, je suis récemment parti de Nantes pour revenir dans le morbihan suite au décès de mon père (on parlera de ma situation plus tard), je m'appelle Chris 36 ans. Pour Les Nantais il y a mon oncle Jean Pierre 63 ans, frère de ma mère ainsi que sa femme Paulette 65 ans. Leurs deux enfants Maxence 32 ans et Sophie 37ans avec leurs conjoints respectifs et trois petits enfants au total. On a aussi les Savoyards avec mon cousin Philippe 41 ans et ma cousine Manon 38 ans, enfants de mes défunts oncle et tante. Philippe est marié a Sybille et ils ont deux filles adolescentes. Manon nous présente son chéri alex ce weekend. Et pour finir les niçois sont au nombre de quatre, ma tante Émilie soeur cadette de ma mère 54 ans son mari Éric du même âge et leur deux enfants Léa 23 ans et Julien 21 ans.

Je vais me présenter Chris, bisexuel nantais depuis longtemps et connaissant bien certains lieux d'amusement de nantes, ma vie a changé drastiquement il y a quelques mois. Mon père célibataire est décédé et m'a légué une petite fortune financière et immobilière au grand dam de ma mère qui n'a rien eu. J'ai toujours travaillé mais là vu le capital, j'ai décidé de cesser mon activité et de devenir rentier grâce à des placements en immobilier. Je vis très confortablement, pas de quoi acheter un yacht mais suffisamment pour avoir une belle vie. J'ai déménagé dans le sud Morbihan. Les nantais vous inquiétez pas, je reviens souvent. J'ai acquis une jolie propriété et une belle voiture, je profite de mon terrain et de mes chiens seul vrai caprice avec ma voiture. Sinon toujours le même 1metre 90 115 kilos barbu sportif mais pas trop.

Bref revenons à ce week end de Pâques. Ma cousine Léa est etudiante en droit à paris. Elle venait de rompre avec son chéri, son chauffeur pour le weekend et elle etait exceptionnellement sur Nantes pour une affaire juridique qu'elle étudie dans le cadre de son master. Les nantais ont les voitures déja bien rempli donc c'est à moi qu'il revient de récupérer Léa.
Petite présentation de Léa qui sera le deuxième personnage important de ce weekend même si je l'ignorais en partant. Intelligente à souhaite, impertinente et princesse sur les bords, elle brille dans son parcours universitaire. Physiquement, elle est très grande 1m78 (dans la famille on est grand), très fine, les cheveux longs ondulés châtains, très élégante avec un regard mutin, des fesses bien perchées et une petite poitrine. Un bronzage dorée qu'elle a acquis pendant son enfance en meditterannée et qu'elle n'a pas perdu en allant sur Paris. Ce n'est pas vraiment ce que je préfère comme type de femme mais elle est jolie, c'est indéniable.

Je suis donc chargé de récupérer la petite cousine chez une copine qui l'a hébergé cette semaine. Je prends la route en fin de matinée au volant de mon caprice, un coupé puissant avec une étoiles a trois branches pour ceux que ça intéresse. Arrivé à Nantes sur les coups de 13h, je repère Léa au point de rendez-vous chargée comme pas permis. On s'enlace, l'un l'autre on est trop content de se voir, elle est radieuse. Dans mes bras, j'ai l'impression d'avoir une brindille. Revenons à sa charge je lui dis :'' Jamais tout va rentrer'' Elle n'a jamais vu mon amg et n'avait pas compris le côté réduit de mon vehicule. Après 15 minutes de négociation et malgré ses yeux de biche, elle abandonne une valise chez sa pote et nous voilà sur la route. Au premier vombrissement de ma voiture, Léa panique un peu et j'avoue ça me fait un peu marrer. C'est parti pour plus de 5 heures.

Je n'avais pas fait attention à la tenue de ma cousine jusqu'à maintenant. La promiscuité du cockpit aidant, je peux la détailler derriere mes lunettes de soleil. Elle porte un short en toile noire taille haute qui laisse ses jambes infinissables à nu et un crop top sans soutien gorge recouvert par une veste en jean très courte. Ses fins tétons transpercent le tissu de son haut ce qui ne me laisse pas indifférent. Cela m'attire un peu trop la vue chose que je n'avais jamais connu ni pour elle ni pour aucune femme de ma famille. Pour chasser cette vue de ma tête, je me concentre sur la route et entame la discussion avec ma cousine pour savoir comment elle se porte. On parle rapidement de ses études, elle m'explique le cas qu'elle est venue étudier sur Nantes une affaire pour finaliser son Master et se sortir de Paris. Je n'ai pas compris tous les aboutissants mais cela à l'air de la passionner.

La discussion bascule rapidement sur sa récente séparation . C'est la première fois pour Léa d'être la personne qui est quittée. Elle a toujours eu l'habitude qu'on lui mange dans la main et elle avait toujours mener ses conquêtes par le bout du nez. Elle commence une scéance d'autoflagelation intellectuelle. Je tâche de la rassurer du mieux que je peux même si je reste persuadé que lorsqu'elle dit qu' elle est pénible il n'y a aucune exagération car elle est un peu la princesse. Sa tristesse, malgré son caractère, me peine et puis c'est ma petite cousine donc elle a le droit d'être chiante. Je tente machinalement pour lui apporter ma sympathie et pour la consoler, de lui poser ma main sur la cuisse pour tapoter et la réconforter. Le résultat n'est pas celui escompté car immédiatement je sens une tension qui n'a rien de très sain. Je retire immédiatement ma main pour écourter le malaise au plus vite. Ce contact m'a électrisé, j'ai l'impression qu'il a donné un coup de chaud à Léa qui a été surprise. Je me décide de me concentrer sur la route. Ma passagère commence à s'endormir bercer par le ronronnement du véhicule. Je sais pas si c'est de la fatigue ou de la gêne mais je me sens très con.

Deux heures plus tard c'est l'heure de la pause essence et clopes. Lorsque que j'arrête la voiture à la station, la belle au bois dormant sort de son somme. Je paye une tournée de café et on sort pour que je fume ma clope. Léa m'en demande une, je ne la connaissais pas fumeuse mais pourquoi pas. L'aire d'autoroute est bondée, je fais quelques traits d'humour sur tel ou tel cliente qui permet de briser la légère distance avec Léa qui s'était installée et on commence à rigoler. Quand on rejoins la voiture, un père de famille montre à son petit garçon mon vehicule. A notre arrivée, le père s'excuse du dérangement, je lui signifie tout de suite qu'il y a pas de problème. Voyant les étoiles dans les yeux du petit garçon, je propose au père de faire monter le petit dedans et de démarrer la voiture. Le petit garçon est aux anges, le père prends une photo et me remercie. Pour conclure cet échange, je mets un léger coup de gaz qui fait rugir le moteur pour le plus grand plaisir du gamin et du mien. La petite famille s'éloigne et Léa me chambre en disant que c'est une bagnole un peu m'as-tu-vu et tout sauf pratique. Apparemment elle n'a pas encore oublier sa valise rester chez sa pote. Il nous reste deux heures de route.

De retour sur l'autoroute, la glace est brisée, le malaise envolé et Léa m'interroge sur comment je vais depuis le fameux décès et constatant que j'ai fais mon deuil, elle commence à me poser des questions sur ce que je fais de mes journées car tout le monde dans ma famille sait que j'ai un peu tout plaquer. Je lui explique que le décès de mon père a été un déclic. Mon père s'est tué à la tâche et j'ai décidé de ne pas faire la même chose. Puis ma cousine commence a m'interroger sur ma vie sentimentale. Étant célibataire, je lui explique que je vivote et que je profite de la vie. Elle se moque de moi et de ma voiture en disant que pour draguer ça doit aider. Je lui réponds que la moto ça marche mieux mais pour emmener des valises et une petite cousine un peu trop curieuse, c'est plus compliqué.

On rigole et on reprends en coeur les chansons qui défilent de ma playlist. Alors qu'on arrive au hameau, Léa ...

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Mots-clés : En partie vraie, Jeunes, Quadra, Européen(s), Cousins