Il y a 16 ans, j’avais une copine qui lorsque je lui ai demandé de me mettre un doigt dans mon petit trou m’a dit : « J’espère que mon mec n’est pas un gay refoulé ».
Elle me l’a fait sur le coup mais on n’en a jamais reparlé.

Un mois après je lui ai proposé un plan à 3 avec elle et un autre gars. Elle m’a répondu, « tu me prends pour quoi ?», et je lui ai répondu : « Pour rien d’autre, qu’une femme fidèle et amoureuse mais qui a besoin de découvrir d’autres facettes du plaisir, pas de rencontre extraconjugale l’un sans l’autre. Tu ne dois rien me dire maintenant et tu me réponds dans trois jours ». La réponse fut positive.
Je voulais qu’elle soit totalement offerte à mes désirs, et je ne voulais pas qu’elle choisisse qui viendrait s’occuper d’elle avec moi. Je lui ai dit, qu’avec un peu de chance, le mec ne lui plairait pas trop et que ce serait plus excitant ainsi. Oui j’ai un petit côté pervers.
J’avais trouvé un pote de boulot, que je savais bi. Il était Burkinabé et on s’entendait bien, mais on n’avait jamais rien fait ensemble. J’ai pris le risque parce que je ne savais pas la taille de sa queue et je ne voulais pas non plus le savoir à l’avance pour pimenter un peu la chose.
Les blacks ont la réputation d’avoir une grosse bite et j’avais quand même un peu peur pour elle comme pour moi.
Juste avant qu’il arrive, je l’ai fait se mettre nue avec un bandeau sur les yeux, elle était dans la chambre, debout face au mur.
Il arrive, je lui fais signe chut avec le doigt et il enlève sa veste. Je me déshabille il fait de même et je vois sa queue. Elle est de même taille au repos que la mienne que lorsque je bande alors ça confirme un peu ma peur et m’excite de plus en plus.
Il s’approche d’elle la touche du bout des doigts sur les épaules, lui dit bonjour d’une voix suave. Elle ne répond pas, elle est figée, elle a peur, ça m’excite.
Je me dis, qu’elle va prendre cher. Lui, il l’a fait tourner pour l’observer comme une marchandise. Il continue de la faire tourner, elle lui tourne de nouveau le dos. Il la stabilise se colle à son dos sa verge tombante contre sa raie et lui dit d’une voix sérieuse en lui empoignant les seins « Tu es un beau cadeau pour cette belle journée, si ça me plaît je demanderai à ton mec combien il veut pour que je te garde … »
Sur ces mots, elle n’a rien dit, mais elle a eu un petit sursaut d’inquiétude (il plaisantait). À lui, je lui ai dit dans l’oreille reste dans cette position. Étant collé à son dos et ses fesses et en lui tenant les seins, elle ne pouvait pas trop bouger.
Je lui défais son bandeau, et la première réaction qu’elle a eue, c’est de regarder les mains qui lui tenait les seins. Elle rougit en voyant la couleur de la peau et me dit « je me doutais, et j’espérais que ce soit ton copain Moussa » il relâche ses seins et descends ses mains sur ses hanches et je dis « mais tu n’as pas encore vu son visage. Ce n’est peut-être pas celui que tu penses ».
Là elle devient encore plus rouge et elle passe une main derrière, elle tâte sa queue, elle est surprise et découvre la taille de cette grosse tige.
Elle me dit « c’est trop gros, ça ne va jamais rentrer » et je lui réponds pour rigoler mais d’un ton sérieux « T’inquiète pas pour ça, je te tiendrais, il forcera un peu et ça rentrera, je mettrai mon sexe dans ta bouche pour empêcher de crier ».
Elle me dit « Tu me fais peur ! » et je lui réponds « je sais, mais ça t’excite », et elle me dit en chuchotant « ouiiiihhh »
En temps normal, c’est une fille qui n’aime pas sucer, mais ne vous inquiétez pas, je ne me laisse pas faire. Ce qui n’empêche pas qu’elle est quand même réticente, mais finit toujours par se soumettre.
La Monsieur Moussa, se retrouve face à elle, elle sourit en le voyant et dit « je savais que c’était toi, enchanté de faire enfin ta connaissance, je t’avais vu sur une photo de chantier ». Il lui dit « Chut ! » en faisant un clin d’œil puis l’attrape et l’enlace, une main sur les fesses, une main Sur les omoplates, la plaque contre lui, elle ses seins s’écrasent contre son torse musclé, j’aime bien voir cette nuance de couleur, rose et chocolat ! Et cet enfoiré vient lui rouler un patin, qu’elle essaye de se défaire, mais finalement cède à son plaisir. Cela m’excite alors qu’avec elle, on avait dit pas d’embrassades, mais lui n’était pas au courant. Je mets une claque sur la fesse à Moussa et lui dit que ça ce n’est pas autorisé.
J’arrête aussitôt, elle en bonne salope qu’elle n’a jamais été auparavant, reste bouche entrouverte avec la langue pointue, qui sort un peu, un filet de bave, relie leurs bouches.
Il lui dit « chienne, tu vas m’obéir et garder ta bouche ouverte comme elle est là. Maintenant tu vas m’en enlacer et attraper mes fesses de tes mains », ce qu’elle fit sans chercher à comprendre. Puis il lui dit « maintenant accroupis-toi et fait durcir ta nouvelle sucette avec ta bouche ». Elle met un temps d’hésitation, le regarde dans les yeux deux secondes puis me regarde à mon tour, et se laisse descendre sur ses jambes face aux siennes, tout en me regardant, comme si elle allait mourir, tout en gardant ses mains sur les fesses de Moussa, elle avance sa bouche, pose ses lèvres sur le prépuce qui recouvre son gland, elle pousse la peau de ses lèvres, le sexe rentre dans la bouche elle avance un peu plus, recule et garde juste le gland dans sa bouche.
Là je vois que ça bouge dedans, je comprends ce qu’elle fait. Elle roule une pelle à ce bout délicat et essaye de le faire fondre.
Je suis stupéfait, qui aurait cru qu’elle serait capable de faire ça. Je ne peux plus bouger, ça m’excite tellement de les regarder, ma queue est toute raide, et je me dis que je vais jouir rien qu’à les regarder, ce n’est pas possible.
Elle arrête son jeu de langue, elle avance de nouveau jusqu’à la moitié, recule, recommence, recule encore, Marques, un temps d’arrêt, j’ai l’impression qu’elle est en train d’avaler quelque chose, peut-être a-t-elle trop de salive dans la bouche, peut-être que c’est lui qui perd trop de liquide séminal, elle ne recrache pas, elle avale, ma chérie s’est transformée en vraie salope, Dieu que je l’aime comme ça !
Elle attend deux secondes sans rien faire, la bouche toujours autour de son gland et recommence à avancer jusqu’à la moitié de sa bite. Elle attend et plutôt que de revenir elle s’avance plus loin, il en manque un peu, je me dis qu’elle va revenir, mais non elle se force et arrive jusqu’à la garde. Elle tousse plusieurs fois d’étouffement et ses mains se resserrent sur les fesses de Moussa, qui lui me regarde, et qui a du mal à y croire. Pour couronner le tout, elle qui met deux coups de tête en avant comme si qu’elle voulait aller plus loin.
Je n’en reviens pas, je crois que je vais jouir, et j’ai peur que lui aussi, c’est trop tôt. Je regarde par terre et je vois que la moquette est mouillée. Bon sang, sa chatte coule comme jamais.
Elle recule la tête tout en aspirant par la bouche, pour ne rien perdre, et avaler toute sa salive, tout son mucus, et tout ce qui sort, et est sorti de sa queue.
Je m’approche, je passe ma main sur sa chatte toute mouillé, et je la donne à lécher à monsieur qui ne se fait pas prier pour la prendre en bouche. Je recommence et la met cette fois ci dans sa bouche à elle, elle est gourmande je recommence et porte ma main à ma bouche.
Je m’approche d’elle et je lui roule une pelle. Elle est très excitée, elle ne m’a jamais embrassé avec une telle passion. Quand je décolle mes lèvres de sa bouche, elle me regarde avec des yeux larmoyants de bonheur, et me dit merci. Elle est aux anges d’avoir sucé cette queue.
C’est merveilleux.
Je regarde la bite de Moussa, je suis beaucoup moins inquiet maintenant. Sa bite a bien durci, mais elle n’a pas trop gonflé, je suis surpris, mais content.
Du coup, il l’a fait se mettre à quatre pattes sur le lit, je lui dis d’attendre et je dis à ma chérie « je veux qu’il rentre en toi d’un coup » elle me dit qu’elle a peur d’avoir mal, mais je lui réponds que non car elle mouille tellement qu’elle a dû se dilater toute seule.
Elle a acquiesça d’un signe de tête sans parole, lui avait déjà positionné son gland à l’entrée de son vagin, et posé ses mains sur les hanches qu’il tira à lui d’un coup tout en avançant son bassin. Elle cria un grand « aaaaaaah ».
Moussa, sans ressortir sa queue monta sur le lit à quatre pattes collé au cul de Marie et il se mit à taper dedans, et elle de sa bouche sortirent des « aïe, aïe, oui, oui, tu me fais mal, continue, aïe, aïe, ouh, plus fort, … »
Je n’en crois pas ce que je vois, ni ce que j’entends. Je vais finir par jouir sans avoir rien fait, ni même mettre toucher la nouille.
Bon, ce serait quand même con de jouir de cette manière, du coup je me mets à genoux devant elle, sur le lit pour lui remplir la bouche de ma queue toute baveuse qu’elle prend avec gourmandise sans que je le lui demande.
Hé hé ! C’est bien la première fois que Marie prend ma bite avec sa bouche, sans que j’aie à lui demander, et encore moins insister. Elle va tout de suite à la garde, elle revient s’attarde sur mon gland, bon sang, que cette idée était bonne, je dois faire de sacrés efforts pour ne pas jouir.
Ça dure un moment comme ça, un coup en levrette, un coup sur le dos, retour en levrette, après c’est à mon tour.
Elle est sur le dos, je lui relève les jambes, je fais des allers-retours dans sa chatte, elle a la tête au bord du lit à l’envers ...

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