En début de semaine, ma femme m'a demandé si je pouvais amener sa meilleure amie à l'aéroport car elle doit y être à 6h30 et cela lui faisait trop tôt pour elle parce qu'elle a besoin de temps pour s'apprêter.

Donc, ce matin, comme convenu, j'ai déposé son amie à l'aéroport à 6h30.

Sur le chemin du retour, je me suis arrêté au Parc de Vaugrenier, mon parc fétiche qui est à 7 min en voiture, il est très prisé par les ouvriers qui viennent y trouver quelque motivation avant de commencer leur dure journée de labeur.

J'y suis arrivé ver 6h45, je me suis stationné au fond du long parking qui s'enfonce dans le sous-bois, il faisait encore nuit.

Ma femme m'ayant prévenu suffisamment à l'avance de cette "corvée", je m'étais arrangé pour avoir à disposition ma tenue complète de salope. Je l'ai donc enfilée, avec une excitation certaine, je dois avouer, comme à chaque fois.

Une chose qui m'étonne toujours quand, pour un instant, je change de sexe est que je ressens immédiatement ma transformation en salope à la seconde où j'enfile mes très hauts talons, c'est-à-dire que j'ai de suite envie de sucer des queues, de bouffer des couilles et de me repaître de foutres.

Et à chaque fois, je me demande si les femmes ressentent ce même basculement dès qu'elles enfilent leurs talons.

Le jour se levant à 7h20, les tout premiers rayons de l'aube se faisaient très timidement poindre au dessus de la canopée des arbres.

En quelques minutes d'attente, une voiture est arrivée et s'est arrêtée à 20 mètres.

Pour montrer mon intention, je suis sorti de la mienne, et suis passé sur la barrière en rondin pour me mettre dans le sous-bois tout en restant encore visible.

J'ai entendu une portière se fermer et j'apercevais dans la pénombre une silhouette se faufiler entre les troncs d'arbre.

Il s'approche à pas lents.

Il est passé à côté de moi, presque sans me regarder, puis s'est arrêté à 5 mètres. Il devait avoir dans les 55-60 ans. Il s'est mis à me faire signe de la main de venir, je me suis exécuté.

En m'approchant, je voyais qu'il se touchait la queue qu'il s'était empressé de sortir de sa tenue avec des bandes réfléchissantes, un genre de combinaison intégrale que l'on voit portée par les ouvriers des chantiers routiers.

Pour me mettre en adéquation avec ma véritable nature, je me suis agenouillé devant lui, il se branlait littéralement devant mes yeux.

Chose étrange, je veux plutôt dire inusitée, son langage corporel me disait de m'en tenir aux 30 cm de distance qui nous séparaient.

Sa queue était maintenant bien gonf ...

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