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Folies Lubriques à Sainte-Claire

Publié par : gaypourmecs le 17/09/2025
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18 ans, cloîtrée à l’internat pour filles Sainte-Claire, où les règles sont aussi rigides que les corsets d’antan, je suis la reine des sages. Mais, franchement, qui reste sage quand on est entourée de jupes bleu marine et de chemises blanches amidonnées, avec zéro mec à l’horizon ? Mes copines et moi, on compense l’ennui en papotant cul jusqu’à l’absurde, imaginant des Apollons inexistants. Pour pimenter nos vies monastiques, on a inventé un jeu de défis hebdomadaires, où perdre, c’est la honte suprême. Ce qui a débuté par des gamineries – chiper une craie, coller un post-it « J’aime les licornes » sur le dos d’une prof – a vite viré au délire sensuel, limite burlesque.

Compétitive jusqu’à l’os, je ne lâche rien. Premier défi tordu : virer culotte et soutif sous l’uniforme. Lundi, je parade, nue sous ma jupe, mes seins libres dansant sous la chemise, ma chatte caressée par le tissu. À chaque pas, je m’imagine en héroïne d’un film érotique cheap, jetant des regards de braise aux surveillantes qui n’y voient que du feu. Le soir, dans mon lit, je repense à ces profs ignorants, et mes doigts s’égarent, glissant sur ma peau brûlante, apaisant cette chaleur qui pulse entre mes cuisses.

Le défi suivant est carrément dingue : traverser le couloir des surveillantes à poil, en esquivant le gardien, un type glauque qui sent le vieux tabac et mate nos jupes comme un vautour. Je me lance, déshabillée sous les rires hystériques des copines, mes seins tressautant, mon cul rebondi frôlant l’air frais. L’adrénaline me fait presque pouffer, comme si je jouais dans une comédie érotique absurde. Sur huit, trois survivent.

Le troisième défi fait péter les plombs : embrasser une fille en trois jours, sans qu’elle refuse ou capte le plan. Je choisis « V », une terminale rousse, avec des courbes à faire baver une statue, des yeux verts perçants et un rire qui sonne comme un défi. Samedi soir, à la soirée clandestine – rhum cheap, sono pétée, ambiance de contrebande –, je l’observe. Son débardeur moule ses seins généreux, son jean épouse son cul parfait. Quand elle file aux toilettes, je la suis, le cœur en mode techno. Dans le couloir désert, elle me chope : « T’es en mode espionne ou quoi ? » Je ricane, joue la carte absurde : « Nan, j’me disais juste que t’es trop bonne pour ce couvent ! » Elle éclate de rire, s’approche, sa langue effleurant ses lèvres pulpeuses. « T’es conne, mais t’es mignonne », lâche-t-elle, avant de m’embrasser. Ses lèvres sont un brasier, sa langue s’enroule autour de la mienne, et je fonds comme un so ...

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