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A fond la forme

Publié par : binat91 le 19/12/2025
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C’était un après-midi d’été, étouffant et lumineux. Le magasin de sport était animé, mais mes yeux ne se portaient que sur lui. Il parcourait les rayons, choisissant avec soin un maillot de bain blanc légèrement transparent, révélant la silhouette de ses cuisses, la finesse de son torse et la force tranquille de ses épaules. Chaque geste, chaque mouvement captait mon attention, éveillant en moi une curiosité teintée de désir.

— Vous pensez que ça m’irait ? demanda-t-il avec un sourire espiègle, les yeux pétillants d’une malice qui me fit frissonner.

Mon cœur fit un bond. — Je… oui, murmurai-je, incapable de masquer le trouble qui me traversait à la simple idée de le regarder.

Il s’avança, le frôlement de son bassin contre le mien envoyant un frisson le long de mes cuisses et réveillant mes grosses couilles pendantes. Son regard, malicieux et provocateur, semblait sonder mon âme et mon corps à la fois.

— J’hésite… vous pourriez m’aider ? souffla-t-il avec un clin d’œil coquin.

Nos mains se touchèrent sur le cintre du maillot. Ce simple contact fit vibrer mon bas-ventre, mes couilles frémissant à l’anticipation de ce qui allait suivre.

— Merci… murmura-t-il doucement. — D’être là.

Il me fit signe de le suivre vers les cabines : — Suis-moi… personne ne nous voit ici.

Je le suivis, le cœur battant. Chaque pas rapprochait nos corps, nos torses se frôlant presque volontairement. Je sentais la chaleur de son corps contre le mien, le frôlement de sa queue sur mes flancs, et ses doigts glissant subtilement sur mon bras et mon dos, faisant frissonner mes couilles à chaque contact.

Arrivés devant les cabines, il jeta un regard autour de nous : — Personne ne nous voit. On peut être seuls un instant.

Je franchis le rideau avec lui. La cabine étroite et chaude semblait suspendre le temps.

— Je vais essayer le maillot… si ça ne vous met pas mal à l’aise, dit-il, les yeux pétillants de malice. — Pas du tout, soufflai-je, incapable de détourner les yeux de son torse et de ses fesses.

Il retira son short, ses flancs effleurant les miens, et je sentis son dard glisser contre mes couilles, provoquant un frisson délicieux et électrique. L’idée de nous retrouver presque nus, quelques instants, m’envahissait d’une émotion intense.

— Et si… tu essayais ce maillot à ma place ? murmura-t-il, provocateur. — Je… je ne sais pas… balbutiai-je.

Je pris le maillot, nos doigts se frôlant, la chaleur de son corps et ses effleurements sur mes grosses couilles pendantes me faisant frissonner. Ses yeux brillaient d’une malice qui me laissait à la fois troublé et fasciné.

Il se rapprocha, réduisant l’espace entre nos torses et nos flancs. Sa main glissa le long de mon dos, effleurant mes reins et mes couilles, revenant subtilement sur son dard, caresse audacieuse mais délicate. Puis, avec un sourire coquin, il saisit ma queue et commença à la caresser longuement, chaque mouvement lent et précis éveillant un désir puissant. Ma grosse couille vibrait sous ses doigts, chaque frôlement intensifiant la tension entre no ...

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