Cécile est parfaite, elle doit avoir trois ou quatre kilogrammes en trop, mais pas plus. Pour sa taille, c’est négligeable. Son petit ventre est légèrement arrondi ce qui n’est pas pour me déplaire. Sa poitrine plantureuse s’est étalée sur son buste, mais les mamelons et les tétons pointent orgueilleusement vers le ciel. Je prends délicatement sa culotte de satin et la fait glisser sur ses hanches, son bassin se soulève alors que je la fais descendre sur ses cuisses et ses jambes pour enfin la laisser tomber sur le sol. Il reste seulement le porte-jarretelles qui souligne le léger bombé de son ventre. C’est alors que je me régale de la beauté de son mont de vénus où un fin duvet blond descend tout autour des grandes lèvres pour se perdre dans la raie culière. Je caresse délicatement les jambes et les cuisses gainées de soie brune, puis, atteignant la chair nue du haut des cuisses, je palpe délicatement l’aine et le ventre qui frémit sous mes attouchements.
Me mettant à genoux sur la moquette, j’embrasse le haut des cuisses à l’endroit où la chair est la plus tendre, arrachant à ma proie un gémissement de contentement. Ensuite, mes lèvres parcourent le tour de l’aine et le mont de vénus, évitant de toucher le sexe qui s’entrouvre sous le désir que je devine ; mes mains ne restent pas inactives et font des circonvolutions sur le ventre et les seins, puis ma langue vient s’infiltrer entre les grandes lèvres qui s’écartent comme la corolle d’une fleur. Ma langue écartant cette fois les petites lèvres et pointant dans l’excavation vulvaire, je recueille un peu de liqueur vaginale qui commence à sourdre des profondeurs du pertuis. Je lape un peu de cette mouille qui a un goût suave et épicé. Je remonte alors ma langue vers le méat urinaire et déguste un reste de liquide salé et âcre qui se mélange à la mouille qui coule à présent abondamment. Cécile gémit maintenant continuellement, pourtant cela ne fait que commencer car je m’approche du capuchon du clitoris que je dégage avec mes lèvres au moment où Cécile pousse un cri et qu’elle resserre ses cuisses autour de ma tête. Je donne des petits coups de langue tout autour du bouton qui pointe de plus en plus, gorgé de sang et d’un beau rouge foncé. Je ne l’ai pas encore touché alors que les halètements de la quadragénaire se font de plus en plus rapides.
Lorsque je prends le clitoris entre mes lèvres pincées, Cécile pousse un feulement, agitant son bassin en tous sens alors que je pince et mordille le bourgeon de chair jusqu’à ce que le vagin expulse un jet de mouille et que la femme qui jouit sous moi, crie et pleure en même temps. J’aspire et bois la liqueur, savourant le plaisir que je viens de donner à cette femme qui a dû être surprise de la jouissance qu’elle a ressentie. Je me relève et contemple ma proie consentante. Elle refait lentement surface et me sourit. Puis se redressant elle vient m’enlacer et m’embrasse amoureusement.
- Vous savez Michel, je n’ai jamais eu autant de plaisir durant toute ma vie amoureuse que dans l’instant que vous venez de m’offrir. Pourtant les femmes entre elles savent très bien se donner des caresses aux endroits où vous m’avez câliné et embrassé. Mais jamais je n’ai ressenti une telle… Une telle…
- Jouissance – vous n’employez jamais les mots adéquats pour décrire ce que vous ressentez ? C’est pourtant du bon Français que Diable. Oh pardon chère Madame, je ne devrais pas jurer en votre présence.
- Arrêtez votre cinéma Michel – j’ai beaucoup de mal à parler des choses du sexe il est vrai, mais je reconnais que malgré votre jeunesse, vous êtes un maître dans l’art de certains attouchements, très intimes.
- Cunnilingus – c’est aussi dans le dictionnaire – J’ai toujours préféré donner du plaisir à mes partenaires féminines au détriment du mien que je passe au second plan. De toute façon pour un homme, la jouissance arrive toujours trop vite et ne se renouvelle pas avant un certain temps. La femme a l’avantage de pouvoir jouir successivement lors d’un rapport sexuel et très vite avoir envie de prendre du plaisir à nouveau. Il faut qu’elle soit épuisée nerveusement pour qu’elle crie grâce et ne soit plus capable d’accepter qu’on la touche.
- Eh bien ! Qui m’aurait dit qu’un gamin de vingt-deux ans à peine soit capable d’un tel raisonnement et d’une telle maîtrise de soi. À aucun moment Michel, je ne vous ai vu impatient de sortir vos attributs et essayé de me pénétrer. C’est pourtant en général ce que font les hommes non ?
- Des soudards oui ! J’ai trop de respect pour la « Femme », entre guillemets, pour me conduire de la sorte. C’est vrai, j’aime les femmes et je n’ai aucun tabou, vous vous en rendrez compte. Cependant j’œuvre pour leur plaisir, même si certaines pratiques paraissent obscènes pour les timorés.
- Vous me faites peur Michel. Ce pourrait-il que j’ignore à mon âge les mille et une façons de faire l’amour ?
- Peut-être. Nous verrons comment se dérouleront les suites de notre relation. Je voudrais que vous sachiez, Madame, que cela fait plus de six ans que j’ai envie de vous, de votre corps mais aussi de votre classe et peut être un peu de votre âme, bien que là je n’en sois pas certain. Lorsqu’à seize ans, je suis entré aux secouristes et que je vous ai côtoyé lors de certaines réceptions, je peux vous dire que j’ai bandé pour vous et que vous n’êtes jamais sortie de ma tête, même lorsque je faisais la guerre durant quatre ans en Indochine. Combien de fois me suis-je masturbé en pensant à vous. Je ne compte plus. Aussi lorsque l’opportunité m’a permis d’entrer en possession des clichés que vous connaissez, je n’ai eu aucun scrupule. Il fallait que je vous fasse l’amour.
- Vous me surprenez – j’ignorais cette passion ancienne – j’admire encore plus le sang-froid dont vous faites preuve en ne me sautant pas dessus. C’est tout à votre honneur. Je voudrais à mon tour faire un geste. Ce n’est pas une pratique courante chez moi et il faut beaucoup insister pour m’y résoudre. Mais cette fois c’est presque avec plaisir que je vous propose de vous faire, comment dites-vous, une petite « gâterie » ?
- Une fellation ma chère, donnons son vrai nom à une action qui est la réplique de celle que je vous ai offerte – Il n’y a rien de sale dans l’amour et j’ai dégusté votre liqueur avec un réel plaisir. Mais je ne veux en rien vous forcer aujourd’hui. Malgré tout, si c’est sincère, il m’est agréable d’accepter de soumettre mon pénis à vos charmantes lèvres.
- Comme c’est bien dit, mais pour cela je vous préfèrerais dans une tenue plus adéquate.
Aussitôt dit, aussitôt fait. En un tour de main je suis plus nu que nu et je me présente flamberge au vent devant ma belle présidente. Celle-ci contemple mon corps halé et couvert de quelques cicatrices. Elle vient m’embrasser tendrement et parcours de ses lèvre ...
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