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L amie de ma femme (2)

Publié par : voyeurcoquin le 09/10/2024

Lorsque la sonnette de la porte retentit, je descends ouvrir la porte à Karen qui me demande embarrassée comment va Virginie. Je reste dans l'expectative en lui disant qu'elle est couchée et qu'elle ne veut parler qu'à elle. Elle ne se doute à aucun moment que je l'entraîne dans un traquenard. Elle monte donc le raide escalier devant moi, ne pensant même pas que sa minijupe me révèle ses fortes cuisses, nues au-dessus de la lisière des bas, ainsi que son slip étroit qui révèle l'ampleur de ses fesses charnues, laissant même deviner les lèvres de sa vulve que cache à peine le mince filet de l'étoffe. Arrivée dans la chambre, elle s'agenouille sur le lit, découvrant les épaules de Virginie qui se jette dans ses bras en pleurs. Elle lui confie qu'elle m'a tout raconté et que j'ai été adorable avec elle, ne la grondant pas, mais qu'il y a une condition à ma mansuétude. Il faut qu'elles fassent l'amour toutes les deux devant moi. Karen est une femme qui n'a pas froid aux yeux et qui d'après les confidences qu'elle a faites à mon épouse, a eu beaucoup d'amants. Elle entretient depuis plus de huit ans une relation avec un ami de son fils depuis ses 34 ans alors que le jeune homme en avait 18. Elle a même, par jeu, circonvenu un jeune pédé notoire et l'a mis dans son lit. Celui-ci a viré sa cuti et l'a supplié de le garder comme amant ce qu'elle n'a pas voulu. Je suis même certain qu'elle n'a rien contre les partouzes qu'elle a dû certainement pratiquer assidument. Leur relation Virginie et elle étant depuis longtemps une amitié sincère, rien d'équivoque n'avait été évoqué jusqu'ici. Karen, ne se démontant pas, sans me regarder, dégrafe sa jupe et enlève rapidement son corsage, restant en soutien-gorge, avec son slip, son porte-jarretelles et ses bas noirs. Elle est bien en chair, je l'ai déjà dit, mais c'est la première fois que je la vois dans cette tenue. Elle a bien sûr des bourrelets aux hanches, son ventre est bien rebondi, ses seins débordent largement de son soutif, mais elle a tout, d'une femme peinte par Rubens et ses appas semblent bien prometteurs. De plus, elle n'a pas la langue dans sa poche, puisque s'adressant à moi, elle m'apostrophe avec ironie.

- Tu veux nous voir faire l'amour, tu es un vieux polisson et un coquin, cela ne me dérange pas, tu sais, ta petite femme est adorable, elle a des seins et une moule qui sont à croquer et puis elle vient d'avoir des orgasmes à en mourir, surtout quand une bonne grosse queue bien raide lui a transpercé la minette. J'en suis le témoin le plus impartial surtout que c'est mon amant qui l'a baisé devant moi.

En disant cela, Karen a glissé ses mains sous la nuisette de Virginie, affolant déjà la pointe de ses seins, puis elle lui prend la bouche, glissant sa langue entre les lèvres tendues de ma femme. Celle-ci ne reste pas inactive, car elle fait glisser le slip de son amie, découvrant un peu plus ses fesses déjà presque nues, puis, enfilant ses doigts dans l'entrejambe qui s'écarte sans contrainte, elle fait apparaître la fente étonnamment étroite de son amie dans laquelle elle glisse deux doigts, frottant le gros clitoris qui jaillit soudain, faisant tressauter le ventre et le pubis garni d'un léger duvet blond. Karen a relevé la nuisette de Virginie, masturbant elle aussi avec frénésie le vagin grand ouvert de mon épouse, dont les chairs sont devenues rouges sang par l'excitation qu'elle ressent. Karen se penche alors, léchant avec délectation le suc qui sort de la vulve lubrifiée. Les deux femmes n'ont plus aucune pudeur, elles se sont maintenant complètement dénudées, se livrant sans vergogne à leur gouinage intime. Karen s'est étendue par-dessus mon épouse en tête-bêche, toutes les deux se mangent littéralement leurs sexes, leurs corps étroitement emboîtés, se frottant avec une lubricité inimaginable. Je sens mon sexe qui gonfle et durcit soudainement, aussi, je ne peux résister au gros-cul de Karen qui tressaute devant mes yeux. Me déshabillant en un clin d'œil, je viens présenter ma pine entre les fesses dodues devant les yeux de ma femme, qui, surexcitée, les écarte avec ses deux mains dans une invite muette à pénétrer son amie. Je n'hésite pas une seconde et je m'enfonce avec bonheur dans la chatte qui s'ouvre sous ma poussée alors que Karen proteste pour la forme.

- Canaille, tu en profites et sous les yeux de ta femme. J'espère qu'après m'avoir ravagé la moule, tu vas aussi la contenter. Allez viens, bourre-moi la chatte, j'en ai trop envie. Oh ! Que c'est bon ma chérie, ton mari me baise divinement. Plonge ton pieu dans ma grotte, défonce-moi le con mon chéri. Ah ! Ah ! Je jouis, je jouis, je jouis. Oh ! Quel bonheur. Oui ! Oui ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.......

Je me répands dans le vagin de Karen que je viens de prendre en levrette pendant que mon épouse en dessous me lèche les couilles. Quel pied mes aïeux. J'ai pris les globes mammaires de Karen dans les mains et je les malaxe, alors qu'elle crie encore sa joie lubrique, surtout que Virginie lui suce aussi son clitoris en alternance avec mes bourses. Bientôt ma bite se rétrécit et se dégage du vagin que je viens d'honorer. Sans hésiter, mon épouse adorée se laissant aller dans la plus pure dépravation, aspire mon pénis recroquevillé et suce encore le foutre que j'ai éjaculé dans le pertuis de son amie. Épuisé par la chevauchée que je viens d'effectuer sur notre plantureuse amie, je me retourne sur le lit alors que les deux femmes s'embrassent de nouveau, insatiables dans leurs turpitudes. Elles sont l'une sur l'autre, bouche contre bouche, seins contre seins, sexe contre sexe, se frottant furieusement la vulve pour jouir encore et encore. Je ne me lasse du spectacle qu'elles me donnent, c'est beaucoup plus bandant qu'un film porno.

À ma grande surprise, je sens ma verge qui reprend de la vigueur. Ce n'est pas possible, je crois rêver. Cette soirée mémorable me redonne une virilité très rapidement alors que d'habitude, il me faut presque une heure pour récupérer. Karen s'est rendue compte que ma tige s'est redressée, aussi elle se retourne vers moi, puis prenant délicatement la membrane de ma verge, elle la fait coulisser lentement, imprimant à sa main un doux va-et-vient, puis, elle engloutit le bâton noueux entre ses lèvres, suçant avec une dextérité diabolique mon sexe qui n'a jamais connu une pareille habileté. Enfin, elle se redresse et vient mêler sa langue à la mienne, puis elle me glisse dans l'oreille.

- Maintenant mon chéri, tu vas copuler avec ta petite femme, elle ne demande que ça.

Karen m'astique toujours mon organe génital avec ses doigts. Enfin, elle dispose Virginie qui délire encore de la volupté qu'elle vient de connaître, les cuisses complètement écartées devant moi, tout en me soufflant de la baiser tout de suite. À genoux, je suis devant la chatte béante de ma femme alors que son amie attire ma tige vers la fente qui m'attend. Je m'enfonce dans l'ouverture que je connais si bien. Karen s'est disposée derrière moi et je sens sa langue qui lèche l'intérieur de mes fesses, de la raie culière aux bourses qu'elle grignote parfois. Je bande comme un taureau et m'enfonce le plus profondément possible dans la cavité accueillante de mon épouse.

Soudain, je sens un doigt qui perce mon sphincter et creuse dans le conduit de mon anus, m'arrachant un cri de stupeur et me faisant éprouver une jouissance incroyable. Ma verge est raide à en éclater et je m'agite avec violence dans la gaine vaginale, arrachant à mon épouse des cris de plaisir et de bonheur inouïs. Karen continue à m'enculer de son index auquel elle a joint maintenant le majeur. Celle-là, je me ferais bien aussi son gros popotin, quel délice de pouvoir s'enfoncer entre les globes charnus de ses fesses.

Tout en fantasmant sur le cul de Karen, je creuse toujours dans les chairs intimes de ma chère et tendre, lui procurant orgasme sur orgasme, comme jamais elle n'en a eu auparavant, elle bave, elle se démène dans tous les sens, projetant son ventre contre le mien, criant son bonheur et sa jouissance sans aucune retenue. Elle pleure, elle rit, elle supplie, disant qu'elle n'en peut plus, mais elle en veut encore, toujours plus. D'un seul coup, je me répands en elle, lâchant mon foutre qui gicle à flot dans sa matrice martyrisée. Je me laisse glisser sur elle alors que Karen fouille encore mon fondement avec ses doigts fureteurs. Je suis out pour le compte et je m'endors comme une souche, vaincu par ces deux femelles en chaleur.

Au petit matin, je me réveille avec une drôle de sensation. En effet, je suis au milieu du lit conjugal alors que mon épouse à ma gauche est blottie contre moi alors que son amie Karen à ma droite, est à plat ventre, à moitié couchée sur moi, un sein s'écrasant sur ma poitrine et une jambe et une cuisse recouvrant l'une des miennes. Les deux femmes dorment encore alors que je vois mon sexe se dresser verticalement entre mes couilles, à la pe ...

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