“Non pas si souvent que ça. Entre mon mari et le boulot je suis peu disponible, puis il faut qu’il y ait une attraction mutuelle. Et la volonté de céder à l'attraction. On va dire environ une fois par trimestre en moyenne. Et toi ? Tu dois voir défiler pas mal de monde à ton poste. Puis tu sembles bien organisée.”
“Ah oui, une fois par trimestre quand même. Tu fais bien plaisir tout de même. C’est vrai que je vois beaucoup de monde mais comme toi, il faut avoir le feeling, la réciprocité et pas de mari en travers du chemin. Mais je n’ai pas à me plaindre. On va dire que je séduis environ une fois par mois et une fois sur trois seulement sans le mari.”
Je reste scotché par la révélation. Mais cela colle avec certaines observations que j’avais déjà faites. La tête de Florence se perd désormais entre les seins massifs d'Aurélie qui est au-dessus d’elle.
“Et toi Florence tu es bi ou lesbienne ?”
“Je suis bi, mais je ne me vois pas me mettre en couple avec un homme. Par contre je ne peux pas le passer de sexe avec eux tres longtemps. Et toi, belle française ?”
“Moi je suis bi aussi. Par contre je ne me vois pas me mettre en couple avec une femme. J’aime trop la sensation d’une verge dure et chaude en moi. Ça me manque encore plus vite qu’un bon vagin.”
“Je suis curieuse mais j’en profite, la plupart des femmes ne parlent pas. C'était comment tes premières fois ?”
“Ma toute première fois, c'était une copine. Je l’accompagnais pour faire du hockey et on avait pris l’habitude de prendre notre fouche ensemble. On avait pris l’habitude de se savonner mutuellement. c'était pas désagréable mais je m'interdisais de penser à plus. Puis un jour, alors qu’elle me savonnait sa main à déraper sur mon intimité, elle a insisté, c'était très agréable puis elle m’a embrassé. Puis je lui ai fait pareil. On a continué quelques temps. J’ai fait ma première fois avec un garçon deux ans après.”
“Woh sympa. Moi c'était avec une fille d’un groupe d'amies. Un soir on avait trop bu, puis on a fait un jeu à gage. et lorsqu'elle m’a embrassé j’ai eu envie de plus. On s’est éclipsée plus tard dans la nuit pour se faire plaisir.”
“Et tu n’as pas de régulière ?”
“Si j’en ai une, Romy, qui ne bosse pas ici mais l’une et l’autre on est d’accord pour s’autoriser a aller voir ailleurs tant que c’est juste du sexe. Toi ?”
“Ça serait pratique d’un certain côté et j'ai une collègue qui est clairement bi, physiquement je suis tout à fait son type. Mais ça changerait la nature de la relation. Plus cette incertitude de plaire ou pas, plus ce moment piquant ou tu te dévoiles avec le cœur qui bat la chamade.”
“oui je vois, plus le plaisir de la chasse.”
“C'est ça.”
Je vois Aurélie embrasser tendrement la bouche, puis le menton, puis les seins puis le nombril de la rousse avant de poser de nouveau sa bouche sur les levres intimes de Florence.Au bout de quelques minutes a dire son plaisir a son amante, Florence fait pivoter son corps pour rejoindre Aurélie dans un 69 absolument fantastique.Les deux femmes onte ensemble un orgasme qui les laissent toutes les deux essoufflées leurs corps entremêlés sur le lit.
Florence est la première à reprendre ses esprits.
“J’en veux encore chérie.”
Elle se lève et plonge sa main dans la poche de son pantalon de service. Elle en sort un godemichet double rose fluo. Elle se tourne vers Aurélie.
Aurélie écarte instinctivement les jambes pour laisser voir son vagin luisant de sécrétions mêlées. Florence n’a aucun mal à faire pénétrer le godemichet puis elle présente l’autre bout à son intimité et guidée par Aurélie elle s’empale dessus. Les deux femmes se retrouvent alors en ciseau, se frottant l'une contre l’autre tandis que le double jouet fait son effet en elle. Les bouches ne se quittent pas, le baiser s'éternise, les langues s'entremêlent, les mains palpent et malaxent qui la hanche, qui la fesse qui un sein. Les soupirs d’aise et de plaisir emplissent la pièce. Soudain Florence demandé à Aurélie
“Tu pratiques l’anal ?”
“Non je n’aime pas du tout. Personne ne passe par là chez moi.”
Le ton est formel.
“Moi j'aime ça. Tu voudrais me faire plaisir ?”
“Oui je veux bien te le faire par contre.”
Florence s’allonge sur le ventre, jambes bien écartées. Ses mains attrapent ses fesses pour bien exposer une belle rosette très appétissante.. Le visage d’Aurélie se rapproche du sillon fessier de la rousse. Sa langue pointe et vient se poser sur la rosette qu’elle lèche en appuyant de plus en plus. Sous la caresse l’anus s’ouvre petit à petit.et Aurelie commence a caresser le bord du sphincter du bout de ses doigts. Elle retire alors le godemichet de son intimité et le pose directement contre l’anus de Florence. Elle appuie ensuite doucement jusqu'à faire pénétrer celui-ci dans son fondement. Florence halète son plaisir.
“Enfourche l’autre bout et prends moi comme si tu étais un homme”
Aurélie s’exécute et commence à donner de vigoureux coups de reins à la rousse. Celle-ci semble prendre un pied fantastique dans l’exercice et finit par jouir des coups de boutoirs de la brune. Elle reste allongée sur le ventre, tremblante, le godemichet planté ...

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