Lorsque je vois apparaître ma femme dans sa jolie robe d’été je ne peux m’empêcher de repenser à ce matin lorsqu’elle l’a achetée au marché. Il y a déjà un petit moment.

Ce jour là, un superbe soleil nous donne envie de faire un tour au marché.
En passant devant un marchant de vêtements, Marie s’arrête particulièrement intéressée par une robe.
Bien sur, de suite, un homme, ma foi bel homme et assez musclé, tout sourire, se précipite et lui demande s’il peut la renseigner.
Marie hésite puis lui dit
« cette robe me plaît, mais je ne suis pas sur que ce soit la bonne taille »
L’homme, sans complexe, déshabille littéralement ma femme du regard, ce qui ne semble pas déplaire à ma femme bien au contraire quand à moi j’apprécie vraiment ! J’ai toujours adoré qu’on la déshabille du regard et comme elle aimait aussi.
« si ; c’est la bonne taille, mais vous pouvez toujours l’essayer, il y a un petit coin pour ça à l’arrière de la camionnette.
Après une courte hésitation, ma femme s’empare de la robe et suit l’homme derrière le véhicule.
Il tire une sorte de rideau et disparaissent derrière.
J’imagine l’homme entrain de mater ma femme se changer.
Lorsque celle ci réapparaît, elle a la robe sur elle et semble avoir apprécié l’empressement du vendeur.
Moi je ne saurais jamais jusqu’à quel point il a été serviable.

Et si ….

L’homme saisit Marie par la taille, puis la fait tourner avec grâce. Cependant il me semble prendre un peu trop de plaisir à le faire. Quant à elle, c’est sur elle aime. Surtout, que sa robe virevoltant, laisse voir ses jolies jambes assez haut et attire sur elle le regard admirateur des hommes qui passent dans l’allée et bien sur des nôtres.
« voyez comme elle est désirable votre charmante femme avec cette charmante robe »
« j’avoue que je la trouve adorable… tourne encore un peu ... elle est très légère ... si tu veux, je te l’offre »
Je me tourne alors vers le vendeur. Celui ci a les yeux rivés sur sa poitrine.
Surpris en plein reluquage, il se trouble un peu. Mais comme je lui fais un clin d’œil complice, très vite il se ressaisit.
« voyez comme ses seins bougent bien sous ce léger tissu, c’est agréable à regarder vous ne croyez pas ? »
Marie loin d’être choquée, flattée, et bien qu’un peu gênée malgré tout, me paraît particulièrement émoustillée ; ses tétons pointant à travers le tissu la trahissent.
« j’admets, je n’ai pas mis de soutien gorge et le tissu sur mes seins me procure un drôle d’effet loin d’être désagréable »
«hummm ! OK va te changer … vous pouvez l’accompagner pour éventuellement l’aider si besoin »
De nouveau tout sourire, je lance au vendeur un clin d’œil complice à sa grande surprise.
Bien sur il se précipite pour ouvrir le rideau et je pense ; aider ma femme à enlever sa robe.
La robe ôtée, il ne lui reste sur le corps qu’un mini string.
Aussi sachant cela, je ne peux m’empêcher d’écarter légèrement le rideau pour voir ce qui se passe derrière.
Comme je l’avais imaginé, Marie est quasiment nue ; ce n’est pas la ficelle qui lui rentre dans la raie qui gène quoi que ce soit.
L’homme est derrière elle et lui caresse les fesses puis remonte lentement ses mains et s’empare de sa petite poitrine qu’il titille avec douceur et savoir faire.
A ce moment Marie se retourne pour l’embrasser et s’arrête net en m’apercevant.
Très vite, pour ne pas gâcher ce moment magique, je lance
« et si tu invitais ce gentil monsieur à venir boire l’apéro chez nous … ce serait plus confortable »
Pour toute réponse Marie s’empare de la main du vendeur et la glisse dans son string.
Je souris, l’homme comprend qu’il peut goûter au plaisir défendu avec mon consentement et en profite pour glisser son doigt sur la fente humide de Marie qui écarte les cuisses pour qu’il puisse y enfoncer ses doigts plus facilement et plus profondément.
La main de ma femme quant à elle, disparaît derrière son dos et s’agite.
Hum ! Elle branle lentement cet inconnu par dessus son pantalon !
Celui s’active de plus en plus dans son minou. Je peux voir l’entrejambe de Marie tout luisant de son jus lacté.
Une voix se fait entendre aussi quittant à regret la fente de Marie il murmure
« je ne peux pas maintenant, mais si vous voulez après le marché c’est avec le plus grand plaisir que je m’occuperai de votre charmante femme … laisse moi ton string svp »
« super … donne lui ton string … je vous note l’adresse  … soyez en forme»
Prenant le string, il ouvre sa braguette
« chérie je veux te montrer ma bite avant que tu ne partes ! »
Sur ce il sort une superbe bite gonflée à bloc !
Toute excitée elle ressort de ce petit coin avec la robe sur le dos mais sans rien dessous la chatte à l’air !
Inutile de dire que c’est avec impatience que nous attendons la visite de ce vendeur si prévenant.
U camionnette se gare près de chez moi. Marie est particulièrement excitée. J’avais craint que son excitation se soit un peu affaibli ce n’est pas le cas.
Le vendeur n’a pas le temps de sonner à la porte déjà Marie lui ouvre. Elle n’a sur elle qu’une robe légère qui ...

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