À 47 ans, Mariana, mariée depuis 22 ans, est une femme épanouie dans sa vie de famille à Lisbonne. Mère de deux adolescents, elle travaille comme réceptionniste dans une clinique vétérinaire huppée du quartier d’Alfama. Dans leur maison lumineuse surplombant le Tage, elle chérit son mari, João, un architecte passionné. Leur vie sexuelle, bien que moins fréquente qu’à leurs débuts, reste vibrante : João, avec sa queue épaisse de 19 centimètres, circoncise et veinée, sait encore la faire frémir lorsqu’il la pénètre en missionnaire, ses yeux noisette la dévorant comme au premier jour. Mariana, petite et voluptueuse, arbore une poitrine opulente de bonnet E, aux aréoles larges et brunes, que João adore sucer jusqu’à ce qu’elle gémisse. Son cul rond, ferme mais généreux, et son petit ventre doux ne la complexent pas, même si elle sait qu’ils attirent les regards dans ses leggings moulants.

Chaque mardi soir, Mariana rejoint son cours de zumba dans une salle près de la Praça do Comércio. C’est son exutoire, où elle se défoule sur des rythmes latinos, ses seins lourds rebondissant sous sa brassière noire. Là, elle s’est liée d’amitié avec Sofia, 29 ans, une prof de yoga au corps sculpté : cuisses fuselées, fesses bombées comme des pommes, et seins fermes en bonnet C qui pointent sous ses crop-tops. Sofia passe souvent à la maison pour des cafés ou des soirées vin rosé, et Mariana, sous la douche après les cours, ne peut s’empêcher d’admirer ses courbes parfaites, ses abdos dessinés et son cul galbé qui luit sous l’eau.

Un soir, après une session intense de zumba, Sofia propose à Mariana de prendre un verre dans un bar à fado du Bairro Alto. Assises à une table en bois, sous une lumière tamisée, elles sirotent des caipirinhas. Soudain, Mariana sent le pied nu de Sofia frôler sa jambe sous la table, remontant lentement le long de son mollet. Le contact est délibéré, et Mariana rougit, son cœur s’accélérant. Sofia, avec un sourire malicieux, continue, son pied nu glissant jusqu’à l’intérieur de la cuisse de Mariana, effleurant son entrejambe à travers le legging. Mariana, troublée, referme les cuisses d’instinct, bafouillant : « Sofia, qu’est-ce que tu fais ? » Sofia rit doucement, ses yeux pétillants : « Détends-toi, querida. On se voit demain au brunch, non ? » Mariana, confuse mais excitée, écourte la conversation, embrasse Sofia sur la joue – sentant ses lèvres frôler le coin des siennes – et file chez elle.

Sous la douche, l’eau chaude ruisselle sur ses seins lourds. En savonnant son corps, Mariana imagine le pied de Sofia contre son clitoris, et dirige le jet de la pomme de douche sur sa chatte rasée, ses lèvres épaisses s’ouvrant sous la pression. Elle gémit, une main massant ses seins, pinçant ses tétons durs, l’autre caressant son clito gonflé. Elle fantasme Sofia en train de lécher ses aréoles, et l’orgasme la frappe : ses cuisses tremblent, sa chatte pulse, et elle jouit bruyamment, l’eau étouffant ses cris.

Le lendemain, c’est brunch chez Mariana et João, dans leur patio fleuri. Sofia arrive dans une robe bleu électrique ultra-moulante, son tanga noir visible par transparence, ses seins ronds tendant le tissu. João, en polo ajusté, mate discrètement ses courbes, et Mariana, loin d’être jalouse, sent une chaleur monter dans son bas-ventre. Sofia s’approche pour la saluer, murmurant à son oreille : « T’es canon aujourd’hui, minha linda. » Leurs regards se croisent sans cesse pendant le brunch, une tension érotique palpable. À mi-repas, Mariana va chercher des pasteis de nata en cuisine, et Sofia la suit. Seules, Sofia n’hésite pas : elle plaque Mariana contre le frigo, l’embrasse sauvagement, sa langue explorant sa bouche. Mariana résiste une seconde, puis se laisse aller, caressant les fesses fermes de Sofia à travers sa robe. Leurs langues s’entremêlent, leurs joues se frôlent, humides de désir. Sofia glisse ses mains sous le chemisier de Mariana, empoignant ses seins lourds : « Putain, ils sont énormes, j’ai envie de les bouffer ! »

João entre soudain : « Alors, les filles, on complote ? » Sofia, espiègle, répond : « Juste des secrets de nanas ! » Le brunch reprend, mais Mariana et Sofia brûlent de se retrouver. Ce soir-là, au lit, Mariana demande à João de lui sucer les seins. Il s’exécute, aspirant ses tétons durs, les mordillant légèrement, ce qui la fait mouiller abondamment. Elle grimpe sur lui, empalant sa chatte trempée sur sa queue de 19 centimètres, ses seins ballottant à chaque coup de reins. João, excité par leur poids, éjacule vite, son sperme chaud remplissant la chatte de Mariana, qui coule sur ses cuisses alors qu’elle s’endort, comblée.

Le mardi suivant, au cours de zumba, Mariana ne voit que Sofia, son corps luisant de sueur, son legging épousant son cul parfait. Après le cours, Sofia l’entraîne dans une cabine de douche privée, fermant la porte à clé. Elles s’arrachent mutuellement leurs vêtements : brassières et leggings volent, révélant leurs corps nus. L’eau chaude cascade sur elles, leurs seins se frôlent, provoquant des frissons. Sofia embrasse Mariana, leurs langues dansant, puis descend, léchant son cou, ses seins, suçant ses tétons jusqu’à ce qu’ils durcissent comme des cailloux. « J’ai envie de toi depuis des semaines, » murmure Sofia, sa main glissant vers la chatte rasée de Mariana, caressant son clitoris gonflé, puis enfonçant deux doigts dans son vagin humide. Mariana gémit : « Oh, Sofia, t’es incroyable ! »

Sofia s’agenouille : « Écarte les cuisses, assise sur le banc. » Mariana obéit, offrant sa chatte luisante. Sofia lèche doucement, sa langue traçant des cercles sur le clito, puis plonge dans le vagin, lapant le mélange d’eau et de mouille. Mariana, en transe, agrippe les cheveux de Sofia, pressant son visage contre son sexe : « Bouffe-moi, putain, fais-moi jouir ! » Sofia accélère, sa langue fouillant, ses doigts baisant la chatte. Mariana explose, son orgasme secouant tout son corps, sa chatte giclant légèrement sur le visage de Sofia.

« À ton tour, salope, » dit Mariana, excitée. Sofia se met à quatre pattes sur le carrelage mouillé, son cul parfait en l’air. Mariana s’agenouille derrière, éc ...

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