Comme vous savez si vous suivez mes histoires qui sont toutes vécues et réalisées, je m’appelle Marie, j’habite dans la région de Béthune, dans le Nord de la France. Je suis directrice d’une agence immobilière sur la région de Béthune et j’adore le sexe, si j’osais, je dirais que je suis « folle » de sexe. Il me faut pour mon équilibre du sexe régulièrement, j’en ai besoin pour mon bien être.
Après plus d’une semaine d’absence de mon homme, même si je me suis fait plaisir sexuellement, seule ou en bonne compagnie (auto-stoppeur et mon coiffeur) j’étais en feu. L’attente est trop longue, le désir pour mon homme trop fort. À deux jours de nos retrouvailles et de notre futur week-end en amoureux, je n’en peux plus… Même au bureau, mon imagination me submerge. Alors je cède. En douce, peu avant midi, je m’éclipse aux toilettes. Mais une chose est sûre : ce n’est que le début.
Je suis au bureau, mais dans ma tête, je suis déjà dans la chambre d’hôtel qu’il a réservée pour notre fin de semaine. Alors que je fixe mon écran, je me perds dans des fantasmes : ses mains explorant chaque recoin de mon corps, la douceur de ses lèvres sur ma peau… Je ferme brièvement les yeux et imagine son corps nu, musclé. Encore deux jours à patienter…
Puis un message de Louis mon homme, s’affiche sur mon téléphone : « J’ai envie de te goûter. »
Il n’en fallait pas plus pour que je sente déjà la chaleur monter entre mes cuisses.
« J’ai hâte », je réponds.
Il enchaîne aussitôt avec un message qui me fait immédiatement perdre pied.
« Tu es la femme la plus sexy que je connaisse. Tout en toi m’excite à un point inimaginable. Ton regard, tes seins, l’odeur de ta peau… et le goût de ton excitation. Putain, je ne sais pas si je vais réussir à attendre jusqu’à dimanche. »
Je lui demande s’il est au travail. Il me répond que oui, lui aussi est en réunions avec des collèges. Je trouve ça terriblement excitant… Savoir qu’il est là, entouré d’hommes sérieux en costume-cravate, tandis qu’il pense à moi. Avec lui, j’ai toujours aimé flirter avec les limites.
Je repense à ces moments où, alors qu’il était en pleine conversation téléphonique avec un ami ou un collègue, je baissais mon pantalon et me penchais devant lui. Il comprenait tout de suite… et me prenait par derrière, sans interrompre sa discussion. Comme si de rien n’était.
Autour de moi, tout est calme. Apparemment, tous mes collègues sont concentrés sur leur travail. Est-ce que je vais vraiment faire ça ? Je vérifie encore une fois, juste pour être sûre, puis je glisse une main sous le bureau. Par-dessus ma jupe, je commence à masser doucement mon clitoris. De l’autre main, je filme une courte vidéo… que je lui envoie aussitôt.
« Putain Marie, qu’est-ce que tu me fais… »
« À toi maintenant », je lui ordonne. Quelques minutes passent, puis il m’appelle en visio. La caméra est directement braquée sur son érection. Il est aux toilettes, en train de se masturber lentement. Je l’entends gémir à travers l’écouteur, alors je baisse aussitôt le volume. En le regardant, je continue de me caresser, mes doigts pressants un peu plus fort mon clitoris sous ma jupe. Je suis complètement absorbée par l’image… jusqu’à ce que j’entende des voix dans l’agence. Sans un mot, je raccroche. Je tente de retrouver mon calme, de cacher mes joues rouges et ma respiration haletante. Je fixe intensément mon écran comme si de rien n’était. Juste à temps. Un de mes collègues s’était levé pour accueillir des clients. Pendant ce temps, je sens tout mon corps brûler, implorer pour plus. Je suis terriblement excitée.
« On finira ça plus tard. »
17h50. Le bureau se vide peu à peu. Moi, je suis super excitée depuis ce matin. Je n’en peux plus. Je lui envoie un message, mais il ne répond pas. Tant pis, je n’ai pas besoin de lui pour jouir après tout ! Je me lève, traverse le couloir d’un pas décidé, et file aux toilettes. Je choisis la cabine la plus éloignée. Je baisse la lunette, fais glisser ma jupe jusqu’aux chevilles et m’assieds. J’écarte les jambes autant que possible et glisse une main entre mes cuisses. Je ne m’étais pas rendu compte à quel point j’étais mouillée. Je commence à faire des petits cercles rapides sur mon clitoris. J’entends des bruits humides venir de mes lèvres. Ce son si obscène qui m’excite encore plus.
D’habitude, une simple stimulation clitoridienne me suffit. Mais là, j’en veux plus. J’ai envie qu’il me remplisse avec sa queue dure, mais ce n’est pas possible maintenant. Je vais devoir m’en charger moi-même. Je me lève pour pouvoir atteindre ma zone G avec ma main gauche, tout en continuant les cercles avec ma main droite. Mon désir est si intense qu’il ruisselle déjà entre mes cuisses.
Je ferm ...
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