Le lendemain, au petit déjeuner, Vincent me rebrancha immédiatement sur la soirée.
-Tu t’es débrouillé comme un chef, gars. J’étais fier de toi. Tu as vu comme tes deux camarades paraissaient mal à l’aise par rapport à toi. Je crois que tu es vraiment taillé du bois dont on fait les vrais queutards. Encore un peu de pratique et plus aucune chatte ne t’échappera.
Mon égo était furieusement flatté de ce compliment. C’est vrai qu’en deux jours et compte tenu de tout ce que j’avais vécu, je me sentais parfaitement dans mon élément. Le sexe se révélait exaltant et je savais déjà au fond de moi que plus rien n’arrêterait ce tsunami qui m’avait submergé.
-Il reste un détail. L’autre soir, tu ne m’as pas cru quand je t’ai dit que ta mère était partie s’amuser de son côté. Tu as cru que je mentais pour justifier mon propre plaisir avec Anita. Je veux absolument que tu saches que je ne te racontais pas de bobards. Ta mère est partie pour se faire sauter et je veux que tu l’entendes de sa propre bouche.
-Tu n’es vraiment qu’un salaud, pervers et dégueulasse.
-Un pervers dégueulasse qui t’a quand même fait découvrir des trucs sympas, avoue !
-Ça ne justifie pas que tu salisses ma mère !
-Mais putain ! si j’aime baiser, si tu aimes baiser, si tous les mecs et les nanas d’hier soir aiment baiser, pourquoi voudrais-tu que ta mère n’aime pas ça. Atterris, gars. C’est une femme avec des seins, un clito et une chatte comme toutes les autres et elle a des besoins comme les autres.
Cette conversation m’écœurait et je ne saurais dire pourquoi je restais l’écouter. Si l’homme que j’étais récemment devenu pouvait admettre ses propos, le fils lui était choqué de ce qu’il entendait. Et pourtant, je ne m’en allais pas.
-Tout à l’heure, ta mère va rentrer et comme d’habitude, elle me racontera en détails ses aventures. Je veux que tu l’écoutes en cachette. Ça m’excitera de l’entendre mais ça me fera bander encore plus fort de savoir que tu entendras. Voilà ce qu’on va faire …
Vincent me fit part de son plan mais je lui exposai un refus catégorique de m’y soumettre. Pourtant, quand Maman fut revenu, après le déjeuner, j’annonçais, comme Vincent me l’avait demandé, que je partais voir des copains. Je claquai la porte derrière moi pour bien signaler mon départ mais je contournai la maison et rentrai sans bruit par la porte arrière. Pendant ce temps, comme mon beau-père l’avait manigancé, lui et ma mère s’étaient installés au salon pour prendre le café. Ma mère tournait le dos à la porte mais Vincent, qui faisait face, vit que j’étais revenu comme prévu. Il lança la conversation :
-Alors, ma chérie, dis-moi ; tu t’es bien amusée pendant ces deux jours ? raconte un peu.
-Oui, c’était sympa.
-C’est tout ? Tu sais que j’aime avoir un plus de détails sur les cochonneries que tu fais en mon absence. Je t’écoute.
-Tu m’énerves, répondis simplement ma mère, il n’y a que ça qui compte pour toi ?
-Je te laisse partir faire ta pute à l’autre bout de la région, rétorqua Vincent avec un calme qui me surpris, tu me dois au moins cette contrepartie. On s’était mis d’accord là-dessus, non ?
-Tu n’es qu’un porc obsédé et vicelard ! Mais si tu veux des détails, tu vas les avoir !
Et ma mère se mit à raconter.
- Quand Philippe m’a rejointe à l’hôtel, je m’étais préparée pour l’accueillir. Sous ma robe bleue, je portais mon ensemble de lingerie noir et or.
- Celui que je t’ai offert ? interrompit Vincent.
- Exactement. Comme ça, tu étais un peu avec nous, répondit ma mère en riant. Donc, je m’étais douchée, parfumée et j’étais déjà toute excitée. Mais au lieu de se préparer à me faire l’amour, il me demanda de prendre mon manteau et sans rien me dire, me fit monter en voiture. Il m’a amenée chez un de ses vieux potes qui habite le secteur, Léo. Ce Léo nous a accueillis dans son jardin. Il nous a offert un verre sur le bar extérieur, près de sa piscine. J’ai vite compris pourquoi Phil m’avait amené là compte tenu des regards qu’ils échangeaient et surtout que Léo me lançait. Et puis, Léo s’est lancé. « En tout cas, tu nous as ramené un bien jolie jeune femme », il a dit à Phil. « Oui, a répondu Phil, et tu n’as encore rien vu ». Il m’a fait retirer mon manteau et m’a présenté comme un mannequin. « Et regarde comme c’est ferme ». Léo a posé sa main sur ma fesse et il a eu l’air d’apprécier.
- Et toi en bonne salope, ça t’a chauffée, je suis sûr ? interrogea Vincent.
- J’avoue. En plus, ce Léo était sympa et plutôt viril, entreprenant. Ça m’a excitée encore plus. Léo a doucement remonté ma robe et ils ont découvert mon porte-jarretelles et mon string assorti. Ils ont commencé à me peloter les fesses. Léo s’est accroupi devant moi et il a glissé sa main entre mes cuisses. Je mouillais déjà. « Ça te dirait qu’on aille à l’intérieur s’amuser un petit peu tous les trois. Chaude comme tu es, on t’embarque tout de suite. Allez, viens ! »
Vincent l’écoutait en souriant, la main glissée dans le jogging sous lequel, je le savais, il ne portait rien.
-Dans la chambre, Phil a tout de suite enlevé son blouson. Léo s’est collé derrière moi. « Dis-moi, tu as déjà fait l’amour avec deux copains, comme ça ? » J’ai menti, j’ai répondu non. « Tu sais que tu as affaire à deux connaisseurs là ? » Phil lui a glissé ses mains dans l’encolure de ma robe et a commencé à me peloter les seins. A genoux derrière moi, Léo a commencé à embrasser mes fesses, à les écarter. Il a glissé un doigt sur mon petit trou puis l’a poussé jusque sur mon minou. « Humm, elle a une petite chatte toute chaude, toute humide, il a dit avec appétit, et elle sent bon ». Pendant ce temps, Phil a défait sa ceinture, ouvert son jean et sorti sa belle bite déjà bien dure. J’ai commencé à le branler tout en me caressant tandis que Léo s’affairait toujours sur mon cul. J’ai senti sa langue se glisser entre mes fesses et venir titiller mon petit trou qui ne demandait que ça.
Vincent n’y tenant plus baissa son jogging et exhiba sa queue qu’il branla ouvertement en l’écoutant. Moi-même, oubliant presque l’obscénité de la situation et que j’étais en train d’écouter me mère ...

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