Gabi, une amie de longue date (et ancienne sexfriend en fait) traversait ce printemps une période difficile, séparation, fragilité professionnelle etc. et se retrouvait au seuil de l’été avec son fils de 17 ans pour lequel elle se faisait aussi du souci en raison du rôle assez néfaste qu’avait joué son père avant la séparation.

De fil en aiguille, sans projet précis pour l’été, elle me demande si elle peut squatter un peu chez moi en Provence.
Elle s’installe donc avec son fils, un jeune un peu timide mais très sympa. On sent qu’il se cherche et je vois bien que je peux peut-être lui servir de mentor.

Les journées d’été défilent doucement, notamment au bord de la piscine. Je fais parfois des escapades discrètes en solo pour faire du nudisme au bord d’une rivière dans les collines.

Un jour, alors que je suis accroupi au bord de la piscine pour arranger quelque chose, Gabi me glisse un clin d’œil coquin car elle a remarqué en guignant sur la ceinture de mon boxer de bain que je n’ai pas de marque de bronzage. « Tu n’as pas de marque de maillot, tu bronzes nu ? » me demande-t-elle à haute voix. Je lui réponds oui, évidemment. « Pourquoi ne pas l’avoir dit plus tôt, je rêve de pouvoir bronzer nue, si ça ne t’embête pas ». Aucun problème pour moi, je ne voulais simplement pas brusquer ton fils dont je ne connaissais pas la sensibilité. « T’inquiète pour mon fiston, réplique-t-elle, il m’a souvent vue à poil ».
Nous voilà donc rapidement nus au soleil, ce qui ne me dérange nullement. Gabi est plantureuse et sexy, je devrai faire attention à ne pas trop m’exciter en lui matant le cul ou les seins.

Un après-midi où je suis occupé à nettoyer la piscine, Gabi bronze nue à plat-ventre, cuisses ouvertes. La vue sur sa chatte et son cul est très provocante et je sens ma bite grossir agréablement. Elle n’est pas dressée mais elle est très grosse et j’avoue que j’adore la sensation un peu sauvage que procurent mon gros gland et mes grosses couilles.

A un certain moment, je dois retourner dans le pool-house pour faire un réglage. Pendant que je suis occupé à régler les pompes et le filtre, j’entends le fils de Gabi qui rentre dans le pool-house, je ne me retourne même pas et lui demande s’il vient me donner un coup de main. Pour toute réponse, je sens derrière moi une pression chaude dans ma raie et sa main qui vient me prendre la bite. Je ne mets pas longtemps à réaliser que le jeune bande comme un taureau. Son gland appuie contre mon trou pendant que sa main s’occupe de mon érection quasi immédiate.

Je glisse ma main entre mes cuisses et sens son gland gonflé dans une capote qu’il a dû enfiler rapidement avant d’entrer dans la cabane. Je me cambre un peu pour lui faciliter l’accès… j’ai beaucoup transpiré au soleil et ma raie est abondamment trempée, je l’appuie sur son gland et il entre avec d’autant moins de peine ...

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