(Suite du plan hôtel avec Tiffany, et du cocufiage de Arnaud)
D'un coup, elle me pousse et s'agenouille, se précipitant sur ma ceinture ma braguette. Elle baisse mon pantalon et embrasse la bosse au travers de la toile de mon boxer. Je bande comme un dingue.
Elle a vite fait de se débarrasser de cette futile barrière de tissu.
Elle me décalotte et lèche ma queue de bas.en haut très lentement sans me lâcher du regard.
J'attrape son téléphone et immortalise la scène.
Sa langue s'attarde sur mon prépuce qu'elle stimule en fretillant du bout de la langue.
Ses lèvres courent sur mon membre, d'un coup elle le gobe complètement.
Sa bouche chaude et humide est comme une délivrance. Le problème est qu'avec une chaudasse experte pareille, je ne vais pas tenir bien longtemps. Elle m'excite trop. Il faut que je me calme.
Elle ne me laisse pas le temps. S'agenouillant sur le lit, elle met ma queue entre ses seins qui pendent et me branle. Elle crache dans sa main avant de carresser et branler vigoureusement mon gland décalotté.
Elle m'ordonne "ne me préviens pas !"
A peine le temps de comprendre, elle jette sa bouche sur ma queue et me suce bruyamment en fond de gorge.
Elle se retire de temps à autres, un instant, pour reprendre son souffle, laissant ma queue trempée de bave, les yeux larmoyants faisant couler son discret maquillage avant de reprendre sa pipe d'affamée.
Elle relâche son jouet pour gober et sucer mes boules tour à tour en me branlant vigoureusement. Son regard intense et larmoyant ne me lâche pas. Elle est comme en transe. Je ne peux m'empêcher de la photographier.
Je ne résiste pas longtemps à ce traitement. Je ne peux réprimer un râle qui lui donne le signal de ma jouissance. Un long jet de sperme part. Elle s'avance le recueillant sur son visage de succube. Elle me prend immédiatement en bouche en continuant à me branler me vidant consciencieusement.
Je suis sur un nuage. J'ai juste le temps de prendre en photo sa petite bouillie perverse, une grosse goutte de mon jus perle sur sa joue et son nez, elle présente sa bouche ouverte remplie de ma semence avant d'avaler bruyamment.
"J'ose pas te demander si ca t'as plu " interroge-t-elle en riant.
Je me regard dans le miroir. Effectivement, mon sourire béat et mon air con en disent longs.
"Mais tu n'as pas encore pris ton pied !" Dis-je, attentionné.
"Maintenant que je t'ai vidé, tu vas pouvoir me baiser salement et longtemps.
Euh... j'en crois pas mes oreilles. Elle ...

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