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Une queue pour quatre minous. Acte 3.

Publié par : dimup83 le 16/12/2020

Sans effets mais pas sans effet, le spectacle qui se découvrait à moi laissait présager une suite tout aussi agréable mais assurément pleine de nouvelles sensations côté sexe…

Linda était dans le même trip, son nouveau copain entre ses cuisses et Sophie, visiblement intéressée, s’était assise sur le lit, ses yeux sur l’entrejambe humide de la belle tout en se caressant le clitoris et les seins ! Sylviane s’était assise sur le bord du lit, les jambes écartées et Patricia à quatre pattes devant elle s’attachait à lui faire poindre un peu de ces sucs odorants de son minou en lui caressant les fesses et en relevant de temps à autre son regard pour, je le pense, voir si sa partenaire appréciait ses caresses. Pour ma part, j’avais une vue directe sur le large fessier de Patricia et le dessin de sa fente que j’avais visité il y a peu avec mes mains et mes doigts. Un rapide tour d’horizon pour visualiser le stock de capotes et ni une ni deux, ma queue se trouva capuchonnée et prête à investir la chatte de cette fille impudique au possible pour rester dans cette position face au regard d’un mâle qui apprécie énormément la levrette.

Avec une glace devant les deux amants, c’est encore plus excitant et bandant, n’est-ce pas ma puce ?

Agenouillé derrière Patricia, mes doigts ont testé l’entrée du vagin et son humidité avant de guider ma queue vers ce puits, investir ce fourreau et débuter des vas et des viens d’abord langoureux puis beaucoup plus rapides, profonds et entamer ce que j’aime par-dessus tout : sortir du vagin entièrement et réintégrer le conduit jusqu’à y être à fond et ainsi de suite… Mon regard se portait alternativement sur le fessier de Patricia et le visage de Sylviane qui me regardait baiser une de ses copines tout en se faisant lécher la chatte qui au regard des coups de boutoir que j’imposais à ce vagin et à ce corps tout entier, ne pouvait pas profiter entièrement de cette langue et de ces lèvres.
Mon regard en disait long à l’attention de Sylviane car je sais qu’elle apprécie cette position et quand en plus il y a une glace face à nous, nous savions déployer nos ardeurs à communier nos corps et nos sexes.
Ces fesses, larges et potelées me fascinaient malgré ma préférence pour des petits culs bien fermes ! Je n’avais pas de mal à imprimer à ma queue le rythme suffisant pour mener mes allées et venues en elle. Ma main droite s’est détachée de ses hanches pour aller taquiner son sillon fessier et tenter une incursion dans son petit trou qui s’est laissé pénétrer par mon pouce et après quelques mouvements a laissé place à mon index et majeur, façonnant ce conduit à une éventuelle pénétration.
Patricia se donnait beaucoup pour ses deux partenaires, Sylviane ne semblait pas être en reste et se laissait aller en arrière, en appui sur ses avants bras tout en me fixant de temps à autres ; je savais bien qu’elle aurait aimé changer de position pour se retrouver en levrette avec ma queue en elle… Patricia répondait à mes incursions anales en bougeant les fesses comme pour s’enrouler autour de ma queue ; elle s’est tournée vers moi et son regard a plongé dans le mien m’invitant à lui donner un autre plaisir : « Prends moi par le cul, j’aime ! »
C’est une invitation qui lorsqu’elle m’est demandée si gentiment, je ne peux qu’y répondre favorablement pour faire plaisir. Je me retirais donc de son puits bien humide, ajuster la capote et pointer mon membre sur sa rosette avant de tenter de la pénétrer en douceur. Percevant ce contact, elle imprima d’elle-même la pression nécessaire pour me faire entrer en elle par la petite porte !
Mon regard était fixé sur ses fesses et mon sexe ! Je ne perdais pas pour autant les trois autres filles de vue et Sylviane en particulier qui se sentait un peu délaissée car Patricia se concentrait sur ses sensations anales délaissant son entrejambe ! Sophie, qui je pense avait entendu les dernières paroles de Patricia avait abandonné Linda pour venir se positionner à genoux et à ma gauche afin d’assister à la sodomie ! « Ne lui fait pas mal, me dit elle !» « Rassures toi, je laisse toujours l’initiative au partenaire pour la pénétration ». C’est donc à elle qu’il revient de régler la pénétration jusqu’à ce que je perçoive qu’elle se sente à l’aise et que je reprenne mes mouvements de vas et viens, cette fois dans son cul !
Sophie caressait les fesses de Patricia tout en regardant mon sexe s’enfoncer petit à petit dans son corps ; elle s’adressa à elle en ces termes : « Apparemment, tu aimes qu’on te sodomise ! tu m’avais caché cela ! ». Linda, curieuse également s’est détachée de son plaisir pour venir voir ce qui se passait au bout du lit et je l’avais maintenant à ma droite. Elle regardait ma queue s’activer dans le petit trou de Patricia qui était maintenant à l’aise pour que je puisse entreprendre de limer cette donzelle de plus en plus fort et de m’adonner à cette pratique que j’adore, de sortir complètement et entrer de l’orifice accueillant, en l’occurrence son anus !
Et Linda de demander à Sylviane en me regardant : « Est-ce qu’il t’a déjà prise par derrière, ton amant ? » Et celle-ci de répondre directement : « Pour le moment, jamais, je ne suis pas adepte ; et toi Linda ! » « Moi non plus, mes amants ont tenté et ont trouvé porte close de ce côté ; par contre Patricia a l’air d’apprécier et de la voir dans cet état, cela me donne envie d’essayer… »

En fait, je n’étais plus l’homme du groupe mais le porteur du membre qui pratiquait avec Patricia un mélange des corps attirant les regards de trois nymphes contemplant l’acte sexuel qui n’était pas dans leurs habitudes et autres pratiques. Pendant ce temps, mon sexe gardait sa vigueur pour aller et venir dans ces fesses bien accueillantes qui libéraient ma queue avant de la reprendre aussitôt au gré de mes allées et venues.
Observant Linda qui tenait son godemichet dans une de ses mains, je me suis dit que je ne l’avais pas prise celle-ci et il me fallait garder un peu de vigueur pour abuser de sa chatte qui avait mouillé mon visage et failli m’étouffer alors qu’elle prenait du plaisir à embrasser Sylviane…

Sans nul doute, je prenais du plaisir au cours de cette après-midi mais je me posais la question de savoir quand et comment j’allais jouir. Il m’était impossible de penser que l’objet de mon plaisir repose dans le fond d’une capote mais avec qui allais-je m’éclater ? Sylviane après nos ébats qui parfois duraient presque deux heures avec une chatte toujours humide pour accueillir mon sexe bandant et tout aussi humide, appréciait que je me masturbe au-dessus d’elle et que je me répande sur sa poitrine pour ensuite étaler mon sperme sur ses seins ! Mais les autres, qu’appréciaient elles ? Ne souhaitant léser personne, il fallait que je sache ce que ces dames pratiquaient pour faire jouir leurs amants afin de m’adapter à délivrer ma jouissance en donnant satisfaction à la majorité.
Je ne suis pas un phénomène sexuel capable de jouir plusieurs fois lors d’échanges sexuels ; par contre, je sais faire durer le plaisir et j’espère donner à ces dames la jouissance qu’elles sont en droit d’attendre.

Penser au plaisir de ces dames, c’est bien mais continuer à baiser avec Patricia en même temps relève d’une performance assez marquée ! Il faut te remettre à l’ouvrage mon gars ! J’ai mis la seconde vitesse et mes mains se sont positionnées sur les hanches de la belle enculée pour accentuer le plaisir et la sentir vibrer et pousser de petits cris significatifs.
Le mouvement que j’imprimais avec Patricia baissait d’intensité car je me demandais comment j’allais entamer la quatrième séquence de baise à la disposition de ces dames et plus particulièrement de Linda.

Surtout que Linda était très jolie, de plus avec ses sous-vêtements et se ...

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