C’était en 2007...
Le temps passe, les souvenirs restent*
Hélène nous ouvrit la porte, en fin de journée cet été-là. Nous étions conviés à notre "première" partouze. Quatre couples formés : Hélène et Serge, nos hôtes, un Allemand Herbert, et Alicia, Jacques et Brigitte, Anna et moi. Auxquels s’ajoutèrent Marie, Thomas et un p’tit jeune, François. Tous approchant la cinquantaine, sauf François.
Thomas, un copain d’enfance, nous avait présentés quelque temps auparavant à Hélène et Serge. Et nous connaissions déjà Brigitte et Jacques. L’Allemand, Bert pour faire vite, était accompagné d’Alicia, au profil quelque peu chevalin et d’allure bien gironde.
Les présentations faites, passage au "vestiaire" : Anna revêt un paréo noué derrière le cou. Short et chemise hawaïenne pour moi. Côté pratique, toutes les femmes sont en paréos.
Dans le patio, un petit buffet bien garni et une soupe de champagne rafraîchissante nous attendaient. Toute cette assemblée se préparait à une chaude soirée. D’un œil, je vois Anna en conversation avec Brigitte, ça commence bien, me disais-je... Tout à coup, Serge annonce à l’encan que le jacuzzi est à notre disposition. Car Serge a équipé sa demeure, non pas d’une piscine mais d’un réel et grand jacuzzi en dur...
Une partie du groupe opta pour les bulles. Ce coquin de Thomas entraîne Anna vers les marches sans manquer de lui dénouer le paréo au passage, la voilà nue, son cul à l’air, ce cul bien rond que Thomas reluque aussitôt... Il bande déjà et ils s’installèrent tout en discutant... Comme j’étais avec Marie et Jacques, nous entrâmes à notre tour dans l’eau, Marie s’asseyant entre nous, j’admire sa lourde poitrine en imaginant pas mal de choses, les mains encore sages... Jacques est bi, je l’avais compris lors d’une précédente rencontre en club libertin.
Pendant que les derniers arrivaient dans le jacuzzi, Serge entreprit une vague recommandation au sujet des voisins mais j’avais la tête ailleurs, plongée dans le sillon inter-mammaire de Marie qui rigolait en chuchotant "attends, attends... Pas tout de suite..." Nos mains, celles de Jacques et les miennes, malaxaient le haut des cuisses de Marie, frôlant sa vulve à chaque mouvement remontant vers ses nibards... Je sentis une main enserrer ma queue déjà bien raide. Dans ces situations, l’excitation monte vite... Je vis Bert et Alicia, sages, côte à côte, Hélène et François... Et, et Brigitte embrassant fougueusement Anna, les deux poulettes prises en sandwich entre Thomas et Serge...
Faut vous dire que Jacques et sa femme Brigitte formaient un couple bi 100 % libertin, nous les avions rencontrés dans un célèbre établissement de Toulouse, celui de l’avenue qui monte (que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître ni reconnaître...) où j’ai souvenir d’avoir vu Brigitte se faire enfiler par cinq, six ou sept mecs successivement, sous les encouragements de son mari.
Revenons au jacuzzi : malgré les lumières immergées, les vaguelettes à la surface estompaient les ondulations des corps, mais on devinait bien qu’Anna était empalée sur la bite de Thomas dont les mains soutenaient ses seins. Tandis que Brigitte, collée contre elle, un bras autour de son cou, l’autre disparaissant entre leurs corps, sans doute fouillant le con d’Anna et lui écrasant le clitoris. Toutes deux enchaînaient les orgasmes. Brigitte est d’une efficacité redoutable. Serge, derrière elle, profitant du spectacle, profondément enfoncé en elle. Cette vision est plus longue à écrire qu’à voir...
Et Marie ? Elle aussi, prise entre Jacques et moi, gémissait. Je me vois lui bouffer le sein gauche, les doigts de ma main droite rencontrant ceux de Jacques, massant ses lèvres, écrasant sa vulve, pinçant son bourgeon et chatouillant l’entrée de son vagin. Elle râlait de plus en plus fort, haletante sous nos caresses. Tout à coup, Jacques souleva Marie, pivota sous elle et se l’emmancha direct ! Marie hurla de surprise, je me mis face à elle, sur la pointe des pieds et fourrai aussitôt ma tige dans sa bouche, étouffant ce cri perçant qui pouvait gêner les voisins...
Les yeux fermés, je me laissais aspirer la bite, et d’un coup de rein, je changeais de bouche, celle de Jacques, qui, un peu plus loin, ne gobait que mon gland... Mais putain, que c’est agréable que de se faire sucer par deux bouches...
Agréable, c’est certain, mais tenir sur la pointe des pieds l’est beaucoup moins...
Alors je quittais ces gosiers gourmands pour me réfugier entre les seins de Marie. Ma queue dressée, bien calée, est tout de suite prise en charge...
Comment...
Ce cochon de Jacques, tout en pressant les lolos de Marie, appliquait des mouvements de haut en bas...
La branlette espagnole...
Ooooh...
Et Marie me plaquait contre elle, chacune de ses mains serrant mes fesses...
Mortel, trop mortel...
Je me sens partir...
Un jet de foutre inonde le cou de Marie qui jouit, Jacques se lâche aussi...
Quel moment...
Nous trois en jouissance simultanée...
Temps mort...
Tout le monde se retrouva devant le buffet, dévorant toasts et petits fours en se désaltérant. J’eus l’occasion de retrouver Anna et d’échanger nos impressions sur ce début de soirée...
Elle affichait ce petit sourire de satisfaction qui en disait long, très long...
Et le confirma. Cela ne faisait que deux ans que nous avions poussé la porte du monde libertin et on s’y éclatait.
Hélène, en bonne hôtesse, en faisant le tour des invités, offrant divers amuse-gueules, s’arrêta devant moi. J’en pris un, à la mousse de foie gras. Comme elle assurait ce service seins nus, son paréo noué à la taille, je fus pris d’un délire gastronomique...
La retenant d’une main sur sa hanche, je m’attachais, d’un rapide mouvement tournant, à enduire ses tétons du foie gras du toast...
"Ah ! Le gourmand" s’exclama Hélène en m’offrant son buste, après un instant de surprise. Je me délectais aussitôt. J’adore les poitrines, j’adore jouer avec, les pincer, les presser, les masser, les lécher, les sucer, les téter, les aspirer... Les bouffer quoi !
Dans le salon, lumières tamisées, ça discute tranquillement, je vois Anna entraînée par Jacques et suivie de Thomas se diriger vers le couloir desservant deux chambres...
Mais que vont-ils faire ?
J’étais avec Bert, Alicia et Marie à échanger quelques banalités et je n’allais pas les lâcher, ce serait d’une impolitesse...
Hélène demanda de l’aide pour ranger le buffet et disposer desserts et boissons. Je l’aidais en cela, pendant que l’agréable situation s’installait...
Serge se mit au piano et joua, je ne sais plus quel morceau, qui mena à danser un slow sympa...
Le Bert avec son Alicia qu’il ne lâchait pas, Marie et François, Brigitte somnolait sur le canapé en fredonnant la chanson. Sortant de la cuisine, je pris Hélène dans mes bras et collés l’un à l’autre, nous suivîmes la mélodie. Enfin, collés l’un à l’autre, j’exagère, il y avait juste la distance pour que le bout de ses seins touche mon torse, tandis que le haut de ses cuisses frôle ma bite qui réagit...
Hélène le remarqua aussitôt et pressa son pubis contre ma bandaison...
On ne bougeait plus...
Elle entreprit une légère mais sublime ondulation des hanches en me glissant à l’oreille :
— Tu sais, Serge aime me voir faire l’amour pendant qu’il joue du piano.
Mes mains étaient descendues au bas de son dos, à la limite de son si beau cul.
Là-dessus, j’avisais le fauteuil le plus proche, face à Serge, comme il se doit. Je m’y asseyais non sans avoir fait tomber mon short. Je tournais Hélène de façon à ce qu ...
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