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Rendez-vous du samedi soir du 29 juin.

Publié par : couplebi62400 le 30/06/2024

sur la table du salon et ensuite au lit (mon homme est très bon coup), nous avons discuté de la sortie de samedi soir. 

Il était toujours OK. Il m’a informé qu’il allait s’occuper de me trouver mon partenaire. Je crois bien que c’est la première fois qu’il me choisit un homme pour moi sans me demander mon avis, mais pourquoi pas, l’idée était excitante. Après de très longs échanges sur le net et sur son téléphone avec notre futur partenaire de baise, il m’informe que c’est OK pour samedi soir.

Pour me rassurer, je lui demande qui est cette personne ? Il me répond qu’il a l’air loubard, il parle avec des mots crus : « Je vais lui démonter son cul à ta femme » et il avoue qu’il aimerait me voir prendre par ce genre de type. « Ma femme qui se fait démonter par un loubard », toi qui adores la sensualité, et il ajoute qu’il pense que cela sera une nouvelle expérience pour nous 2. La réponse de mon homme ne me rassure pas vraiment, mais dans ces moments incertains de sexe, il est toujours là pour me protéger.

Samedi soir, donc après un souper léger, nous voilà partis pour une nouvelle aventure sexe vers 21 H 30.

Le trajet avant d’arriver dans les parages ne dura pas longtemps, cependant, durant ce petit laps de temps, je m’interrogeais sur ce que nous allions y faire. Louis s’engagea dans des petites rues et dans une zone dont l’accès était interdit depuis des lustres et nous sommes entrées dans le site d’un entrepôt désaffecté aux fenêtres et aux portes brisées. Non homme se gara dans l’ancienne rampe de livraison des marchandises à l’abri d’éventuels regards. Il éteignit les feux de la voiture et alluma le plafonnier.

Louis s’était tourné vers moi et commençait à me dégrafer l’ensemble des boutons de mon chemisier, dévoilant directement ma poitrine. Je veux lui montrer que tu es belle.

Il dégagea mon chemisier lentement pour faire durer le suspense et effleura ma poitrine, caressa mes seins dont les tétons étaient déjà en forme. Ses lèvres prirent le relais sur mes tétons alors que ses doigts glissèrent sous ma jupe à la rencontre de mon sexe qui devenait moite. Comme je ne porte jamais de sous-vêtements, cela m'excite beaucoup plus vite.

Un bruit sourd de la serrure qu’on essayait d’ouvrir m’a fait sortir de mon début d’excitation. En appuyant sur la décondamnation, le seul barrage entre l’individu et moi disparut.vJe suis Jacques… c’était le partenaire que mon homme m’avait choisi.

Pour toute réponse, Louis, mon homme, se dégagea pour se caler contre sa portière. Le type se pencha dans l’ouverture de la portière qu’il venait d’ouvrir. Il devait avoir la quarantaine, blouson de cuir, bottes, jeans, vraiment l’apparence de loubard typé. Aussitôt, il posa une main sur un de mes seins pour le palper et le soupeser, tandis qu’il dégrafait son pantalon pour sortir son sexe et qu’il commença à le masturber.

Elle est bonne, de bien belles mamelles, ta salope…

Il se pencha davantage pour m’embrasser, je détournais mon visage, laissant mon cou à la voracité de sa bouche qui me léchait tout autant qu’elle aspirait ma peau. Je croisais le regard de mon homme. Il me prit par la main et me dit en chuchotant d’une voix apaisante : je suis là, je suis avec toi, détends-toi et prends du plaisir.

Voulant être conciliante, j’essayais de me retrouver pour prendre du plaisir… Après avoir malaxé ma poitrine longuement, sa main descendait sur mes deux jambes sous ma jupe courte. J’ai eu le réflexe de refermer mes jambes. Mon homme prit mon pied gauche qu’il souleva et posa sur le tableau de bord pour mieux m’offrir. Pendant que sa langue fouillait la mienne, ses doigts furetèrent sur mes lèvres de mon sexe humide. Il était avide de sexe, de perversité, ne cherchant que son plaisir au détriment de ce que je pouvais éprouver. Ayant bien lubrifié ses doigts contre mon sexe, il me pénétra avec un doigt dans chacun de mes petits trous. Ses doigts avec vigueur exploraient mon vagin et mon derrière au plus profond de leur largeur. C’était à la fois repoussant mais aussi excitant.

J’adore les sexes rasés, maintenant, la bourgeoise, tu vas prendre cher et je vais te faire jouir et hurler de plaisir, dit-il alors.

Avec une certaine force, il me sortait de la voiture et m’a obligé à me mettre à genoux pour que je m’occupe de sa queue. Son sexe était pleinement en érection maintenant et son gros membre veineux qui sortait de son pantalon était déjà prêt à me recevoir. Il posa ses mains sur ma tête et m’enfonça de force son sexe en bouche tout en me tenant par les cheveux.

Suces-le, m’encouragea mon homme.

Afin de le satisfaire, sans que je le touche, il assura avec ma tête des va-et-vient dans ma bouche, me forçant à lui faire des gorges profondes que visiblement elle adorait. Suce, ma pute bourgeoise, tu vas voir ce que c’est qu’un vrai mal…

Au bout de 10 bonnes minutes de fellation, ce qui me parut être une éternité, il me releva, fit tomber ma jupe et arracha mon chemisier pour me mettre nue. Il me plaqua contre la voiture contre le ca ...

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Mots-clés : Hétéro, Fellation, Sodomie, Pénétration vaginale, A plusieurs