Cette histoire est en partie fantasmée.
L’avantage d’être père de quatre filles, c’est que leurs copines défilent à la maison. De petites filles sages, certaines grandissent en bombasses délurées pleines de charmes. Voir en coquines avides de sous-entendus.
Sarah est une jeune femme de 23 ans, une copine de ma dernière. Elle a une santé fragile, collectionnant les maladies orphelines et les problèmes de santé. Elle traverse ces épreuves de la vie avec un sourire solaire et une foi en l’avenir inébranlable. C’est une jolie jeune femme épicée aux senteurs andalouses, une petite brune toute fine aux lèvres pulpeuses, des yeux noirs expressifs, des cheveux d’un noir de jais mi-longs. Et ce sourire ravageur dont je vous ai déjà parlé. Elle n’a pas une forte poitrine, de petits seins qu’elle laisse libres sous des bustiers ou chemisiers. Ses tétons pointent fièrement tout le temps, et ça m’excite. J’aimerais bien découvrir s’ils bandent durs.
Elle était venue une fois se baigner à la maison quand nous avions encore une piscine hors-sol. J’avais remarqué ses belles jambes fines et bronzées et ses petits seins, et des jolies fesses galbées. Un petit modèle comme dirait un copain, mais une femme bourrée de charme.
C’est la fin de l’été et je suis seul à la maison. Les filles ont repris leurs études sous d’autres cieux et ma femme est en déplacement pour la journée. Je suis au rez-de-chaussée allongé sur mon lit, à moitié à poil. J’ai sorti ma bite de mon boxer et me caresse en regardant les vidéos des amateurs de lieuxdedrague. J’aime voir les couples qui se filment, je n’ai aucun intérêt pour les pornos professionnels où tout est convenu. Mon lit fait face au jardin et tout à coup, j’aperçois une forme qui passe devant la fenêtre. Mon cœur bondit, je pense à un intrus. Je m’embraille et monte les escaliers pour aller sur la terrasse et voir qui se promène dans mon jardin. Comme je sors de la cuisine sur la terrasse, je tombe nez à nez sur Sarah. Mon cœur bondit à nouveau, je ne m’attendais pas à la voir.
- Wow, c’est toi ! Tu m’as fait peur !
- Désolé de te déranger, mais je suis en voiture et je viens de crever. Je ne sais pas comment faire pour changer la roue, dit-elle en m’en claquant deux.
- Ah ok, ta voiture est loin ?
- Non, elle est garée dans la résidence, ma mère vient de me laisser pour la récupérer et elle fait un drôle de bruit en roulant donc je suis venue ici. Je pense que j’ai crevé mais c’est la première fois que ça m’arrive. Je comprends pas, elle sort de révision.
- Ok, montre-la moi.
Je ferme la maison et nous voilà partis. En effet, sa Nissan Micra est garée à 50m de chez moi, le pneu avant droit est à plat.
Je lui demande de m’ouvrir le coffre pour voir ce qu’il y a pour réparer. C’est une galette. Je monte le cric en lui expliquant comment faire, les écrous de la roue sont bien serrés et je lui montre aussi comment faire pour les desserrer. Pif roue crevée enlevée, paf galette mise, pouf cric descendu. Elle est toujours aussi étonnée d’avoir crevé, je tourne la roue et découvre une vis sur la bande de roulement. Ben voilà !
Allez direction la maison pour prendre un café et se débarbouiller, mes mains sont couvertes de suie. Arrivé devant la maison, mon cœur se serre : la clef est dans la poche du bermuda, et j’ai les mains dégueulasses.
- Euh, lui dis-je gêné, il faudrait que tu prennes la clef dans la poche droite du bermuda.
- Oui, dit-elle en souriant. Son sourire est vraiment craquant, quelle jolie môme. Elle glisse sa main dans la poche et tâtonne à la recherche de la clef. Elle frôle mon sexe et mes bourses, j’ai une décharge électrique.
- Oh pardon, pouffe-t-elle, vraiment désolée.
- Pas de mal, que du bien rassure-toi. Mais qu’est-ce qu’il me prend de dire un truc pareil ?
Elle sourit toujours, ses yeux sont deux braises qui me transpercent, son regard ne me quitte pas.
- Euh tu peux ouvrir ? Il faut que j’aille me laver les mains…
- Oui bien sûr.
On entre et je lui propose d’aller sur la terrasse pendant que je me nettoie. Je fais partir la suie, je me brosse les ongles noirs et je reviens dans la cuisine d’où je l’aperçois sur la terrasse. Elle a croisé se jambes toutes fines, son short est un peu remonté. Elle fume une clope.
- Tu veux un café ?
- Oui volontiers ! Encore merci d’avoir changé la roue, je ne sais pas comment j’aurais fait sans toi.
- Avec plaisir, et puis avec ta force de moineau je ne sais pas si tu serais arrivée à desserrer les écrous.
Elle rit à ma gentille plaisanterie. Je dois dire que j’aime bien qu’elle me tutoie, les amies de mes filles généralement me vouvoient, le privilège de l’âge. Mais elle non, elle m’a toujours tutoyé.
Je sors sur la terrasse avec nos deux cafés, on les boit en discutant gentiment. Je prends de ses nouvelles, sa recherche d’emploi, sa santé. Je l’observe fumer, j’aime sa façon de lever sa clope pour aspirer la fumée, et la manière qu’elle a de la rejeter d’un coup. Et tout à coup, ça dérape :
- Ta femme n’est pas là ?
- Non, en déplacement pour la journée.
- Ah ok, c’est pour ça que tu t’ennuyais sur ton lit ?
Je deviens cramoisi, elle a dû me voir me branler. Cette gamine me déstabilise.
- Que veu ...
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