J’avais il y a quelques week-ends de ça, une course de karts dans le 77 qui m’obligeait à rester sur place 24 heures et donc de passer la nuit à l’intérieur du circuit.
Sur les coups de 23 heures minuit une violente envie de sexe me traverse. Sarah n’étant pas sur place et ne répondant pas à mes messages, je décide de prospecter sur notre site favoris à la recherche de partenaires de baise. Après quelques discussions, rien de sérieux ne se profile, je passe donc une petite annonce sur un autre site où je suis vite contacté par une trans très féminine et visiblement très joueuse. Nous échangeons quelques messages et décidons de s’appeler.
Je m’éloigne de la foule pour être plus au calme et lui répond. Elle est très salope au téléphone, et il m’en faut pas plus pour m’enflammer. Je lui propose donc de me rejoindre et de me contacter quand elle sera à l’entrée afin que nous trouvions un petit coin tranquille mais pas trop quand même. 20 minutes passent, et mon téléphone sonne.
Elle est arrivée, je prétexte le besoin d’aller marcher pour m’éclipser de mon stand. Après quelques mètres sur le parking, je l’aperçois dans la pénombre, elle semble tout aussi sexy que sur ses photos. Robe moulante, très courte, talons hauts et cheveux longs. Les présentations furent rapide dans l’excitation était grande des deux côtés, nous voilà donc à la recherche d’un coin tranquille pour faire nos affaires. Un buisson, un peu en retrait du parking. Nous cachera juste ce qu’il faut, à peine le temps d’arriver quelle est en train de me baisser la combinaison. Je bande déjà presque à fond, ce qu’elle ne manque pas de me faire remarquer. Aussitôt, elle avale mon sexe tendu vers elle. Effectivement, elle n’avait pas menti en disant qu’elle était gourmande, ses lèvres glissent le long de mon sexe de haut en bas, dans un rythme intense et joue avec mes couilles remplies de sa main. Gorges profondes, bifles, claquage sur la langue, tout y passe. Mon téléphone vibre sur ma cheville, je m’en saisis difficilement, un message de Sarah m’annonçant qu’elle arrive. Je lui indique donc l’endroit où me trouver, sans lui dire bien évidemment que je suis en bonne compagnie.
_ Tu peu tout me faire!
_ Tout?
_ Oui tout!
Je lui attrape donc la gorge et serre gentiment, effectivement cela ne semble pas la déranger, elle bascule la tête en arrière et tire sa langue.
_ Hum je suis ta pute, maltraite moi!
J’attrape son visage au niveau des joues puis lui met une gifle, puis je la prends par les cheveux et force sa tête à plonger plus loin entre mes jambes.
_ Bouffe moi le cul sale pute.
Ça langue ne se fait pas prier et se fraye un chemin jusqu’à mon cul. Rapidement, ma rondelle est trempée, je ne tiens plus, j’ai envie de la démonter.
_ Tu as bien pris des capotes ?
_ Bien sûr, j’espère que tu vas me démonter.
Elle fouille dans son sac, et en sort effectivement des capotes. Je l’enfile sur mon sexe gonflé et soulève sa robe.
_ Mets-toi à quatre pattes comme la chienne que tu es!
Elle s’exécute, une fessée vient briser le silence de la nuit, accompagner par un cri de sa part. J’écarte son string libérant l’accès à son trou, je travaille un peu son cul avec mes doigts et je plonge ma bite à l’intérieur.
Elle râle de plaisir, pas de temps à perdre, ça va être bestial. Je la lime brutalement, mon bassin claque sur son cul fortement. Je pense que le bruit est reconnaissable d’assez loin, et j’espère que quelques voyeur voir même participants nous rejoignent. J’entends une voiture se garer tout proche, mais je suis trop occupé à lui, démolir le cul pour y prêter attention.
Du bruit derrière le buisson, m’interpelle, je tourne la tête et découvre deux jeunes hommes, attirer par les bruits reconnaissables d’une baise intense. Ils sont un peu étonnés mais ne s’enfuit pas pour autant. je continue donc ma besogne, non ...

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