Nous descendons avec Maman pour le petit déjeuner. Bruno nous attends et accueille ma mère avec empressement."
Le petit déjeuner se passe dans une bonne ambiance, Bruno est loquace. Il fait la conversation avec Maman, enchaînant blagues et anecdotes personnelles.
Ma mère rigole de bon coeur. Forcément, vu la demande de Bruno, je suis tendu et à la recherche d’une solution. A la fin du petit déjeuner, Bruno s’adresse à maman en lui disant :
» Pour ce soir, si vous n’avez rien de prévu, nous dînerons tous mes trois ensemble, sauf si François veut sortir ? Je vous tiendrai compagnie Gisèle ! «
Sortant de ma torpeur,, je réponds à Bruno immédiatement :
Ma mère et moi passons la journée en nous promenant sur la côte et la visite d’Honfleur. La fin de journée arrive vite, il nous font rentrer pour nous préparer pour le dîner.
Je passe à la salle de bain le premier pour me faire une petite toilette. Pour moi, cela a été vite. Je retourne à la chambre. Gisèle est toute guillerette, elle me sourit, prend ses affaires de toilette en me disant :
« Je vais me faire belle , bisous mon chéri !»
Dans ma tête, le piège se referme ! Je pense avoir mon idée.
Un petit quart d’heure après, Elle revient, elle est toujours avec sa robe de chambre. Assis sur le bord du lit, je fais semblant de lire mais j’observe la scène. Maman fouille dans sa valise, elle ne voit pas que regarde. Elle prend une paire de collants marrons. Elle les passe. Elle enlève sa robe de chambre et se penche pour tirer dessus et les mettre en place. Vu sa position, je peux voir que c’est un collant ouvert. Elle n’a pas encore mis de culotte. Elle s’enroule dans une serviette au niveau du bassin, et passe un soutien-gorge marron sans armature, juste de la tulle transparent. Puis elle choisit une jupe dans sa valise et la passe elle est de couleur noire. Celle-ci lui arrive au niveau des genoux. Il lui reste à passer un pull beige qui l’avantage, lui moulant bien sa poitrine. Je ne l’ai pas vu mettre de culotte. Elle passe des talons vernis, puis se regarde dans la glace. Elle retrace une nouvelle fois du rouge à lèvres, et se tourne vers moi en me demandant :
« Tu l’as trouves comment ta mère, je te plaît ? «
« Oh maman, tu sais bien que je te trouve toujours la plus belle ! «
Puis, je lui annonce que je vais voir Bruno pour savoir si il veut un coup de main. J’arrive seul dans la cuisine, et j’en profite pour parler avec lui.
" Bon Bruno, le mieux est de bien arroser le repas. Elle ne tiens pas trop l’alcool et devient plus facilement joyeuse, surtout au Rosé. Moi, un peu après le repas, je prétexterai être fatigué et je monterai me coucher, cela te laissera le temps de la draguer !»
" Bon plan François, je t’en remercie, je te raconterai si tu le veux ! « Me dit il en me caressant le cul.
Pour ne pas rester en plan, je me recule en lui disant : « je mets la table !»
Je pose les assiettes, les verres et les couverts. C’est le moment choisi pour l’arrivée de ma mère.
Immédiatement, Bruno rapplique et lui sert son discours à deux balles :
« Ah, enfin, voici la plus belle ! On va pouvoir passer à l’Apéro !»
Bruno la conduit dans le salon, et la fait asseoir dans le canapé, puis il propose :
« Il y a du Martini, rouge ou blanc, du Ricard ou du Whisky ? «
« Allons y pour un Martini Rouge dit en rigolant ma Mère. «
« Pour moi ce sera un Whisky glace .» rétorquais je
« Bien et bé Bruno va prendre un Ricard !»
Je prépare un bol avec des glaçons, Bruno et déjà assis aux côtés de ma mère avec les verres sur la table. Il n’a pas lésiné sur les doses, il reste quant même la place pour mettre des glaçons.
Nous trinquons et savourons les toasts préparés. Bruno alimente la conversation, nous l’écoutons sans intérêt, ma mère lui sourit.
Au deuxième vert, ses joues sont roses et son rire devient mécanique.
Après chaque dialogue avec Bruno, elle rit en lui touchant le bras.
« Allez, passons à table . « Ordonne Bruno.
Il aide ma mère à se relever du canapé et la conduit jusqu’à sa chaise en lui mettent sa main sur son postérieur. Dans la conversation, cela semble normal. Ma mère s’installe et Bruno se met en face d’elle.
Pour le repas, c’est basique, des pâtes à la Bolognaise. Bruno fait le service, puis après avoir une bouteille de Rosé frais, nous remplit nos verres.
Plus personnes ne parle, on mange et on boit. Le rosé est excellent nos verres sont rapidement vides. Ils se remplissent aussitôt. Tout en mangeant, Bruno dévisage maman. Etant en bout de table, je peux sans me trahir les observer. Je remarque que l’attitude de celui-ci trouble maman ?
Je fais semblant de faire tomber ma serviette de table, hé là j’ai le temps de voir qu’il a enlevé ses chaussons, et que d’une jambe il lui caresse son entrejambe!
Les deux tourtereaux n’ont pas vus ma manoeuvre, je finis mon assiette.
Ma mère demande : Il en reste, il faut le finir ! «
On se force tous les trois à en reprendre. Bruno ouvre une deuxième bouteille de Rosé .
Je surprends ma mère à tutoyer Bruno !
« Il est vraiment bon ton petit Rosé !»
« Content qu’il te plaise Gisèle «
Visiblement sous la table, les contacts s’intensifient. Ma mère semble déjà un peu ivre et ricane bêtement à chaque phrase prononcée par Bruno.
Nous desservons la table et passons au salon. Bruno a mis de la musique en sourdine. Un café avec une part de gâteau. Collés jambes contre jambes, les deux futurs amants ne parlent plus.
Mon café finit, je me lève en m’étirant et baillant !
« Je monte me coucher, l’air de ma mer m’a crevé ! «
Aussitôt Bruno répond : « Tu as raison, profites en pour te reposer ! Nous allons écouter quelques bons vinyles avec Gisèle ! «
J’embrasse maman, et souhaite une bonne soirée à Bruno, celui, comme pour un remerciement me tapote sur les fesses !
Je monte l’escalier et fais semblant d’aller à la chambre. Je retire mes chaussures et reviens doucement. Je m’allonge sur la moquette à mon poste d’observation, j’ai un bon visuel sur le salon !
Pas besoin d’attendre, Bruno se lève et va vers maman. Il lui caresse son cou ! Elle ne réagit pas, il se penche vers elle et lui prend la bouche ! Il sent suit un long baiser.
Bruno se lève et dit :
« Enlèves ta jupe et ton pull, je veux sentir ta peau ! «
Gisèle comme une automate obéis. Elle set devant lui en collant soutien-gorge.
« Hum, tu m’a l’air d’être une bonne chaudasse, même pas de culotte, tu as chaud au cul ...
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