La semaine de vacances de la belle mère.


Depuis mon aventure avec la mère de Martine, nous n’avions pas eu réellement l’occasion de refaire l’amour.
Quelques contacts, pelotages et embrassades en douce, mais le danger était trop important pour risquer ma relation avec Martine.

Alors que j’étais venu voir ma fiancé un Week-end, celle-ci timidement me demanda si je pouvais rendre service à ses parents.
Ma belle mère Gisèle se sentait fatiguée, avait posée des congés et désirait se rendre une semaine à Villers sur Mer ( 14 ) dans la demeure prêtée par des amis.
Mon beau père travaillant ne pouvait la conduire et Martine, jeune employée n’avait pas de congés possible
Il me restait des congés, il me suffisait de poser deux jours pour la conduire, Pierre la rejoindrait vendredi soir pour la récupérer !
La semaine de vacances était prévue pour dans deux semaines, j’ avais le temps de poser et de confirmer ma disponibilité pour la conduire.
N’ayant eu aucun problème pour avoir des jours ( hors saison ), je pus confirmer rapidement. Une sorte de fébrilité m’envahissait à l’idée de conduire cette salope.
Le jour tant attendu du départ arriva vite. J’ai donc passé comme d’habitude la nuit du Dimanche chez les beaux parents. J’ai pu, en cachette doigter et lécher la moule à Martine, j’avais hâte de passer à la mère !
Le Lundi matin, elle était rayonnante. Martine et son père était déjà partis au travail. Je me retrouvais donc seul avec Gisèle. Elle avait sa robe de chambre, mais cela la rendait vieille, je lui ai donc demandé de l’enlever. Pour le petit déjeuner, elle était donc en nuisette !
Elle me préparait mon café, et à chaque passage, je lui pelotais son beau cul !
Rapidement ma bite était au garde à vous !

Gisèle n’avait pas de culotte et je prenais plaisir à essayer de lui mettre un doigt dans son côté face chaque fois qu’elle passait à côté de moi .
Je ne voulais pas la culbuter en vitesse et n’importe comment, nous allions avoir la soirée, il fallait qu’elle mouille cette salope !
Après le petit déjeuner, nous chargeons la voiture des bagages à Gisèle et de mon sac. Nous prenons la route. Je m’arrête à la Maison Brûlée, au niveau du restaurant routiers, et le lui dis :
«
Enlèves ton manteau et dégrafes ton corsage, on va voir si tu as du succès. »
Je gare la voiture à proximité des poids lourds ou se repose des chauffeurs, et je lui dis :
« Tu m’attends là, je vais voir si il a du monde intéressé ! »
Je fais le tour des camions, et rapidement, je tombe sur un homme âgé de la cinquantaine, bedonnant, mal rasé,. Je lui demande si il a une belle cabine pour baiser une belle truie. Il me regarde étonné et me répond par l’affirmatif !
Je vais chercher Gisèle et la conduis jusqu’au chauffeur, visiblement, il est ravi.
Il ouvre la portière côté passager de la cabine et invite ma belle mère à y monter. Il la pousse en y mettant la main au cul ! Bien sûr, il a mis la main sous sa jupe et la pelote en même temps! Il monte derrière elle, je le suis .
Le chauffeur qui se nomme Raymond, invite la Gisèle à se mettre dans la couchette, elle obéis en me regardant ! Elle enlève son corsage et sa jupe et se retrouve en porte jarretelles et bas et en soutiens gorge, à son habitude, elle n’a pas de culotte, je sais maintenant de qui tient Martine !
Pour le routier, c’est Noêl, si il savait qu’il va baiser la femme d’un routier, mais il ne le sait pas !
Il enlève son pantalon de bleu et son slip kangourou, ses couilles pendent et sa bite pointe ! Il enlève son marcel et se retrouve torse nu, son ventre est lisse !
Le routier se rue sur son sexe et commence à le bouffer. Elle, est déjà toute humide !
Elle écarte bien ses cuisses, le chauffeur est affamé, il la dévore. Je rejoins le duo après avoir enlevé mon pantalon,
Je l’emballe. Lui dévore sa bouche baveuse ! Elle m’agrippe fortement en haletant !

Raymond s’active comme un beau diable, il se régale avec cette chatte lisse !
Puis, il la regarde et lui dis :
« A quatre pattes, je vais t’apprendre l’alphabet ! »
Gisèle se retourne sans parler, et se met en position.
Raymond admire sa croupe, il tend la langue et commence à déguster sa rondelle.
Etant face à ma belle mère, je sors ma bite et lui présente !
Elle la gobe en me tripotant les couilles.
Le chauffeur enfonce sa langue dans le conduit à Gisèle,
Elle trémousse son gros cul de salope, elle en veut !
Après l’avoir bien fait mouiller, Raymond présente son sexe et lentement s’enfonce son gland en Gisèle !
Il l’encule sans préliminaire.
Gisèle l’aide par des mouvements d’avant en arrière ! Elle a lâchée ma bite et hurle son plaisir ! :
« Ah ah ah, « oui elle commence par le A, comme avait dit le routier
Je prends ses seins et tout en l’emballant et lui pelote !
Dans un cri commun, le couple illégitime exprime ce désir coupable mais réel.
Gisèle s’écroule sur le ventre, Raymond lui demande de se tourner vers lui et de lui nettoyer son sexe, elle me regarde et comme demandé le suce avec précautions !
Nous nous rhabillons, Raymond avant que je descende me dis :
« Merci pour ce moment, elle est bonne ta mère, quelle salope hein ! »
Je le regarde en souriant en lui répondant par l’affirmatif.
Nous repartons tranquillement avec Gisèle, et je pense qu’à peine 30 KM de fait, et elle s’est déjà fait enculer !
La route est belle jusqu’à Villers. Gisèle ne dit rien. Je lui caresse sa main, elle me sourit.
Sur place, je descends les deux valises à Gisèle, elle ouvre la porte de la maison avec le trousseau de clefs. .
Je préviens Gisèle que j’ai pris une journée de plus, sans rien dire à Martine et que je ne repars que Mercredi matin. Gisèle me saute au cou, folle de joie et elle me dit aussitôt :
‹ Je te paye le restaurant ce soir ! «
« Ok, mais tu devras être la plus belle et la plus sexy « lui réponds je !
Elle me sourit et part vers la douche.
Je prépare la table et mets une bouteille de champagne au frais, cela fera monter l’ambiance !
Sa douche prise, ma belle arrive en déshabillé noir transparent, elle est nue en dessous. La
tulle contre sa peau laisse voir ses formes et attributs.
J’aperçois sa chatte, elle est toujours bien lisse comme une chatte d’adolescente !
Je ne veux pas déjà la baiser, la journée est longue, et je veux être en forme ce soir !
Je lui sers une coupe de champagne et l’invite à s’asseoir dans le salon.
...

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