Bientôt 30 ans de mariage, plus d’une fois j’ai été brouter la luzerne ailleurs que dans mon champs ! Normal ?
Qui n’a jamais fauté ?
Mais depuis quelques temps, une idée cochonne envahie mes pensées , j’aimerai être cocu !
Vous allez me dire que j’y suis peut être sans le savoir. Ma femme et trop prude pour me tromper , je vais l’aider à y arriver !
Depuis ma retraite récente, je fréquente le bar du village ( Bar des Sports ) Je m’y suis fait quelques copains, des jeunes des vieux, des alcoolos !
A moi de trouver le bon prétendant.
Ma femme étant plus jeune que moi ( elle 50 ans et moi 57 ans ) il me faut trouver un baiseur âgé de la quarantaine, mais pas un play boy !
Depuis que mon idée a germée, j’ai donc fait l’inventaire des clients assidus, un correspond bien au type recherché : Philippe ! 44 ans, beau gosse marié mais séparé, avec 2 enfants. Propre sur lui.
J’ai donc commencé à pendre des photos en douce de ma femme Martine. A chaque occasion, je la mitraille sous toutes les positions !
Je suis retourné au Bar des sports, je savais que Philippe y passait après son travail et Martine devait aller chez ses parents. Comme prévu, à 17h30, Philippe arrive, il est en pantalon tergal et chemise bleue, il travaille dans l’immobilier.
Content de ma voir, il s’assied à ma table. Après une conversation banale, j’ose aborder le sujet sur le couple. Nous en sommes à la 2ème pression. Je lui explique qu’avec ma femme plus rien ne se passe, et que je pense qu’elle a un amant. Je lui montre des photos d’elle, il les regarde avec intérêts.
«Elle est superbe, elle fait envie ! «
Philippe me réconforte et me dit de ne pas m’alarmer. Je lui propose de passer un soir à l’apéro, pour qu’il apprenne à la connaître et qu’il me donne son avis.
Je lui demande aussi de la draguer si l’occasion se présente, qu’il a mon accord.
Nous attaquons le «Ricard» , et j’arrive à convaincre Philippe à participer à mon plan.
Je lui propose de passer dîner à la maison Samedi soir, je prétexterai avoir retrouvé un camarade de travail du temps passé. Bien sûr, nous éviterons le sujet travail.
De retour à la maison, je retrouve mon épouse Martine. Elle est étonnée de mon arrivée tardive, je lui explique avoir retrouvé un copain de travail, et que celui-ci est dans une mauvaise période ! Martine m’écoute et compatit. J’en profite pour lui glisser que je l’ai invitais Samedi à dîner pour lui remonter le moral.
Elle me répond : « Tu as eu raison, c’est dans ces moments là que l’on a besoin de soutien !»
Je compte sur toi pour être agréable, je sais que tu es compréhensive ! «
Je n’insiste pas, Martine a compris le message.
Le Samedi arrive vite, il fait beau, nous pourrons manger en terrasse. Martine me dit qu’elle a opté pour un buffet campagnard, à moi de m’occuper des boissons.
Martine monte de bonne heure se préparer, je monte l’observer, elle se douche, se rase la minette. Puis elle enfile un soutien-gorge balconnet. Elle enfile un string de la même couleur noire, et ensuite passe une robe d’été banche légère brodée
Je descends et là laisse se maquiller comme une voiture volée !
Les toasts préparés ainsi que la table, les boissons au frais, j’en profite pour prendre un premier apéro solitaire, en espérant une soirée comme je les aime !
Philippe arrive à 18H30. Bien élevé, il a apporté un bouquet pour Martine et une bonne bouteille de Bourgogne !
Je le présente à Martine, la bise d’accueil est de coutume. Les yeux à Martine papillotent, le contacte est bon.
Je me mets déjà dans mon rôle de futur cocu, j’en bande d’excitation.
J’assois Philippe sur le canapé, Martine après avoir pris la commande arrive peu de temps après avec les boissons. Elle nous sert et sans hésitation s’assoit aux côtés de Philippe.
Je fais en sorte de ne pas les surveiller. Philippe adroitement colle sa jambe gauche à la jambe droite de Martine, elle ne réagit pas. Les verres se suivent, l’ambiance est détendue, surréelle. Chaque fois que Martine se penche pour prendre des amuses gueules, son décolleté permet à Philippe de découvrir sa poitrine bien serrée dans son soutif, il n’en perd pas une miette. La jupe de Martine relevée découvre le haut de ses cuisses.
J’en profite pour annoncer :
« Je vais chercher le cubi de Rosé, il est au frais dans le frigidaire au sous-sol.
Je me lève en observant mes deux tourtereaux. Martine à les yeux qui brillent. Je me cache dans le couloir, et rapidement la main à Philippe passe sous la jupe de Martine, elle ne dit rien et bien au contraire, entoure le haut du corps de Philippe de ses mains. Un long baiser langoureux s’ensuit. La main explore les dessous de ma femme, elle écarte les jambes en gémissant. Bordel, je bande ! oh que c’est bon d’être cocu !
Je pars chercher le cubi, j’en profite au sous-sol pour m’astiquer ma queue, hum, je crache mon sperme dans ma main, je la lèche en pensant à ma salope !
Je remonte bruyamment pour prévenir les deux oiseaux de mon retour.
Martine est toujours en place, les jambes un peu plus écartées. Philippe prend son verre, me sourit et me fait un coups d’ oeil.
Martine se lève en disant :
« je prépare les assiettes, «
Immédiatement Philippe se propose pour aider et lui emboîte le pas.
« Bon, je prépare la table de salle ! « me reste il à répondre.
Je prends mon temps, essayant d’épier leurs paroles ou mouvements.
Je me reprends un apéro en attendant. Plus d’un quart d’heure après, Philippe me rejoint, je lui sers un apéro. Il s’approche de moi et me dit tout bas : « Elle a chaud au cul ta femme !»
Martine arrive avec deux assiettes.
« je vais chercher la 3ème « dis je à Martine.
Aussitôt les deux nouveaux amants s’enlacent et s’embrassent !
Je leur laisse le temps de se rasseoir et arrive avec la 3ème assiette.
Martine est en face de Philippe et moi à la droite de Philippe.
Nous dînons à la bonne franquette, on bavarde bien et on rigole.
Martine est assise au fond de sa chaise, je devine le pied droit de Philippe qui lui caresse les jambes.
Je ressers un verre de rosé à tous, Le haut de la robe de Martine est déboutonné, on peut voir sa poitrine et ses pointes qui dépassent des corbeilles. Je ne dis rien et nous profitons de cette belle poitrine. Philippe et Martine se tutoient.
Je me lève et sers une coupe de champagne, nous passons au salon.
Martine allume la tv, elle tombe sur une chaîne avec un film érotique, et la laisse.
Philippe est assis au milieu du canapé, Martine à sa gauche, du coups, je me mets dans le fauteuil .
« Ah; si tu te mets dans le fauteuil, tu ne vas pa ...

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