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6 h30 du matin, Hugo s’approcha de la fenêtre ... suite & fin

Publié par : deepblue le 07/02/2017

« - Vous n’êtes vraiment pas gênés vous alors ! »

« - Il aurait pu y avoir des enfants, c’est incroyable ! »

« - Vous êtes dans un domaine public, quand même ! »

Ces invectives finir par tirer Hugo de sa sidération.

Les pupilles encore dilatées, il eut quelques difficultés à localiser l’origine des reproches. Un couple de soixantenaires était là, un peut plus haut sur l’estran de la plage.
Excusez-moi, c’est à moi que vous parliez ?

« - A qui croyez vous que cela peut être ? Vous êtes la seule personne nue comme un vers sur cette plage, vous pourriez avoir un peu de pudeur quand même! »

Seul l’homme ouvrait la bouche. Madame sous ces airs effarouchés, ne perdait une miette du spectacle de cet homme mince et plutôt bien de sa personne pour ses 40 ans bien dépassés.

Hugo souris et comprenant le malaise de son interlocuteur. Il tenta bien de ce lever mais ne voulu pas en rajouter. Madame anticipa gentiment en tendant son foulard au mari qui le saisit, se leva et le lui tendit.

« - Merci je suis confus si j’ai pu vous offusquer, je pensais être seul… » Esquissa t il en ajustant le mince voilage sur ces hanches. « Le problème est que je suis en bateau…je devrai rentrer à la nage, je crains de maltraiter votre délicate soierie. »
« - et bien gardez le jeune homme, il vous sied à merveille, d’ailleurs il fait si doux. Je n’en n’ai nul besoins…d’ailleurs nous sommes nous même en bateaux, et nous apprêtions à partir. Nous pourrions vous déposez…n’est ce pas chéri ? » Le mari opina, un tantinet désarçonné par l’à-propos généreux et coquin de sa femme.

En quelques virils vrombissements, le semi-rigide accosta le léger trimaran, Hugo remercia ses hôtes passant sur son navire il proposa de rendre le précieux textile à sa propriétaire.
« - je vous l’ai dis il vous va à ravir, gardez le en souvenir de cette belle journée…nous sommes heureux de vous avoir dépannés… » Fit elle avec un clin d’œil d’accompagnement. « Quand à nous Hubert, retour à Loctudy…les enfants nous attendent…bonne et douce soirée jeune homme… »

En remerciant de la main il aperçu Estelle nue qui jouait les sirènes impudiques à quelques mètres des 2 bateaux, la femme au foulard répondit à son signe en partant dans un grand éclat de rire, vite couvert par le mugissement rageur des chevaux vapeurs de mossieur Hubert…

L’aidant à sortir des flots, Hugo maintint son sourire, appréciant la mince silhouette sexuée d’Estelle.
Elle se jeta sur le duvet, laissant le soleil évaporer les gouttelettes salées…elle le regarda dans les yeux, lui lançant un regard brillant, intense, de désir…

« - Hugo, ce bain n’a pas eu raison du feu que tu as mis en moi, je brûle d’imaginer tes mains glisser sur mes fesses, s’immiscer entre mes cuisses, s’infiltrer dans mon sexe… »

Écartant ses fines jambes, elle laissa apparaître la dentelle de sa bouche sexuelle. Son pubis délicatement épilé prolongeait le dessin de ses lèvres. Des reflets humides apparurent sur ses fin ourlets, confirmant son état de forte excitation
« - viens, écartes moi, ouvres moi, écartèles moi, rempli moi de ton désir, enfonces moi ton sexe, viens t’engouffrer, viens remplir mon volcan supplia t elle dans un dernier râle…»

Hugo dénoua le foulard de son bassin, le fit flotter dans le vent et le plia pour en préparer un large ruban opaque. S’approchant d’Estelle il le déposa délicatement sur son visage. Le nombre de plis lui masquèrent toute perception lumineuse. Le léger et féminin parfum se conjugua avec l’odeur mâle d’Hugo. L’enivrant plus encore de ces fragrances connue et inconnue.

Sentant Hugo se présenter entre ses jambes, elle ouvrit plus encore son compas intime. Il se pencha sur son bassin et de son souffle animal sentit les effluves de son petit cratère. Elle perçu la trajectoire de la bouche d’Hugo tournoyant autour de ses dentelles intimes, remontant sur son mont, contournant ses cuisses, revenant loin près de son périnée. Elle prit ses genoux dans ses mains, basculant son bassin, rendant plus aisé l’accès à son deuxième cratère. Son mouvement s’accompagna d’une longue et douce supplique rauque et râlé.

Il saisi les deux globes dans ses mains pour en contrôler l’incidence et les mouvements, puis descendit sa bouche en étirant sa langue en pointe afin de déposer une multitude de décharges sen ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Hétéro