Ce récit a été noté : 3.9 / 4

 
( 0 = histoire nulle   4 = histoire TOP )


Ajouter à ma liste
Avec mon beau-frère à Noël

Publié par : hungrycub59 le 03/01/2021

Histoire folle ; il y a quelques jours.
Je suis dans ma belle-famille dans la Somme, quelques jours pour les fêtes de Noël. Chez la sœur de mon mec et son mari, sa mère et son frère plus les gamins. On y est quelques jours et je me fais suer pour être poli, d’autant plus que je n’ai rien en commun avec quiconque. Je passe mon temps sur mon téléphone.

Je n’ai pas baisé depuis des semaines et des semaines à cause du confinement et des vacances. Mon dernier plan c’était un plan à 3 avec Guillaume et un mec de LDD, qui m’ont rempli le cul tous les deux. Mais là, je ne me suis pas branlé depuis au moins 10 à 15 jours mais cela ne me manque pas, je suis en mode hivernage.


Le lendemain de notre première nuit, tout se passe comme prévu, les gamins braillent, ma belle-mère me saoule, mon beau-frère Antoine parle de chasse et moi je le reluque de haut en bas dans son pyjama qui lui moule bien le service trois pièces et son débardeur, sans écouter ce qu’il raconte. Il a des bras énormes, musclés et magnifiques. Ce beau blond aux cheveux courts a un léger embonpoint mais pas dessus un corps très musclé et athlétique. Il fait ma taille avec une peau claire, un visage aux traits fins mais viril. Quand il ne parle pas de son boulot ou d’animaux à dégommer il est très sympa, fêtard, toujours à mettre de l’ambiance et vraiment très tactile avec ma belle-sœur qui ne cesse de rappeler il est un grand consommateur de gros câlins.


La belle-sœur et la belle-mère sont parties en courses en ce 24 décembre et ont embarqué mon mec au passage ; moi, j’ai résisté et ai préféré rester devant Netflix pendant qu’Antoine s’occuperait des gamins.

Dès qu’ils partent, mon beau-frère vient squatter le fauteuil perpendiculaire à moi et commence à me parler de sa femme. Je n’étais pas censé être au courant, mais je savais qu’il y avait de l’eau dans le gaz entre les deux.
Il a besoin de se confier, je suppose qu’il n’a pas beaucoup d’oreilles attentives, du coup je me mets en mode écoute… J’ai drôlement bien fait.


Je vous la fais courte mais le sujet tourne autour du sale caractère de ma belle-sœur et des humiliations qu’elle lui fait subir et le fait qu’elle remette en doute sa virilité à la moindre occasion. Pourtant mon beau-frère est très très viril de par son physique, son attitude, ses hobbies et son boulot ; et puis il aime plaire aux femmes, ça se voit. Mais sa virilité semble être un sujet sensible, du coup, dès qu’elle le peut, elle appuie là où ça fait mal pour reprendre le dessus sur lui.

Dans le flot de paroles, Antoine me sort : « c’est comme la fois, où il y avait un caissier très féminin chez carrefour et que je lui ai dit que je le trouvais beau… Ben elle m’a accusé d’être homo, ou bi… Alors que je n’ai jamais rien fait avec un mec. »
Je le rassure et lui explique que c’est normal et que ça ne remet pas en cause sont hétérosexualité.


Antoine se tait quelques dizaines de secondes, puis relance :
« Ça reste entre nous, mais j’ai déjà eu des envies comme ça dans le passé. Mais là je suis avec Nath, ça n’arrive plus. »

Je lui réponds que la sexualité et l’amour peuvent parfois être dissociés et témoigne de quelques-unes de mes aventures. Il semble très surpris et m’interroge longuement. Y compris sur les pratiques sexuelles avec des réflexions du type : « Un mec a une bite, du coup, il sait comment faire plaisir à l’autre… Ce faire sucer par un mec ça doit quand même être mieux… ».
Inutile de vous dire que j’ai acquiescé ses propos. Puis il continue en se remettant le paquet en place discrètement : « Même la sodomie ça doit être incroyable à faire, mais je peux pas demander à Nath de m’offrir ses fesses, elle deviendrait folle de rage… Tu gardes ça pour toi, hein ?!? ».


Je le rassure à nouveau puis dans la conversation il me dit qu’il aimerait tester quelques pratiques sexuelles mais qu’il ne se voit pas tromper sa femme.

Antoine est toujours assis dans son fauteuil en angle avec le canapé où je me trouve. Je sentais qu’il était bien chaud et parler de sexe comme cela m’a bien réveillé également, du coup, j’ai commencé à lui raconter quelques-uns de mes plans cul.
Surtout le fait que j’ai en contact des hétéros qui viennent de temps en temps se faire sucer en mode pacha à la maison… Je lui dis que c’est très courant, surtout aux horaires de boulot, ou entre midi et deux que des mecs cherchent à se faire sucer par d’autres mecs, par gout ou par facilité. Et Antoine me sorts presque malgré lui : « ils ont de la chance… En plus, un homo, tu dois super bien sucer… ».
Je lui avoue qu’en général « les mecs sont contents, même si j’ai du mal à sucer les trop grosses queues… En plus avec la barbe qui frotte sur les couilles des mecs, ça leur plait en général… »


« C’est quoi pour toi une grosse queue ? » me questionne Antoine.
« Ben au-delà de 18cm ça commence à être difficile à rentrer en fond de gorge et au-delà de 4 cm de diamètre, difficile à pomper… surtout qu’il faut faire gaffe à ne pas toucher la queue avec les dents… »
« Oui, ben voilà, Nath a essayé de me sucer, mais elle me faisait mal avec les dents… Du coup j’ai arrêté… » me confie Antoine, avant d’ajouter : « 18 sur 4, normalement, en théorie, je passerais tout juste pour toi… ».


C’est à ce moment précis que je sens qu’il est en train de se passer quelque chose et ajoute en abaissant la voix : « si tu veux, on peut essayer… »
Antoine me regarde fixement et ne dit rien.
J’ajoute : « Si tu veux tester un jour, je crois que c’est maintenant ou jamais. En tout cas, pour moi ça sera un secret qui restera ici. Personne n’en saura jamais rien… ».

Antoine ne dit toujours rien et commence à trembler un peu et rougir. Je me mets à stresser un peu et ai peur d’une mauvaise réaction de sa part ; est ce qu’il va me foutre dehors de chez lui ou me balancer à mon mec ? Parce que sucer des inconnus ce n’est pas pareil que vouloir sucer le mari de sa sœur…

Puis Antoine me répond enfin : « les petits sont dans la salle de jeu, on peut aller dans la chambre d’ami où vous dormez ».

Ouf, une réponse, et en plus une réponse positive. Je suis surexcité à l’idée de sucer mon beau-frère sur lequel j’avais fantasmé tant de fois. Je me lève aussitôt, finit mon verre d’une traite, Antoine me devance, ferme la salle de jeu en disant aux gamins de rester bien sages et monte l’escalier à toute vitesse.
Je le rejoins.

Il est assis sur le bord du lit. Je lui dis d’enlever son pantalon et de rester les jambes au bord du lit, les pieds au sol, d’allonger le buste et de se détendre.
Antoine s’exécute et je découvre un slip rouge bien moulant avec une petite tache de mouille fraiche. Il est en Tshirt, slip et chaussettes blanches au bord du lit et je me faufile à genoux, entre ses jambes.

Je plaque mon nez sur son paquet et lui caresse les cuisses légèrement poilues. Son entrejambe sent la chaleur, une odeur sèche et virile qui m’excite au plus haut point. Sa queue grossit tout doucement et je commence à ouvrir la bouche et passer mes lèvres par-dessus le tissu. Ses pieds se décollent un peu du sol et je viens les poser sur mes cuisses ce qui a pour effet de remonter un peu plus son beau paquet vers mon visage.
Il ferme les yeux, une main sous la tête ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite


Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Bisexuel, Branle, Fellation, Quadra, Première fois, Odeurs, Marié(e)s