Rappel :
Après avoir échangé avec Fabien que j'ai contacté sur ce site car sa queue m'intéressait,je comprends bien vite qu'il a très envie que je baise sa femme qui le fait cocu avec un partenaire du club de tennis qu'elle fréquente assidûment.
Les photos qu'il m'envoie attisent mon intérêt et nous convenons que, malgré la difficulté que l'organisation présente (distance,elle ne doit pas être au courant,etc...),cela se fera un jour ou l'autre.
En effet, après qu'il m'ait envoyé une photo ainsi légendée "regarde comment cette pute s'habille pour aller faire les courses !",le hasard fait s'aligner les planètes.
Je suis dans le secteur de l'Intermarché où elle part faire ses courses.
Après l'avoir repérée, j'attends sagement le moment le plus banal certes mais le plus propice pour l'aborder : les fruits et légumes.

Feignant d'hésiter sur le choix d'un concombre,elle m'explique qu'elle les choisit plus long et plus fermee que celui que j'ai choisi.
La porte est indubitablement ouverte : je lui montre ma photo de profil,en plein milieu du magasin,ce qui ne semble nullement la perturber.

"Qu'est ce qui me dit que c'est bien vous ?
- libre à vous de faire le constat par vous même.
-Et vous comptez exhiber l'objet en plein milieu du rayon concombre ?
-savez vous que personne dans ce magasin ne contrôle les entrées et sorties des cabines d'essayage ?
-ce n'est pas l'endroit le plus discret du monde...
- vous vous defilez ?
-absolument pas mais lorsque je déguste des mets appétissants j'ai tendance à exprimer mon plaisir assez bruyamment.
-eh bien commençons par l'apéritif et nous verrons ensuite si vous voulez passez au menu dans un endroit plus propice à accueillir vos vocalises..."
Perversement j'ajoute car j'ai vite compris qu'elle était une femme de caractère :"à moins que vous n'ayez les yeux plus gros que le ventre".

"n'oubliez pas le concombre...je pourrais ne pas me contenter d'un apéritif trop léger !"
Elle part en direction des cabines d'essayage et je ne peux m'empêcher d'admirer son cul bien fait et ses jambes musclées.

Elle m'attend, négligemment assise sur la tablette prévue à cette effet dans une cabine au fond.
Mon sexe n'a pas encore atteint sa taille optimale,loin s'en faut mais Margot (puisque tel est son véritable prénom) se charge de faire évoluer les choses... sans même quitter mon pantalon elle pose ses mains sur mon cul, plaquant ainsi mon bassin contre son visage et commence à jauger de ses lèvres,de ses dents,la taille croissante de ma queue.

Elle sait parfaitement y faire et je suis certain que son tennisman cocufieur de mari ne doit pas souvent remporter le moindre set.

Elle mordille,sur toute la longueur de ma hampe,le pantalon déformé par la grosseur qui se dessine, jusqu'au moment où elle ne s'attarde plus que sur le bout de ma queue.
Sans me debraguetter,elle continue ce manège au point que ma queue devient excessivement dure, à la limite du douloureux.

"Maintenant on va pouvoir prendre l'apéritif cher monsieur... monsieur comment d'ailleurs ?

-Tony...appelons nous par nos prénoms au stade où nous en sommes."

Après avoir ouvert mon pantalon,elle empoigne la base de ma queue d'une main et prend mes couilles entre le pouce et la paume de sa main de l'autre .
Elle n''y va pas par quatre chemins : elle gobe le gland, s'enfonce une première fois jusqu'à mes couilles et la bouche pleine, essaie d'articuler " en-hanée,oi c'est A-ho" qu'elle termine en remontant les lèvres le long de ma queue jusqu'à s'en extirper...une longue reprise d'air conclue par un bref soupir de plaisir m'indique que nous allons bien nous entendre.
"Enchantée,moi c'est Margot" reprend elle.
Je m'abstiens de lui dire que les indications fournies par son mari ont largement contribué à la compréhension de sa première tentative de présentation.
"Enchanté.. savez-vous que les dames qui sont polies ne parlent pas la bouche pleine ?
-je n'ai pas l'intention de bavarder..."

Elle replonge alors ses lèvres sur mon gland,le tête l'aspire tout en malaxant agréablement mes couilles.
De temps à autre,elle m'envoie des regards de provocation du style "je te fais exploser quand je veux !" et,au bout de quelques minutes,il semble qu'elle le veuille.

Elle accélère la cadence,se met à me branler sur toute la longueur du manche, pompe,aspire, gémit doucement parfois...sa position m'inspire : je soulève délicatement sa jupe de skaï noire,ecarte la dentelle de son slip noir également et constate qu'elle mouille abondamment.

Je lèche deux ou trois fois mes doigts endui ...

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