Après notre première partie de baise intense, ce fut compliqué de se voir. Elle devait s'occuper de sa fille et elle avait des problèmes au boulot avec son nouveau chef. Elle n'était plus dans le mood dirait-on.
Un de ses clients lui proposa de l'embaucher. Elle partit en formation sur Paris un long moment, et on perdit le fil. On restait en contact mais assez distant. Puis elle eut un autre problème dans son nouveau boulot et elle péta les plombs. Elle ne répondait plus à mes appels un silence radio complet. Je laissais tomber.
Deux ans plus tard, elle me fit un sms pour prendre de mes nouvelles. J'avoue que je fus tenté de ne pas y répondre. Elle ne donnait plus signe de vie depuis si longtemps.
J'y répondis le lendemain, un message banal ça va et toi ? Que deviens-tu ?
Elle me répondit de suite. Elle allait mieux, était retourné dans son ancien service (le nouveau chef était parti...). Elle pensait souvent à moi.
-En bien j'espère ?
-Oui en bien.
-Bien comment ?
- en Très bien même.
- je suis rassuré, je pensais ne pas avoir été à la hauteur.
- non c'était très bien.
- j'avais beaucoup aimé notre soirée.
- oui moi aussi. Tu peux toujours te libérer en soirée ?
- plus compliqué qu'avant j'ai changé de poste plus facile en journée.
- OK. Je te tiens au courant
Cet échange de sms m'avait mis le feu aux joues. J'avais un goût d'inachevé avec elle, plein de petits trucs que l'on n'avait pas fait et qui me trottait dans la tête.
Le lendemain matin, je roule près de chez moi et elle me texte.
- coucou, que dirais tu si une lionne venait t'enlever ? (la lionne, son signe astrologique).
- je dirais que je me laisserais faire.
Elle m'appelle. Elle prend sa voix suave et charmeuse qui me fait de l'effet.
- coucou tu pourrais venir chez moi aujourd'hui ?
- j'arrive.
- pas ce matin, j'ai un truc à terminer. Pour midi ?
- OK. J'apporte une pizza ?
- oui si tu veux.
J'ai le cœur qui bat fort. Je vais la démonter !
12h30 je sonne chez elle avec une pizza bien chaude. J'espère qu'elle l'est aussi. Elle m'ouvre et je monte au premier. La porte est ouverte j'aperçois son œil gauche derrière, elle l'ouvre sans se montrer et ferme après mon passage. Je me retourne pour l'embrasser et wow quel accueil ! Elle est dans un ensemble body en dentelle blanc sexy qui découvre la moitié de ses seins énormes, pieds nus et elle sourit de toutes ses dents. Moi aussi.
Je l'embrasse à pleine bouche elle se colle contre moi j'ai déjà la gaule. Je la félicite pour son accueil, et elle roucoule. Elle me prend par la main et m'entraîne vers son salon où elle a dressé la table.
- j'ai ouvert une bouteille de vin.
- bonne idée, la pizza est chaude. Je te sers un verre ?
- oui.
On trinque. Elle me fixe et sourit en portant son verre à ses lèvres, elle a croisé ses jambes et la lanière du body entre dans sa moule. Je lui sers une part de pizza. Je dois dire que manger une pizza avec une femme à moitié nue est un souvenir délicieux. On parle de tout et de rien, de notre vie depuis deux ans que l'on ne s'est plus vus. Elle se lève et va chercher nos desserts sur la pointe des pieds. Elle a un galbe de mollets fabuleux.
Elle revient avec une salade de fruits que nous dégustons tranquillement.
-café ?
- bien entendu !
Même démarche pour aller à la cuisine. Elle revient avec deux tasses, les pose. Je prends la mienne, elle se relève se dirige vers moi et m'enfourche en passant ses bras derrière ma tête.
- dangereux de faire ça avec un café chaud lui dis-je
- tu n'aimes pas le danger ?
- pas celui-là je préfère celui-ci, et de ma main libre je pétris son sein gauche. Elle se penche et m'embrasse. Je cherche à tâtons la table et repose la tasse. De ma main devenue libre je caresse ses fesses. On s'embrasse et se caresse pendant cinq minutes.
- dis donc je sens quelque chose de dur !
- oui elle a besoin d'air.
- et bien allons la libérer.
Elle se lève, prend ma main et m'entraîne vers un escalier qui dessert une mezzanine. Je la suis, mes yeux rivés sur son cul flamboyant dans ce body.
On arrive dans sa suite parentale, il y fait chaud déjà elle ouvre une fenêtre de toit. Elle se tourne vers moi, me sourit, s'agenouille et descend ma braguette. Ma bite tendue jaillit, elle la gobe.
- Chantal, lors de notre nuit de baise, tu m'avais demandé ce que j'aimais. Et toi, qu'aimes tu ?
- tout, me répond elle en sortant ma bite de sa bouche. Et elle la reprend. Elle me suce comme si sa vie en dépendait. Elle va trop vite, j'aime pas comme ça je le lui dis.
- ah oui j'avais oublié.
Et elle reprend lentement, me caressant les couilles les effleurant. J'apprécie particulièrement ça elle le sent et s'applique. El ...

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