Alors que je suis dans le métro, rentrant de mon travail à la maison, je reçois un appel de François. Il me demande de passer chez le photographe près de chez nous rue de Passy pour y récupérer des photos qu’il a mises à imprimer pour son travail, des photos du musée de Bordeaux faites lors de son dernier audit là-bas. Il me précise de n’y passer que quelques instants avant la fermeture du studio, vers 18h50, car on lui a précisé que le travail ne serait fait qu’en fin de journée compte tenu de leur planning chargé. J’ai donc le temps de rentrer à la maison, préparer le dîner avant d’y aller.
Il est à peine 18h50 lorsque je me présente au studio et il n’y a aucun client. Je m’adresse à l’homme debout derrière le comptoir.
— Bonsoir, mon mari m’a demandé de passer récupérer des tirages photo pour lui. C’est au nom de François de Saint Jouy.
Il regarde dans ses tiroirs et me répond :
— Elles ne sont pas là. Je vais voir si mon collègue est en train de les faire, avant de se rendre dans une sorte de studio situé derrière un petit rideau.
Il revient quelques instants plus tard :
— Mon collègue termine le travail en cours et va s’occuper de celles de votre mari. Pourriez-vous venir pour vérifier qu’il s’agit bien de cela.
Je le suis derrière le rideau et me voilà à côté de son jeune collègue installé devant un très grand écran d’ordinateur branché sur trois ou quatre imprimantes.
Il me dit :
— Voici la clé USB laissée par votre mari, nous allons voir s’il y a plusieurs fichiers.
Il introduit la clé sur l’ordinateur, effectue quelques clics et sélectionne un fichier intitulé « A imprimer ». Une fois qu’il a cliqué sur le fichier, je suis rouge de honte lorsqu’une dizaine de photos s’affichent en grand à l’écran ; ce sont des photos prises lors de notre dernière sortie au bois de Boulogne. Heureusement que je portais un loup sur le visage car on me voit sur l’écran faisant des fellations à plusieurs hommes tandis qu’un autre me tient par les hanches et me baise.
— Ce sont bien les photos de votre mari ? me demande-t-il
— Oui, mais je pensais qu’il s’agissait de photos pour son travail !
Les deux hommes me regardent en souriant et le plus vieux ajoute :
— Ce sont de superbes photos ! Si c’est vous derrière le masque, vous êtes très photogénique.
J’en veux à François de m’avoir tendu ce piège dans lequel j’ai foncé tête baissée, même si je reconnais que le coup était bien monté. Mais je crois que je vais lui jouer un tour pour le prendre à son propre jeu. M’adressant aux deux hommes, je leur dis :
— Pourriez-vous m’aider à faire à mon tour une petite surprise à mon mari ?
Le plus âgé, qui semble être le patron, me répond :
— Bien entendu Madame, ce sera un plaisir.
Puis s’adressant à son jeune collègue :
— Jean, va fermer le magasin, il est déjà 19h00 et nous pourrons ainsi répondre aux attentes de Madame de Saint Jouy en toute tranquillité.
Une fois Jean revenu, le patron qui s’est présenté comme étant Henry me demande ce que je souhaite.
Je réfléchis deux secondes puis lui réponds :
— Vous savez, j’aimerais que vous fassiez deux ou trois photos de moi en noir et blanc, un peu osées, pour que cela ait un petit air rétro.
Henry réfléchit à son tour puis me dit :
— Je vous propose que l’on fasse quelques clichés du style des premières photos érotiques du début du siècle, photos qui circulaient sous le manteau car les mœurs étaient beaucoup moins libres qu’aujourd’hui. Si cela vous convient, suivez-nous dans la pièce voisine où nous avons plutôt l’habitude de faire des photos de communion et de mariage.
Nous voilà maintenant dans une petite pièce aux murs recouverts de tentures grenat et équipée de nombreux projecteurs. Henry rapproche un fauteuil et l’installe au milieu de la pièce. Pendant ce temps, Jean place à côté quelques objets anciens pour parfaire le décor. Cela fait très boudoir cosy dans un immeuble haussmannien du début des années folles.
Jean s’est installé derrière son appareil photo et Henry ajuste quelques projecteurs tout en me disant :
— Installez-vous dans le fauteuil, détendez-vous bien et commencez par prendre quelques poses sans que nous prenions de photos. Cela va vous mettre en confiance.
Une fois assise, je commence à défaire les boutons du haut de ma robe et l’entrouvre pour que l’on voie mon soutien-gorge. Une fois que cela est fait, tandis que je me suce l’index de la main gauche, ma main droite descend sur mes genoux et remonte doucement entre mes jambes. Par réflexe ou par timidité, je ferme les yeux et continue mon petit jeu comme si j’étais une entraîneuse dans un bar de Pigalle.
Henry m’encourage.
— C’est parfait Madame, continuez ainsi. Jean va commencer à prendre quelques clichés de vous.
Le corps bien alangui dans mon fauteuil, je continue mon petit numéro. Tous les boutons de ma robe sont défaits et les deux photographes peuvent à loisir admirer mon soutien-gorge qui ne cache rien de la pointe de mes seins, mon string dont le tissu est bien collé à la fente de mon sexe et mes bas noirs fixés à un large porte-jarretelles. Les déclenchements successifs de l’appareil photo de Jean m’excitent au plus haut point et je décide de retirer entièrement ma robe qui tombe à mes pieds. Posant mes mains en appui sur le dossier du fauteuil, je tourne le dos au photographe et j’ondule de la croupe devant l’objectif. Nouveaux déclics de l’appareil !
Puis je m’assois de nouveau, les jambes grandes écartées dans une pose très impudique et très provocante. Je fais signe à Henry qui s’approche de moi, ouvre sa braguette et sort son sexe déjà bien bandé. Nouveaux déclics pendant que je débute ma fellation. Puis c’est Jean, certainement trop excité derrière son appareil, qui se rapproche et me présente sa queue. Je m’applique à sucer ces deux belles queues. Nouveaux déclics, Jean avoue avoir mis en déclenchement automatique pour en profiter lui aussi. Les sentant proches de la jouissance, je me retourne et m’appuie bien sur le dossier du fauteuil. Ma croupe est tendue vers eux et ils se branlent comme des forcenés et me caressant les fesses de leur gland. Puis c’est l’explosion et leur foutre se répand partout sur mon derrière. Quel bonheur de savoir ces deux mâles heureux et vider de leurs tensions.
Il est 19h30 lorsque je quitte leur boutique et les remercie de ne pas m’avoir fait payer les photos prises par François et les quelques autres prises par eux. Lorsque j’arrive à la maison, François est déjà là et me dit qu’il s’inquiétait de mon retard. Je lui réponds que je suis passé récupérer ses photos du travail, que les tirages n’étaient pas encore faits et que j’ai dû patienter le temps qu’ils les impriment. U ...
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