Une fois le repas terminé, et que nos parents sont repartis pour leur travail, la vaiselle fut rapidement faite par Jeff, et je suis sortie voir des amis, tandis que lui, restait à la maison afin de se reposer un peu et vaquer à ses occupations. Lorsque je rentrais dans la demeure familliale, un petit peu avant dix huit heures, je découvris mon frère qui dormait sur son lit comme un bienheureux. Je ne pouvais pas m'empêcher de le regarder avec amour et tendresse. Je pensais tout à coup à quelque chose d'excitant. Si il était comme tous les mecs qui se respectent, il devait forcémenr aimer se faire reveiller avec douceur, et quel est le meilleur réveil qu'une femme puisse offrir à l'homme qu'elle aime ? Une bonne pipe, bien sûr ! Ni une, ni deux, je me faufillais dans la chambre en fermant doucement la porte afin de ne pas gâcher ma surprise. Je m'asseyait très doucement sur le bord du lit, défis sa braguette avec douceur, sortis son membre appétissant de sa prison, et me penchais pour lui prodiguer la meilleure des caresses buccales.

Je massais délicatement son membre mou sur toute sa longueur avec ma langue, décalotais son gland, l'embrassais, l'aimais de tout mon coeur, et je profitais de son faible état d'excitation pour le prendre entièrement dans ma bouche. Mes caresses commencèrent à faire leur petit effet, parce que je le sentais prendre du volume et s'allonger, ce qui m'invitait à continuer sur ma lancée. Je me repaissais de sa queue, savourais chaque parcelle de sa peau, et petit à petit, elle se mit au garde à vous pour ma plus grande joie. Je l'entendais grogner, gémir, il se réveillait enfin, j'éspèrait sincèrement pouvoir finir ce que j'avais commencé avant que nos parents ne rentrent.

-Hmmm... Sophie, mon ange, c'est toi ? Fit il, sûrement encore dans un demi sommeil.
-Raté, mon chéri, deuxième essai, mais si jamais tu ne trouves pas, je te mords. Lui dis je pour plaisanter, sachant pertinement que je ne le ferais jamais.
-Ah... C'est toi, petite soeur chérie ?
-Gagné ! Dis je en lui suçant le gland.
-Ouah, quel réveil merveilleux, j'adore ça, continue. Me dit il en s'étirant pour ensuite poser sa main sur ma nuque.
-Et ça, tu aimes ? Lui demandais je en le regardant dans les yeux tout en faisant claquer ma langue sur l'endroit hyper sensible du gland.
-Oh, oui, j'aime... Répondait il en fermant les yeux. Tu me fais les meilleures pipes du monde, t'es une vraie reine.
-Et moi, tu m'aimes ? Lui demandais je sur le ton de la complicité.
-Bien sûr, que je t'aime, ma puce.

Je commençais à le pomper avec une douceur infinie, j'étais subitement tiraillée entre le fait qu'il fallait finir rapidement et le faire durer un maximum. Cette situation m'excitait tellement que je commençais à passer ma main sous mon jean pour me donner du plaisir en même temps que je lui en donnais. Mais tout à coup, on entendait la porte de l'entrée se fermer, nous nous sommes mis à sursauter de concert. Je crois que le destin avait choisi qu'on s'arrête, purement et simplement.

-C'est moi, je suis rentrée, y a quelqu'un ? Demanda ma mère à haute voix.
-Oui, maman, j'arrive. Dis je en sortant ma main de mon jean, et en remettant le plus rapidement possible la queue bandée de Jeff dans son pantalon.

J'entendais ma mère déposer ses affaires de travail sur le canapé du salon, comme elle à l'habitude de le faire, à chaque fois qu'elle rentre. Je déposais un rapide baiser silencieux sur les lèvres de mon frère, décue qu'elle soit rentrée aussi tôt, et j'allais accueillr notre mère, j'étais un peu haletante et rouge écarlate, Jeff sortit de sa chambre quelques petites secondes plus tard et me rejoignait.

-Cécile, ça va pas ? T'es toute rouge. T'es malade ? Remarqua ma mère.
-T'inquiète pas, maman, tu sais que Cécile déteste qu'on lui chatouille les pieds. Ben j'ai fait semblant de dormir, et quand elle s'est approchée de moi, pour me couvrir, je lui ai bondi dessus, renversé sur le lit, et j'ai pu la torturer pendant quelques secondes, jusqu'à ce que t'arrives. Répondit Jeff. Pas vrai ? Me demanda t il.
-Euh... Oui, oui, ce petit con m'a piègée, balbutitais je. Mais la prochaine fois, je me montrerais plus maline que lui.
-Rho, mais vous avez pourtant passé l'âge pour ces enfantillages. Déplora maman. Un de ces jours, vous allez vous blesser, vous verrez.

Ma mère partit à la cuisine pour se servir un verre d'eau, et je profitais de cette occasion pour pousser un discrêt soupir de soulagement et remercier mon frère du regard pour m'avoir sortie d'une situation que je qualifierais d'épineuse. Visiblement, notre mensonge est passé. Environ vingt minutes plus tard, mon père rentra à son tour de son travail, et nous passions tous un bon début de soirée. Papa et moi étions sur le canapé au salon à zapper, et Jeff assistait maman pour préparer le repas. Il était évident que mon frère était resté sur sa faim, et j'en étais la première désolée. J'entendais une sonnerie étouffée et sentais en même temps mon portable vibrer dans la poche de mon jean. C'était pour m'indiquer que j'avais reçu un SMS. Qui ça pouvait être ? Je consultais le message, voyant qu'il venait de mon frère adoré.

-"C'est un peu dommage qu'on aie été interrompus, n'est ce pas ? Mais bon, disons nous que c'est que partie remise."
-"Je suis vraiment désolée, Jeff, mais j'avais pas prévu que maman allait rentrer plus tôt de son taf, sinon tu penses bien que je n'aurais jamais commencé une pipe que je n'aurais pas pu finir."
-"Pas grave, j'ai adoré quand même, mais va falloir te rattraper, ma grande, sinon, tu risques d'être punie !"
-"Encore une fois, je suis navrée. Pour me faire pardonner, t'as une idée ou un fantasme particulier que tu aimerais que j'assouvisse ?"
-"Maintenant que t'en parles, ouais, je crois avoir une petite idée de ce que tu pourrais faire."
-"Je t'écoute."
"-T'as pris ton PC portable avec toi?"
-"Oui, pourquoi ? Qu'est ce que tu veux ?"
-"Est ce qu'il a une cam et un certain logiciel qui permet de p ...

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