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En coquine sur une aire d'autoroute

Publié par : elodie_pidou le 18/10/2020

Cette nuit-là, je suis sur la route. Je rentre d’un déplacement à l’extérieur…
Pas grande monde sur l’autoroute. C’est calme. Mon esprit peut se laisser aller à vagabonder…
J’aime bien rouler la nuit. L’atmosphère est propice à l’imagination…

Comme souvent dans cette situation, je ne tarde pas à me remémorer mes aventures nocturnes, mes exhibitions dans la nature… les quelques « rencontres » anonymes… Je me revois, coquine et provocante. Je repense à ces verges dressées… chacune… Et même si jusqu’à maintenant, je n’ai jamais dépassé le stade de la fellation et de l’éjaculation faciale… hummmmmmmmm… c’est toujours très excitant d’y repenser…

Inévitablement, la tentation commence à me susurrer des envies…
Et dans ces cas-là, il en faut peu pour me motiver…

Il est à savoir que j’emporte systématiquement mon « petit nécessaire » quand je pars en déplacement comme çà. Une sélection du moment, deux/trois tenues sexy et autres accessoires de luxure : gode, plug, lubrifiant, préservatifs… Au fond de ma valise, ou dans un sac de sport, je ne pars pour ainsi dire jamais sans emporter ces petites choses, en cas d’envies inattendues… mais très probables.

Ayant déjà parcouru cet itinéraire, une petit aire de repos me revient à l’esprit. Dans une cinquantaine de kilomètres. Elle est d’ailleurs répertoriée sur un site Internet comme lieu de « fréquentation »… j’y suis déjà allé une fois, de passage en journée. Mais sans succès. Je n’y avais croisé qu’un couple en pause-déjeuner, et une berline.

Pourtant, le petit tour des lieux m’avait séduite.
Une route unique qui traverse l’aire de part en part. A sa gauche : un parking arboré, et à sa droite : une bâtisse rectangulaire… A l’intérieur de cette dernière, un imposant ilot de cabines entouré d’un large couloir qui en fait tout le tour. Les toilettes pour femmes sur la gauche, côté parking. Et les toilettes pour hommes sur la droite, avec une grande ouverture donnant sur la pelouse et les coins aménagés pour le pique-nique…
Dans les aires de repos, il y a toujours une cabine plus spacieuse que les autres. Dans mon souvenir, celle-ci était lumineuse, et carrelée sur tous les murs (C’est un détail, mais le carrelage offre une meilleure adhérence aux jouets à ventouses)… Et surtout, je revoyais une grande glace au dessus du lavabo… Et j’aime me regarder faire la coquine… Je suis une mateuse moi aussi…

Pour résumer, un lieu parfaitement adapté à mes fantasmes, et « renommé » pour être fréquenté à mon goût…Il n’en faut pas plus pour me convaincre…
En parcourant les derniers kilomètres, mon imagination se mêle à mon envie et tourne déjà à plein régime…



Prochaine sortie à 1000m… 300m… je décélère en m’engageant sur la bretelle de sortie… l’entrée de l’aire de repos…

L’allée de circulation est éclairée. La bâtisse également. Et le parking est vide. Aucune voiture.
Peu de chance de croiser un promeneur à pied en cet endroit.
Je dois m’y résoudre : il est tard et personne ne « fréquente » ce soir…

Mais le lieu m’attire. Comme si une volonté de le rajouter à mon « tableau de chasse » vient se mêler à mon excitation.
J’ai l’opportunité de m’exhiber ici, dans ce nouvel endroit… C’est très tentant !
Qui plus est, j’adore les aires de repos !! Je trouve ces lieux très inspirants, propices à bien des fantasmes…

Résolue, je me gare sur le côté de l’allée, le long du trottoir. A quelques mètres du lampadaire qui éclaire l’entrée du bâtiment. Dans l’ombre, juste à la lisière de son halo blanc.
J’éteins le moteur et sors de la voiture.

Je me sens plutôt confiante.
Peu de chances de se faire surprendre ici. Une seule entrée qui forme un grand virage, suffisamment long pour me laisser un temps de repli si besoin. Et, dans ce silence, j’entendrai facilement une voiture arriver au loin…

J’ouvre le coffre, prend mon sac à malices, et me dirige vers la bâtisse.

Conforme à mon souvenir : le large couloir, éclairé aux néons cette fois. Je prends à droite. Les cabines pour hommes. La fameuse cabine…Je referme la porte. La pièce est spacieuse, carrelée… et le miroir, toujours là…

Face à mon reflet, je pose mon sac sur le lavabo.
Je me regarde me déshabiller, plier mes affaires avec soin…
Je suis nu. Complètement nu… Ça me plait.

Maintenant, ma tenue…
Hum… voyons…
En lingerie, j’opte pour la guêpière noire à jarretelles… Elle épouse mes hanches à merveille, et son échancrure dans le bas du dos fait ressortir mes fesses sans aucune pudeur… c’est très plaisant…
Comme de coutume, je prend maintenant mes bas, les enfiles délicatement, remontant jusqu’en haut de mes cuisses. Bien sûr, ce sont des bas coutures, tellement plus sexy que les autres à mon goût…
Je me regarde dans la glace. En guêpière et bas coutures… hummmmmmmm… sexy !!
ça commence à prendre forme…

Ensuite…
La petite robe blanche… ? Elle est courte, simple, en satin… Mais surtout, elle est blanche… et donc un brin transparente… On fera plus que deviner la guêpière en-dessous… Et elle enrobe parfaitement mon petit cul…

Un escarpin, puis l’autre… Me voici légèrement rehaussée, cambrée juste ce qu’il faut…
Ne restent plus que les longs cheveux bruns et fins qui dissimulent délicatement mon visage… et mes lunettes de soleil. Mes grandes lunettes de soleil qui couvrent bien plus que mes yeux. Elles remplacent mon masque ce soir…

Mon regard s’attarde sur le miroir…
J’ai en face de moi une femme… grande et mince… sexy, dans sa robe légère épousant une cambrure provocante, et qui s’arrête juste sous les fesses…
Je fais quelques pas, coquette… balance mon postérieur pour sentir la caresse du tissu… C’est délicieux…

En toute prétention, je m’admire encore un peu, déambulant dans la pièce… prenant quelques poses favorites…
Je m’excite toute seule, usant de mon imagination. Quel dommage de ne pouvoir partager cette vision avec un beau voyeur…
Hummmmmmmm… m’exhiber devant lui… jouer la provocante, l’impudique… Mes mains me frôlent, me caressent… des vagues de plaisir commencent à monter… J’ondule, je me déhanche… hummmmmmm…
C’est agréable… Tout à l’heure, j’irai prendre l’air sur le parking. J’irai pour une petite promenade…

En attendant, je m’approche de mon sac, plonge une main et ressors le gode… le gros gode noir…

Je le fixe sur le miroir, à l’aide de la ventouse…
J’imagine mon voyeur imaginaire derrière moi… matant à la fois mon petit cul, et la fellation gourmande que je m’apprête à accomplir…

Je saisis la verge d’une main, et commence à la lécher… Ma langue passe partout… lape… mouille… hummmmmmm… c’est gros… c’est dur… Je lèche le gland, l’embrasse… le gobe…
Tandis que d’une main je me caresse le cul, je prends maintenant le sexe en bouche… sa chair synthétique glisse entre mes lèvres…
J’ai cette savoureuse sensation de sucer une grosse bite… qui s’enfonce dans ma gorge… J’avance et recule sur cette hampe virile… hummmmmmm… je l’avale, la ressors… la lèche, des couilles jusqu’au gland… et l’engloutis à nouveau…
Je suis plongée dans mon personnage : une petite coquine dévergondée qui suce une bite dans une toilette publique, sur une aire de repos… C’est un rôle qui me plait…

Plongée dans mon fantasme, je ne l’entends pas tout de suite.
Au loin, le murmure d’un moteur qui se rapproche. Je prête maintenant l’oreille…
Le véhicule semble ralentir. Il arriverait donc sur l’aire de repos…
Et pourtant, je ne suis pas effrayée. Je suis dans une pièce fermée à clé, je ne risque rien.
Qui plus est, mon envie est toujours là. Que dire de mon excitation qui vient de grimper d’un cran à l’idée, sait-on jamais, que le visiteur aurait peut être les mêmes intentions que moi…

Je déplace mon gode sur le mur, plus bas, à hauteur de mon petit cul. Passons à la suite…
Un peu de lubrifiant sur les doigts, la robe relevée, j’écarte les jambes et commence à m’enduire la fente… le petit trou… copieusement… cette fraîcheur lubrique, humide, tout le long de ma raie, débordant sur mes fesses… je passe et repasse mes doigts… hummmmmmm… ça glisse…..
Encore un peu de gel, pour le chibre maintenant… pressant ma paume contre la grosse tige bien fixée sur le mur, l’emprisonnant entre mes doigts… je l’enduis précautionneusement du gland jusqu’aux couilles… hummmmmmmm… bien lubrifié… bien dur…

Dehors, le moteur s’est arrêté. Une portière s’ouvre et se claque… Le silence… puis le bruit de pas, d’abord ténu, qui se rapproche, jusqu’à pénétrer dans le couloir. La démarche parait lente. Tranquillement, la personne semble faire le tour, sans s’arrêter particulièrement quelque part…
Je me dis qu’il a dû voir ma voiture, et qu’il s’attend à me trouver ici. Ca peut être bon signe.

Je fais silence, je ne bouge plus… simplement le frottement de mon cul sur le gros jouet…
Hummmmmmmm… tandis qu’un inconnu déambule dans le couloir, le gode glisse le long de ma raie… lentement… de tout son long… C’est très excitant…

Je commence à me faire plein de scénarios dans la tête…
Je suis d’humeur tres coquine…

Il se rapproche. J’ai envie de jouer…
Il parvient maintenant du côté des hommes… Ecartant bien mes fesses de mes deux mains, j’ondule sensuellement jusqu’à sentir le gros gland à l’orée du plaisir… L’inconnu est proche, je distingue sa respiration. Quand son ombre apparait sous la porte, je recule lentement le bassin et… hummmmmmmm… le jouet force délicieusement son entrée. Mon petit trou s’ouvre à son passage, embrassant avec douleur ses larges dimensions… Oooooooooohhhh… c’est ...

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