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innondation

Publié par : 81ours le 19/08/2022

Punaise je n'en peux plus. Cette chaleur. En prime la clim de la bagnole en panne. Il me tarde d'arriver à la maison. 3Nfin j'aperçois le portail. Chouette tu es déjà là, ta voiture garée à l'ombre du porche. Je suis ravi de te retrouver. On va pour démarrer le week end par un petit apero au coin de la piscine ce sera un bon début rafraîchissant. J'ai été bien inspiré de me mettre ton petit vin blanc préféré au frais.

Allez j'entre doucement pour ne pas te surprendre. Je te vois dans la cuisine occupée à faire la vaisselle. Tu as mis tes écouteurs et ru te déhanches au gré de la musique. J'admire tes courbes ondulées sous ton débardeur et ton petit short éponge. Tu t'es mise à l'aise. Moi qui pensais trouver la fraicheur en rentrant je viens de prend4e quelques degrés de plus. Tu me donnes très envie d'autant qu'avec la vie moderne il y a quelques temps que l'on a juste l'impression de se croiser dans l'urgence.

Ma queue s'est mise au garde à vous. J'ai très envie de toi. Tu as fini la vaisselle tu es en train d'essuyer l'évier alors je t'attrape sous les bras plaque mes mains sur tes seins et t'embrasse dans le cou. Tu sursautes car tu ne m'as pas entendu arriver. Je te vois regarder dans la crédence et à ma vue tu me souris. Ma queue a trouvé sa place entre tes fesses rebondies. Tu es si fier de l'effet que tu me fais. Tu retires tes écouteurs et penche ta tête pour m'offrir tes lèvres. Je t'embrasse avec tendresse et gourmandise en massant tes seins qui commencent à s'échapper de ton débardeur. Tu soupires d'aise.

« Ça a ete ta journee ma Lola ?
Oh oui, mon chef m'a gonflé alors j'ai posé mon après midi et j'ai pris de l'avance j ai nettoyé et range la maison.
Oh ma belle, fallait te reposer. Je t'avais dit que je le ferai ce week end.
C'est fait alors pour une fois tu vas te rendre utile et m'amener en week end à la mer ou à la montagne qu'on aille au frais. »

Je pince doucement ton téton. Tu surjoues les chos3s alors que je le sens durcir entre mes doigts.
«  Aïe !!!Tu m'as fait mal euuuhhhh !
Tu l'as bien mérité vilaine fille ! Depuis quand je ne fais rien a la maison hein ! »

Tu laisses éclater ton rire cristallin. Je ris avec toi et te retourne pour t'embrasser goulûment. Je me penche à ton oreille et te sussure :
«  Tu as bien travaillé. C'est l'heure de la paye.
hummm », soupires- tu d'aise..

J'ai glissé mes mains sur ton joli petit cul pour te décoller du sol. Dans l'élan j'en ai profité pour baisser ton short. Tu t'agrippes à mon cou et enroulé tes jambes à ma taille telle une liane. Je dépose ton cul sur le rebord du plan de travail et te regarde tel un fauve devant sa proie. Tu connais ce regard par terre et commence à te mordiller les lèvres de désir. Mes lèvres glissent le long de ton cou... je te mordille tel un vampire. Mon souffle chaud au creux de to oreille ré fait frissonner. Je te sussurre :

«  Je vais te bouffer comme jamais. Lache toi, je veux ta fontaine... »

L'excitation provoquée par ses simples mots t'arrachent un gémissement. Tu te pourlèches les lèvres d'appétit. J'en profite pour attraper ta langue entre mes dents, l'aspire et t'embrasser avec fougue et sauvagerie. Nos langues dansent un ballet endiablé. Nos salives se mêlent et glisse aux comissures de tes lèvres. Je me recule et récupère ce doux nectar en te léchant. Ma langue continue sa course vers le bas.

Elle a été devancé par mes mains qui malaxe déjà tes gros seins rebondis avec fermeté. T'es tétons roulent entre mes doigts je les étire délicatement pour venir y planter de grands coups de langue. Je les aspire pour les faire rouler entre mes lèvres. Je les mordille, je les tète. Tu gémis de plus en plus fort alors celui qui n est pas maltraité entre mes lèvres l'est entre mes doigts. Je le fais rouler, le pince et l'étire délicatement. A ta respiration et tes gémissements le traitement semble te ravir. Afin de m'en assurer je viens caresser l'intérieur de tes cuisses ce qui te fait toujours frissonner surtout quand la paume de ma main eflleure tes lèvres ou appuie sur ton clitoris déjà gorgé d'envie.

Ta conque commence à luire alors je l'amuse à descendre de ma langue jusqu'à ton nombril... Puis jusqu'à ton pubis et je remonte sur tes tetons. Mon petit manège te rend dingue alors tu t'es mise en équilibre précaire sur un seul bras pour te retenir afin d'appuyer sur ma tête et de me diriger vers ta fourche grande ouverte. Ton envie est palpable. Les effluves de stupre qui s'échappent de ton sexe m'en ivre. Tu tends de plus en plus ton pubis vers moi quand tu réussis à passer tes cuisses sur mes épaules. Je suis foutu. Ta prise est assurée. Tu sers de plus en plus pour amener ma bouche à la destination que tu veux lui donner. J'ai beau pince tes tétons ton envie est trop forte tu ne relâches pas la pression. Tu en deviens vulgaire :

«  Lèches moi putain j'en peux plus !
Vos désirs sont des ordres ma Reine... »

Te réponds-je en appuyant sur ton clito qui roule sous mon doigt t'arra hant un délicieux feulement. Mon souffle se concentré sur ton bouton qui s'est échappé de son capuchon pendant que ma langue tourne autour en l'effleurant sans jamais le toucher franchement.

Ta main se fait plus pressante sur mon crâne. Ma langue plonge évitant to ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Hétéro, Branle