Mes doigts brillants descendent au paradis, ton entrejambe, et je vois se crisper légèrement ton visage quand je touche ta vulve offerte par la fente de dentelles, si diabolique, sophistiquée et obscène.
Tu ouvres instinctivement un peu plus tes jambes, j'appuie un peu mes doigts, et je trouve entre les lèvres l'humidité de ton impatience : en te préparant, en venant ici, avec ton soutien-gorge et ta culotte fendus sous ta robe décolletée de pin-up des années 50, tu te préparais déjà à t'offrir, à mouiller sous ma main.
Ta tête est un peu penchée, les yeux bandés, tu te branches sur tes émotions, tes sensations, bouche rouge entrouverte tu me confies ton désir, à moi de t'accompagner, à moi de jouer avec toi, tu me donnes ton abandon.
Trempée.
Je prends mon temps, en guettant tes crispations, mais je sais où je veux aller : loin.
Loin comme on aime. Je veux que tu mouilles bien, beaucoup, pour aller loin.
Je glisse un doigt en toi, et tu as un sourire furtif, un peu crispé, ton souffle s'accélère… Oui.
Il fait de plus en plus chaud dans cette voiture, notre bulle devient progressivement un hammam, les vitres s'embuent peu à peu, et elles sont déjà très teintées : nous nous coupons du monde réel qui est déjà très loin, très en dehors de nos préoccupations, et de toutes façons, je me fous complètement que le parking soit désert ou pas autour de nous.
Deux doigts en toi, voilà : plantés enfoncés vers le haut, va-et-vient, je soulève un peu ton pubis dont je frotte la paroi dans le marécage croissant de ton sexe, je t'arrache le premier petit gémissement avec ma caresse virile, déterminée, forte, et mon sexe à moi n'en peut plus, trop à l'étroit dans mon jean…
Mais je m'occupe de toi, et j'ai tout à y gagner, un trésor qui me passionne, ton plaisir. Tu es à la fois relâchée, abandonnée comme une poupée molle, et électrisée, tressautante et tendue sur ce siège en cuir trop enveloppant, qui veut t'empêcher, on dirait, d'ouvrir plus les cuisses pour accueillir plus de doigts.
Trois, tu dis oui.
Et ce mot me rend dingue, comme une dose trop forte de drogue pure, le point central du désir est devant moi, et tu m'y invites, tu m'encourages d'un simple mot, d'un simple « Ouiii » à peine audible, murmuré dans le secret de nos ébats.
Quatre…
Je glisse mon petit doigt en plus dans la fournaise, je rends ma main étroite et superpose mes doigts, seul sort le pouce qui frotte ton clitoris, allées et venues musclées, tu ouvres la bouche comme pour chercher de l'air, et ta retenue se disloque très vite, tu t'agites et te laisse aller, tu grimaces et cries, tes doigts se crispent sur mon épaule, ton bassin roule, ton genou tape sur la vitre, les « OUI » se font impérieux et brûlants, le désir grimpe de plusieurs crans…
Et moi je te regarde.
Je t'admire, fasciné et très actif, je suis ton bras armé, de mes doigts, de mon propre désir, je t'observe et je te branle sans une hésitation, je suis là pour toi mais je suis le roi, je suis là pour toi, oublie-moi, occupe-toi de ce qui monte en toi, et tu n'es pas au bout de tes plaisirs, tu le sais.
Mon bras me fait presque mal tellement tous mes muscles sont tendus, durcis au maximum, c'est sportif de te branler fort, tu gémis, tu cries et te tortilles, c'est sauvage, rien n'est plus beau et excitant que cela !
Oui, tes seins, tes cuisses ouvertes et tes dessous noirs fendus, mon bras qui pistonne, tes cheveux qui balayent l'appui-tête, ta bouche crispée, ton visage presque douloureux… C'est magnifique !
Ma main je la retire, luisante de dés ...
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