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L’humiliation d’Alexia (histoire uro et trans)

Publié par : roseau38 le 11/04/2021

Attention, cette histoire ne plaira pas à tout le monde. Ce n’est pas une banale histoire de cul, mais une fiction traitant d’un fantasme BDSM assez trash. Rien de réel, et rien qui ne puisse d’ailleurs être réalisé légalement dans un pays démocratique. Il y est question de Sissies (Sissy au masculin), c’est à dire d’hommes féminisés, transgenres non opérés. Le lecteur non averti trouvera facilement des vidéos X pour mieux comprendre ce qu’est une Sissy, un phénomène qui prend de l’ampleur aux USA, et sur lequel nous reviendrons dans d’autres histoires.

En arrivant à Sissyland, Alexia n'imaginait pas à quel point l'humiliation serait éprouvante. Ce centre d’éducation sexuelle pour jeunes hommes féminins avait ouvert ses portes quelques mois plus tôt. La vocation du centre était double : féminiser définitivement tous ces hommes à la virilité fragile d’une part, et offrir aux vrais hommes d’autre part un panel de Sissies leur permettant d’assouvir leurs besoins sexuels. Si l'objectif final du centre étais bien de vendre des services sexuels, à ce moment-là il n'était pas encore ouvert au public. Quelques dizaines d'apprentis Sissy cohabitaient et étaient éduquées par une dizaine de mâles dominants rémunérés. Les sissyes n'étaient pas rémunérées, elles étaient simplement nourries logées blanchies (si l’on peut dire) et surtout éduquées.

Alexia, 25 ans, 1m72 pour 60 kg, chatain clair et peu poilue, était donc arrivée début mars au centre, suite à la lecture de cette annonce sur un site libertin : « Sissyland, nouveau lieu de vie pour jeunes transgenres et « genderfluid », recrute de jeunes hommes refusant la masculinité. Mesdames si vous avez moins de 28 ans, vous serez nourries logées et éduquées pour bien vivre votre transition, tout en profitant d’une ambiance libertine ».
Elle avait décidé il y a plusieurs années déjà de commencer sa transition, mais n’était pas du tout prête à l’opération. Hormonée depuis quelques mois, elle arborait fièrement ses nouveaux petits seins aux bonnets A, son corps parfaitement lisse (peu poilu et épilé en permanence), mais ressentait encore le besoin de conserver son « clito » comme le nommaient ses amants. La vie de transgenre non opérée était plutôt difficile voire dangereuse dans son quartier métissé de banlieue parisienne, où elle était aux prises à un harcèlement permanent lorsqu’elle sortait en fille. Alexia avait donc sauté de joie en voyant cette possibilité de vivre et s’épanouir sexuellement en toute sécurité dans ce nouveau centre.

Alexia avait été très bien accueillie à Sissyland. On lui avait montré les installations, sur lesquelles je reviendrai dans une prochaine histoire. Tout était conçu pour une forme BDSM de sexualité, consistant à maintenir les Sissy (volontaires, car tout était clair au départ) dans une condition de soumission et d’humiliation permanente, pour « servir » les « vrais mâles » qui les éduquaient, dans le but de les amener à une prostitution bien rémunérée par la suite, car c’est bien de cela qu’il s’agissait. En attendant le vrai démarrage « commercial », tout le monde s’en donnait à coeur joie, les dominants qui avaient accès en permanence à des « filles » faciles, et les dites filles pouvant donner libre cours à leurs fantasmes de soumission avec de « vrais hommes » bien dotés par la nature !

Alexia était depuis quelques jours au centre et on lui avait promis comme à toutes ses consoeurs une sorte de scène d’intronisation ou rite d’initiation particulièrement humiliant, mais incontournable. Passé ce rite, on considérait que les Sissies étaient capables d’endurer la vie dans le centre et d’y évoluer facilement. On avait prévenu Alexia qu’il s’agirait pour elle d’une scène uro, et l’on s’était assuré que cela ne la rebutait pas. Il faut préciser également que toutes les personnes du centre (Sissies et personnel) étaient protégées du VIH et en grande partie des IST par la PreP, la vaccination hépatite B et un dépistage et un suivi médical régulier. Cela permettait à toutes et tous de se lâcher complètement dans des jeux un peu risqués sur le plan sanitaire.

On avait demandé à Alexia de se présenter à 14h dans l’espace convivial, habillée en salope, c’est à dire talons haut, string, et body résille (fournis par le centre bien sûr). Le centre était très bien chauffé et cette tenue était en fait la norme pour les Sissies, qui pour la plupart étaient habituées à évoluer en talons aiguilles. Elles avaient le droit de porter une jupe dans les moments non sexuels, mais là bien sûr il n’en était pas question. Alexia arriva donc en se déhanchant sur ses talons, dos droit et croupe très cambrée, fesses offertes. Six hommes étaient dans la salle, certains habillés, d’autres en boxer, certains la bite déjà sortie et se la touchant…

"Alors voici Alexia, notre petite nouvelle !"
Des « Aaah ! » « Humm… jolie » et autres interjections répondirent en coeur. Certains avaient un verre de bière à la main, et se pourléchaient les babines.

"Viens par là Alexia, on a prévu un truc vraiment sympa pour toi, ce sera humide comme on t’a dit… mais d’abord il faut que tu t’occupes de quelques uns d’entre nous et qu’on s’occupe de toi en retour. Mets toi à genoux s’il te plait et occupes toi un peu de ces queues et de ces couilles pleines
- Oui Monsieur" répondit-elle
Alexia ne se fit pas prier, cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas eu à portée de mains et de bouche autant de belles queues, et qui plus est, de sodomies prometteuses. Elle s’était préparée à cela, sa chatte anale était bien propre. Elle sentit assez vite toutefois que la baiser était juste une mise en bouche pour ces lascars. Plusieurs l’enculèrent brièvement , mais l’un d’entre eux surtout, le mieux membré (au moins 20 par 6 cm), prit un malin plaisir à dilater sa chatte anale dans tous les sens, avec ses doigts d’abord, puis sa queue assez longuement, puis pour finir sa main gantée. Elle dut subit ce traitement pendant vingt bonnes minutes, et commençait à se sentir plutôt bien, mais la chatte un peu distendue à force d’être dilatée …

Allez, la mise en bouche est terminée, viens là, le bas-ventre et le clito contre le chevalet, écarte légèrement les jambes mais surtout garde les bien tendues, et penche toi les bras bien tendus vers l’avant !
D’accord, dit Alexia, toute émoustillée mais un peu anxieuse quand même…

Elle s’exécuta, juchée sur ses talons,formant donc un V renversé grâce au chevalet - une sorte de poutre rembourrée - et eut bien vite les chevilles attachées sur le montant du chevalet, grâce à des sangles prévues à cet effet. Elle était donc prisonnière, tête en bas et jambes écartées en talons aiguilles, à la merci des mecs positionnés derrière, dont elle voyait le bas à l’envers. Le dispositif était conçu pour que son cul soit quasiment à l’horizontale. De plus, bien échauffée par la mise en bouche, son clito tout dur pointait vers le bas, appuyé contre le bas du rembourrage du chevalet. Alexia avait conscience d’être ainsi parfaitement obscène. De plus, après la baise de 20 mn qui avait précédé, elle avait la sensation que son anus n’était pas totalement refermé, elle sentait confusément l’air frais circuler dans son rectum…

" Très bien Alexia, sans bouger ta posture, maintenant tu vas mettre une main derrière sur chaque fesse et tirer un peu de chaque côté de manière à ouvrir bien grand ta rondelle !"
"Bien Monsieur", fit-elle, en commençant à imaginer ce qui l’attendait
"Oui, super, comme ça, l’ouverture fait bien 3 à 4 cm, on voit le fond !" dit le type en riant …
Elle avait de plus en plus conscience de son obscénité, ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Gay, Hétéro, Bisexuel, Sodomie, Jeunes, Soumission/domination, Uro/Scato, Trans, A plusieurs