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La salope de l'aire de la Courneuve .....

Publié par : elleetmoi75 le 02/07/2022

Il y a quelques jours, lors d’échanges avec les abonnés du site, l’un d’entre eux me dit que ma femme Hélène aurait beaucoup de succès si je la sortais sur une aire de repos sur la N2 près de Soissons. L’idée est intéressante, d’autant plus que cela fait quelque temps que je ne l’ai pas sortie. De plus, étant un mari candauliste, j’adore que ma femme goûte à la pluralité car je suis alors un voyeur très heureux. Dommage, Soissons c’est loin !!

Le soir, tandis que ma femme me fait une savante fellation pour m’aider à trouver le sommeil, cette histoire d’aire de repos trotte dans ma tête. Ce serait vraiment sympa, surtout qu’il commence à faire beau. Tout cela s’est finalement finalisé un soir de la semaine dernière alors que nous étions invités chez des amis au Bourget en banlieue nord de Paris.

Alors que ma femme commence à se préparer vers 19h00, je la rejoins dans notre chambre et je lui dis
- Chérie fais toi belle et sexy come j’aime !
Elle me regarde et me dit, me connaissant bien
- Aurais-tu des pensées coquines ce soir ?
Je lui réponds
- Pas spécialement mais qui sait !
Une petite demi-heure plus tard, nous sommes dans la voiture et nous voilà partis dans les bouchons.

Le dîner se passe bien et je veille à ce que Hélène boive un peu plus qu’à l’accoutumée. Elle est un peu gaie et je sais que dans ces cas elle est très joueuse. Vers 22h30, nous prenons congés de nos amis et, dès que nous sommes en voiture, je commence à caresser les cuisses de ma femme en remontant bien haut. Sa peau est douce et j’aime le contact de ma main sur ses bas. En remontant un peu plus haut, je parviens à son entrejambe qui est déjà moite. La coquine écarte un peu plus grand les cuisses et je peux glisser un doigt sous le fin tissu de son string. La salope, elle est déjà trempée !

Nous arrivons enfin à la station Total, sur l’aire de repos de la Courneuve, que j’avais repéré sur Mappy dans l’après-midi. Je dis à Hélène
- Il faut que j’aille aux toilettes. C’est toi qui a picolé mais c’est moi qui ai envie !
Je me gare à proximité du secteur réservé aux camions et je m’isole dans un coin sombre pour pisser tranquille. Lorsque je reviens, je dis à Hélène
- Descends chérie, nous allons prendre un peu l’air.
Elle me regarde et me réponds
- Monsieur a envie de me baiser ?
Pour ne pas la choquer, je lui réponds
- Oui ma chérie, tu m’as trop excité !

Je l’entraîne avec moi sous quelques arbres où sont installées quelques tables de pique-nique. Je la fais se retourner et pencher vers l’avant. Elle prend appui sur une table et me tend sa croupe. Je relève sa jupe sur ses reins et je me mets à genoux derrière elle. Elle écarte grand les jambes et je lui lèche les fesses et la chatte. Elle gémit déjà de plaisir. Dans l’obscurité, quelques ombres se rapprochent de nous, ma femme ne les a pas vu car elle leur tourne le dos. Ce sont quatre hommes et je leur fais signe de ne surtout pas parler. Rapidement, je sors les capotes que j’ai dans la poche de ma veste et les distribue.

Je me redresse après avoir lui avoir retiré son string en le faisant glisser le long de ses jambes. Empoignant fermement ma femme par la taille, je lui dis
- Alors petite salope, tu as envie que ton homme te baise maintenant ?
Elle me répond
- Oh oui, je crois que je suis un peu saoule. Prends moi bien !
Je me mets sur le côté de ma femme sans lui lâcher la taille et l’un des routiers se positionnent derrière elle. Je retire mes mains, il met aussitôt les siennes. Ma femme ne se rend compte de rien.

Le routier la besogne maintenant à grands coups et, connaissant bien ma femme, je sais qu’elle a dû fermer les yeux pour mieux profiter de ces étreintes viriles. Au bout de dix minutes, je fais comprendre à l’intéressé qu’il peut laisser sa place à un autre. Celui-ci doit être un turc, il n’est pas très grand mais bien gras. J’adore quand ma jolie bourgeoise, à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession, se fait prendre par des vieux, des bedonnants, des vicieux, ….

Après le turc, ce doit être un roumain puis un allemand qui prennent la suite. Je me doute que ma femme a maintenant compris que ce n’était pas moi qui la baisait ainsi avec une telle ard ...

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