Fraîchement douchée, léger parfum d'agrumes, cheveux tenus dans une coque couleur écaille de tortue, petite robe légère facile à soulever, mais d'où par le haut, il est possible de sortir la rondeur de mon sein et d'offrir mon téton à lécher à sucer car j'adore ça... L'idée même qu'il utilise sa bouche me rend folle.

c'est la première fois que je rencontre cet homme, je suis terriblement excitée.

J'arrive lentement au bout de ma transformation :
Maquillage impeccable mais léger, Eye-Liner pour œil de biche, rouge pour lèvres lumineuses de feu et dessinant parfaitement la pulpe rebondie jusqu'à l'ourlet.

Je lisse maintenant mes bas d'un mouvement de main vers le haut. Je me caresse les jambes gainées de nylon noir.
J'enfile mes chaussures à talons, 16 cm de vertiges, une des dernières tortures que les femmes s'imposent et pourtant l'accessoire génial qui fait la différence et qui donne ce magnifique galbe à la jambe, cette démarche à la fois contrôlée et hésitante de gazelle des savanes inconsciente des dangers qui l'entoure... De ces jeunes félins fougueux et ces vieux lions prêts à se jeter sur elle pour la dévorer d'amour.

Je marche maintenant de cette démarche chaloupée avec roulements de hanches.
Dernier regard dans le miroir, clin d'œil et baiser lancé en articulant sans un son les mots "love you" de cette moue parfaitement étudiée.
Je suis bluffée moi-même !!
Un quart d'heure de transformation aura suffit.
Est-ce que c'est vraiment moi cette petite blonde pulpeuse ?

J'ouvre le verrou de la salle de bain et j'avance dans une pénombre étudiée !

Il est là de dos, larges épaules de sportif, il se retourne d'un coup, il plisse un peu les yeux, me détaille des pieds à la tête, rapide scanner qui semble le satisfaire...

Il me sourit maintenant. Il est beau, de sa grande taille, il me dépasse un peu malgré les talons. Il sent bon, une odeur de savon discrète.
Il est tout proche maintenant, son souffle est chaud, il approche ses lèvres des miennes me donne sans un mot un premier baiser.
Sa langue pénètre l'eau fraîche de ma bouche. Ce baiser me fait gémir et je fonds.
Je m'accroche à ses avant-bras et j'y sens sur l'épaisseur du muscle la peau douce est velue. Je sais reconnaître un bon amant à la puissance de ses baisers.

J'ai posé maintenant la main sur le torse qui se dessine sous la chemise et je glisse doucement le long de son corps solide vers la libération prochaine de son chibre.
Effectivement, il est compressé dans son pantalon. Je descends la braguette et je libère ce phallus dont je rêvais...
Il se déploie souple et raide à la fois. Il est large.
Je suis en admiration, l'eau me monte à la bouche...
Son gland si large, je l'aspire et de ma langue le caresse. Je le sens se raidir encore, cette fois de tout le corps.

Il me dit:

- continue!

Je réponds :

-mmmouihummm

Il me dit :

-ne parle pas la bouche pleine... Hummm, tu sais y faire ! Quelle bouche et quelle pipe..

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