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Les culottes de Josiane

Publié par : maryane le 26/07/2024

J'étais marié à Patricia, la fille de René et de Marie-France depuis quelques années, sans vivre avec elle une sexualité épanouie. Avant le mariage, nous avions eu quelques attouchements, et une ou deux relations furtives et plutôt bâclées.
Patricia était plutôt prude et ne ressentait pas de manque. En plus, j'avais commis l'imprudence d'avoir une petite aventure au début de notre mariage, et elle m'en faisait payer le prix fort en refusant toutes mes avances. C'est uniquement quand elle décidait de faire l'amour (dans un but de procréation) que j'avais le droit de la pénétrer. Position du missionnaire, éjaculation, terminé. Circulez il n'y a rien à voir.
Autant dire que j'étais plutôt frustré. Les quelques relations avec sa mère (voir les culottes de Marie-France) ne suffisaient pas à me contenter. Après des dizaines de refus, je décidais de mettre en place une autre stratégie afin s'assouvir mes besoins. J'ai toujours été un adepte de la masturbation, mais là, je mettais des petits scénarios en place où je couplais cette pratique avec l'envie folle de me travestir.
Dès que ma femme s'absentait et que je me retrouvais seul, j'enfilais culotte, soutien gorge, nuisette (certains appartenant à ma belle mère) pour m'admirer dans le miroir et me masturber pendant de longs moments. Au fil du temps, je me féminisais de plus en plus en me rasant, m'épilant, et j'ai fini par me maquiller et me procurer une perruque pour être plus crédible. La seule difficulté était de trouver des chaussures de femme de taille 43. Je me contentais d'un 42 que l'on trouvait plus facilement.
Une fois transformée, je regardais mon reflet dans les miroirs et me trouvait très belle. Narcissique de nature, mon image suffisait pour faire monter mon désir et me caresser de longues heures en me déplaçant dans la maison afin accomplir mes petites taches ménagères. Je marchais, perchée sur mes talons et relevais parfois ma jupe ou ma robe, abaissais ma culotte, et me masturbais face au miroir. J'étais tout à fait heureuse de cette situation et avais trouvé un équilibre dans ma vie sexuelle.
Bien sûr, j'aurais pu trouver une relation discrète et régulière, mais je n'aurais pu combler cette envie de m'habillais en femme.
L'avenir allait me prouver le contraire.
Lors de mes journées passées "en fille", j'avoue que je ne faisais pas attention à l'extérieur de la maison. Un matin où j'étais seul(e), mon voisin vint frapper à la porte sous un prétexte quelconque.
J'étais déjà en culotte soutien gorge, mais pas encore maquillée. Je mis un jogging au dessus de mes sous-vêtements et lui ouvrais la porte. Nous avions de bons rapports, courtois entre voisins depuis plusieurs années. Parfois quelques soirées passées entre couples. (je dois dire que sa femme Josiane était de toute beauté).
Je fis entrer Patrick mon voisin lui demandant ce qui l'amener de si bonne heure. Il ne s'embarrassa pas en explication vaseuse et m'avoua m'observer depuis déjà plusieurs semaines de son jardin. La vue sur la porte fenêtre était imprenable et il avait du me voir déambuler de nombreuses fois habillée "en fille".
Il me demanda de me travestir rien que pour lui et de lui faire mon show. C'était inutile de nier. Je retirais donc mon jogging pour déjà lui montrer ma lingerie. Il la trouvait fort belle, mais pas assez sexy à son goût. Il sortit et revint quelques minutes plus tard avec de la belle lingerie noire "empruntée" à sa femme Josiane.
Je mis donc les culotte, soutien gorge, porte-jar ...

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Mots-clés : En partie vraie, Gay, Fellation, Sodomie, Trav