Une fois marié, je n'ai pas perdu ma passion pour la lingerie féminine (voir Les culottes de Maman et Les culottes de Suzanne).
Tous les dimanches, nous avions l'habitude d'aller déjeuner chez les beaux parents, Marie-France et René.
Après avoir été au PMU avec le beau père et avoir enfilé quelques apéros, nous retrouvions les femmes pour boire (encore) l'apéritif avec elles. Autant dire qu'après le repas, nous n'étions plus très frais et qu'une sieste s'imposait pour certains.
Le beau père sombrait vite dans son fauteuil, et sa fille (ma femme) dormait déjà car elle ne tenait pas du tout l'alcool.
Je me retrouvais donc seul avec ma belle mère. Après avoir fait la vaisselle ensemble, nous allions dans le jardin, elle pour fumer sa cigarette, moi pour me reposer.
Je m'installais donc sur un fauteuil de jardin, et me déchaussais pour être à l'aise. C'est là que ma belle mère me proposait un petit massage des pieds.
Elle ignorait que cette partie du corps était très sensible chez moi. Je trouvais les pieds très érotiques.
Elle s'installa face à moi sur une chaise et posa mon pied sur ses jambes pour commencer le massage.
Je l'avais devant moi, corsage légèrement ouvert, laissant deviner une poitrine lourde et opulente. J'apercevais également un petit triangle blanc en haut de ses jambes, signe qu'elle portait une culotte. Ce devait être une de ces culottes blanches en satin, assez haute comme en portaient Maman et Suzanne, et dont j'étais accro depuis longtemps déjà.
Ce souvenir associé au massage que me prodiguait ma belle mère ne tarda pas à me donner une érection.
Ma belle mère ne pouvait l'ignorer, son regard allait de mon pied à mon entrejambes. Elle changea de position, et mon pied ne se trouvait plus qu'à quelques centimètres de son triangle blanc. Je tendis les orteils pour toucher le tissu de sa culotte, ignorant quelle serait sa réaction. Elle écarta un peu les jambes en me regardant droit dans les yeux. Je reçu le message et n'hésitais plus à lui masser les lèvres avec mon pied. je voyais une tache apparaitre sur sa culotte, Marie-France avait l'air d'apprécier cette caresse. N'y tenant plus, j'ouvrais ma braguette et sortais mon sexe pour me masturber. Ma belle mère écarta sa culotte et dévoila ses lèvres roses entourées d'une belle toison brune d'où perlait sa mouille de plaisir. J'introduis mon orteil dans sa chatte et la vis gémir silencieusement.
Nous savions par expérience que mon beau père et ma femme en avait pour une petite heure de sommeil. Elle dégagea mon pied de son intimité, me suça les orteils un par un avant de se mettre à genoux et de prendre ma queue en bouche. La salope, moi qui la voyais comme une petite bourgeoise fidèle à son mari. Je regardais ses formes ma foi fort appétissantes pendant qu'elle me suçait. J'en profitais pour lui masser les seins et effectivement, ils étaient lo ...

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